L’Otan a annoncé samedi avoir eu recours pour la première fois à des hélicoptères de combat en Libye, frappant des véhicules militaires, des équipements et des forces de l’armée du colonel Mouammar Kadhafi.
« Des hélicoptères de combat sous commandement de l’Otan ont été utilisés pour la première fois le 4 juin (samedi) dans des opérations militaires au-dessus de la Libye, dans le cadre de l’opération Protecteur unifié », a indiqué l’alliance atlantique dans un communiqué.
« Parmi les cibles frappées figuraient des véhicules militaires, des équipements militaires et des forces » de l’armée du régime de Mouammar Kadhafi, a précisé le communiqué, sans indiquer où ces frappes ont précisément eu lieu.
Les hélicos français en combat
Des hélicoptères de l’armée française de type Tigre et Gazelle ont participé dans la nuit de vendredi à samedi aux frappes de l’Otan en Libye, en coopération avec des hélicoptères britanniques, a annoncé samedi matin à Paris l’état-major des armées.
L’état-major n’a précisé ni le nombre d’appareils engagés, ni la localisation des frappes aériennes.
« L’entrée en action des hélicoptères est complémentaire des moyens aériens et maritimes engagés, pour renforcer la pression déjà exercée sur les forces pro-Kadhafi », a souligné le colonel Thierry Burkhard.
La France et la Grande-Bretagne ont déployé depuis la mi-mai des hélicoptères de combat au large de la Libye, en complément des avions de chasse. Londres a confirmé l’intervention de ses Apache durant la nuit.
À bord du Tonnerre
Une vingtaine de Tigre et de Gazelle sont embarqués à bord du Bâtiment de projection et de commandement (BPC) français Tonnerre, parti le 17 mai du port de Toulon en direction des côtes libyennes.
Les hélicoptères de combat sont censés donner une capacité supplémentaire aux forces sous commandement de l’Otan pour cibler des objectifs plus difficiles à détecter depuis les avions qui procèdent, depuis plus de deux mois, à haute altitude, aux frappes contre les forces du colonel Kadhafi.
Le but est « d’augmenter la pression sur les forces pro-Kadhafi », précise l’Alliance.
Ouest-France
« Des hélicoptères de combat sous commandement de l’Otan ont été utilisés pour la première fois le 4 juin (samedi) dans des opérations militaires au-dessus de la Libye, dans le cadre de l’opération Protecteur unifié », a indiqué l’alliance atlantique dans un communiqué.
« Parmi les cibles frappées figuraient des véhicules militaires, des équipements militaires et des forces » de l’armée du régime de Mouammar Kadhafi, a précisé le communiqué, sans indiquer où ces frappes ont précisément eu lieu.
Les hélicos français en combat
Des hélicoptères de l’armée française de type Tigre et Gazelle ont participé dans la nuit de vendredi à samedi aux frappes de l’Otan en Libye, en coopération avec des hélicoptères britanniques, a annoncé samedi matin à Paris l’état-major des armées.
L’état-major n’a précisé ni le nombre d’appareils engagés, ni la localisation des frappes aériennes.
« L’entrée en action des hélicoptères est complémentaire des moyens aériens et maritimes engagés, pour renforcer la pression déjà exercée sur les forces pro-Kadhafi », a souligné le colonel Thierry Burkhard.
La France et la Grande-Bretagne ont déployé depuis la mi-mai des hélicoptères de combat au large de la Libye, en complément des avions de chasse. Londres a confirmé l’intervention de ses Apache durant la nuit.
À bord du Tonnerre
Une vingtaine de Tigre et de Gazelle sont embarqués à bord du Bâtiment de projection et de commandement (BPC) français Tonnerre, parti le 17 mai du port de Toulon en direction des côtes libyennes.
Les hélicoptères de combat sont censés donner une capacité supplémentaire aux forces sous commandement de l’Otan pour cibler des objectifs plus difficiles à détecter depuis les avions qui procèdent, depuis plus de deux mois, à haute altitude, aux frappes contre les forces du colonel Kadhafi.
Le but est « d’augmenter la pression sur les forces pro-Kadhafi », précise l’Alliance.
Ouest-France
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