Perle de larme
Au réveil,
Sur les draps beige
Était déposé des larmes
Accompagné d'un mot
D'une trace de sang
Au départ,
J'ai cru a une averse
Dans un boudoir
Parfumé de la nuit
Traversé par l'oubli
M'abaissant a elle
Contenant le monde
Reflétant ma détresse
Offrant a mes traits
L'espoir d'un réconfort
De quel iris
Ces rivières de jais
Sont devenues l'héritage
Proposant encore une image
Là ou les amantes jaissent
Paisible et puissante
Absorbant ma chaire
Ceinte d'acide et de lumière
Offrant a l'eau
Un poids, éclatant mes os
Elle tombèrent, tel une cascade
Transformant mon lit
En une faune insondable
Formé d'essentiel et de futile
Noyant ici et la, mes textile
De quel calme, m'inspirer
Si dans mes sommeils
S’immisce l’épleuré
Le goujat imberbe
Jouant l'hymne Serbe
Serait-ce des gouttes de pluie
Dieu m'en aurait fait don ?
D'une miséricorde inespéré
Aurais-je dépassé les damnés
M'as t’ont offert les Élysée ?
Ou bien un porteur d'eau
Un fou-comme moi-
De ces hommes qui parle fort
La peau en cuivre malgache
Pour admirer mes solitudes
Mais elles sont là,
Elle ne sont pas autre part
Mes yeux mouillant
Les piétine du regard
Limpide...aveuglant
Je les emprunte a ma douleur
Les voue a l'arc en ciel
Les porte en triomphe
Les inocule a mon âme
Pour recouvrer la vue...
Chaarar,
Au réveil,
Sur les draps beige
Était déposé des larmes
Accompagné d'un mot
D'une trace de sang
Au départ,
J'ai cru a une averse
Dans un boudoir
Parfumé de la nuit
Traversé par l'oubli
M'abaissant a elle
Contenant le monde
Reflétant ma détresse
Offrant a mes traits
L'espoir d'un réconfort
De quel iris
Ces rivières de jais
Sont devenues l'héritage
Proposant encore une image
Là ou les amantes jaissent
Paisible et puissante
Absorbant ma chaire
Ceinte d'acide et de lumière
Offrant a l'eau
Un poids, éclatant mes os
Elle tombèrent, tel une cascade
Transformant mon lit
En une faune insondable
Formé d'essentiel et de futile
Noyant ici et la, mes textile
De quel calme, m'inspirer
Si dans mes sommeils
S’immisce l’épleuré
Le goujat imberbe
Jouant l'hymne Serbe
Serait-ce des gouttes de pluie
Dieu m'en aurait fait don ?
D'une miséricorde inespéré
Aurais-je dépassé les damnés
M'as t’ont offert les Élysée ?
Ou bien un porteur d'eau
Un fou-comme moi-
De ces hommes qui parle fort
La peau en cuivre malgache
Pour admirer mes solitudes
Mais elles sont là,
Elle ne sont pas autre part
Mes yeux mouillant
Les piétine du regard
Limpide...aveuglant
Je les emprunte a ma douleur
Les voue a l'arc en ciel
Les porte en triomphe
Les inocule a mon âme
Pour recouvrer la vue...
Chaarar,
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