Pour ou contre la décision de Ouyahia concernant la fontière Algero marocaine ?
L’ouverture des frontières terrestres entre l’Algérie et le Maroc n’est pas à l’ordre du jour
Tels sont, en substance, les points forts développés, hier lors d’une conférence de presse à Alger, par le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, à l’issue des travaux de la tripartite économique. Les relations entre l’Algérie et le Maroc ne souffrent d’aucun problème, mais la réouverture des frontières terrestres entre les deux pays n’est pas à l’ordre du jour, a ainsi précisé le Premier ministre, n’hésitant pas à soutenir en ce sens que les relations algéro-marocaines ne sont guère «conditionnées par le problème du Sahara occidental». Selon ses termes, il s’agit là d’un vieux désaccord entre l’Algérie et le Maroc et cela n’affecte en rien le processus actuel de redynamisation des relations bilatérales.
L’ouverture des frontières terrestres entre les deux pays, a-t-il toutefois estimé, «arrivera bien un jour», mais pour ce faire, il faut instaurer d’abord un climat de sérénité. En attendant, affirme encore le Premier ministre, «même avec les frontières fermées, les échanges commerciaux algéro-marocains sont en pole position à l’échelon du continent africain». Dans le même ordre d’idées, Ahmed Ouyahia a rejeté l’existence d’une quelconque ambivalence quant à la position de l’Algérie sur les événements en Libye. La position de l’Algérie sur la situation en Libye, a-t-il indiqué, «est claire et fondée sur des éléments de principe que sont le respect des résolutions de l’ONU et des décisions de l’UA, mais aussi notre souhait de voir le peuple libyen accéder à un avenir démocratique qu’il déterminera lui-même».
L’ouverture des frontières terrestres entre l’Algérie et le Maroc n’est pas à l’ordre du jour
Tels sont, en substance, les points forts développés, hier lors d’une conférence de presse à Alger, par le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, à l’issue des travaux de la tripartite économique. Les relations entre l’Algérie et le Maroc ne souffrent d’aucun problème, mais la réouverture des frontières terrestres entre les deux pays n’est pas à l’ordre du jour, a ainsi précisé le Premier ministre, n’hésitant pas à soutenir en ce sens que les relations algéro-marocaines ne sont guère «conditionnées par le problème du Sahara occidental». Selon ses termes, il s’agit là d’un vieux désaccord entre l’Algérie et le Maroc et cela n’affecte en rien le processus actuel de redynamisation des relations bilatérales.
L’ouverture des frontières terrestres entre les deux pays, a-t-il toutefois estimé, «arrivera bien un jour», mais pour ce faire, il faut instaurer d’abord un climat de sérénité. En attendant, affirme encore le Premier ministre, «même avec les frontières fermées, les échanges commerciaux algéro-marocains sont en pole position à l’échelon du continent africain». Dans le même ordre d’idées, Ahmed Ouyahia a rejeté l’existence d’une quelconque ambivalence quant à la position de l’Algérie sur les événements en Libye. La position de l’Algérie sur la situation en Libye, a-t-il indiqué, «est claire et fondée sur des éléments de principe que sont le respect des résolutions de l’ONU et des décisions de l’UA, mais aussi notre souhait de voir le peuple libyen accéder à un avenir démocratique qu’il déterminera lui-même».
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