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L'Egypte a demandé au gouvernement palestinien de reconnaître la "feuille de route" internationale de 2003 et d'autres initiatives de paix impliquant la reconnaissance de l'Etat d'Israël.
Le ministre égyptien des Affaires étrangères Ahmed Aboul Gheit a rencontré son homologue palestinien Mahmoud el-Zahar en visite au Caire, mettant un terme aux spéculations selon lesquelles l'Egypte avait rejoint la campagne de boycottage à l'encontre du nouveau gouvernement palestinien formé par les radicaux du Hamas.
Lors de la première visite de Zahar au Caire en tant que ministre le mois dernier, les deux hommes ne s'étaient pas rencontrés. Les autorités égyptiennes avaient fait valoir le manque de disponibilité de Aboul Gheit.
"Le ministre (Aboul Gheit) a appelé à la formulation d'une position palestinienne unie, qui repose sur les principes de l'initiative de paix arabe, des résolutions de l'Onu sur la question palestinienne, sur la "feuille de route", et au recours à la diplomatie comme seul moyen pour en finir avec le conflit israëlo-palestinien", a affirmé le gouvernement égyptien dans un communiqué rendu public après la réunion des deux ministres.
Le plan de paix arabe de 2002, la "feuille de route" du "quartet" international ainsi que de nombreuses résolutions de l'Onu sont basés sur le principe de la coexistence de deux Etats, l'un israélien, l'autre palestinien.
Depuis son entrée en fonction le 29 mars, le gouvernement palestinien est ignoré par plusieurs gouvernements.
Dans ce contexte, l'Egypte, qui avait d'abord déclaré qu'il fallait laisser du temps au gouvernement du Hamas, apparaît comme un intermédiaire possible entre Israël et les Palestiniens.
Un chauffeur de taxi palestinien a par ailleurs été pris pour cible de tirs puis abattu jeudi par des forces de sécurité israéliennes, à proximité de la ville de Naplouse (Cisjordanie), selon des témoins et des médecins palestiniens. L'information n'a pas été, pour le moment, confirmée auprès de Tsahal.
Par Reuters
Le ministre égyptien des Affaires étrangères Ahmed Aboul Gheit a rencontré son homologue palestinien Mahmoud el-Zahar en visite au Caire, mettant un terme aux spéculations selon lesquelles l'Egypte avait rejoint la campagne de boycottage à l'encontre du nouveau gouvernement palestinien formé par les radicaux du Hamas.
Lors de la première visite de Zahar au Caire en tant que ministre le mois dernier, les deux hommes ne s'étaient pas rencontrés. Les autorités égyptiennes avaient fait valoir le manque de disponibilité de Aboul Gheit.
"Le ministre (Aboul Gheit) a appelé à la formulation d'une position palestinienne unie, qui repose sur les principes de l'initiative de paix arabe, des résolutions de l'Onu sur la question palestinienne, sur la "feuille de route", et au recours à la diplomatie comme seul moyen pour en finir avec le conflit israëlo-palestinien", a affirmé le gouvernement égyptien dans un communiqué rendu public après la réunion des deux ministres.
Le plan de paix arabe de 2002, la "feuille de route" du "quartet" international ainsi que de nombreuses résolutions de l'Onu sont basés sur le principe de la coexistence de deux Etats, l'un israélien, l'autre palestinien.
Depuis son entrée en fonction le 29 mars, le gouvernement palestinien est ignoré par plusieurs gouvernements.
Dans ce contexte, l'Egypte, qui avait d'abord déclaré qu'il fallait laisser du temps au gouvernement du Hamas, apparaît comme un intermédiaire possible entre Israël et les Palestiniens.
Un chauffeur de taxi palestinien a par ailleurs été pris pour cible de tirs puis abattu jeudi par des forces de sécurité israéliennes, à proximité de la ville de Naplouse (Cisjordanie), selon des témoins et des médecins palestiniens. L'information n'a pas été, pour le moment, confirmée auprès de Tsahal.
Par Reuters