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La petite lueur d’espoir, née de la victoire au forceps à Annaba face à ce même adversaire marocain, n’a été finalement que de courte durée. Elle fut surtout extrêmement trompeuse pour les Algériens au point où nous n’avons rien vu venir de la grosse tempête d’hier qui a emporté les Verts à Marrakech.
Au-delà du score lourd qui restera sans doute gravé dans les annales des derbies maghrébins, c’est la manière avec laquelle les joueurs algériens ont évolué qui fait le plus mal.
C’est à croire que ces gars aux guiboles lourdes et maladroites n’ont jamais évolué ensemble. Insipide, la prestation des Algériens n’a d’égale en fait que le gros sentiment de honte qui range désormais les Algériens.
C’est une faillite collective dont le coach Benchikha porte la plus grande responsabilité, pour avoir très mal préparé son groupe, fait des choix tactiques suicidaires et surtout pour n’avoir pas eu le courage depuis son arrivée à la tête de l’EN à la fin de l’été dernier de faire le ménage dans un groupe vieillissant et truffé de bras cassés.
Benchikha n’a seulement rien apporté à cette équipe, mais il a aussi réussi l’exploit de miner davantage son niveau en annihilant sa principale force, à savoir le secteur défensif. L’Algérie post-Mondial pouvait au moins s’enorgueillir de posséder une défense de marbre autour de laquelle l’ex-coach Saâdane a pu bricoler une équipe et réussi même quelques exploits sporadiques. Hier, c’est justement cette même défense qui a failli et qui a fait couler le bateau des Verts.
Des erreurs de débutants à satiété ont transformé notre principale force en une faiblesse criante. C’est dire que Benchikha n’a même pas pu sauvegarder le peu d’orgueil que possédait cette sélection nationale.
Désormais, le départ de Benchikha est inéluctable. Il ne survira pas de toutes les façons à la vox populi qui réclame déjà des têtes. Mais est-ce suffisant pour fermer cette grosse plaie marocaine ?
Certainement pas, car les décideurs portent aussi une grosse responsabilité dans la débâcle d’hier.
Le fait d’embaucher un entraîneur franchement limité comme Benchikha au moment où les Algériens réclamaient une grosse pointure à l’instar de celui qui nous a fait boire hier le calice jusqu’à la lie en l’occurrence le Belge Gerets, constitue non seulement une erreur de casting, mais aussi et surtout une bévue stratégique.
Le moment est venu donc pour tout le monde de faire son mea-culpa et prendre rapidement les mesures qui s’imposent afin de redonner vite de l’espoir à des Algériens meurtris par la gifle marocaine !
Liberté
Au-delà du score lourd qui restera sans doute gravé dans les annales des derbies maghrébins, c’est la manière avec laquelle les joueurs algériens ont évolué qui fait le plus mal.
C’est à croire que ces gars aux guiboles lourdes et maladroites n’ont jamais évolué ensemble. Insipide, la prestation des Algériens n’a d’égale en fait que le gros sentiment de honte qui range désormais les Algériens.
C’est une faillite collective dont le coach Benchikha porte la plus grande responsabilité, pour avoir très mal préparé son groupe, fait des choix tactiques suicidaires et surtout pour n’avoir pas eu le courage depuis son arrivée à la tête de l’EN à la fin de l’été dernier de faire le ménage dans un groupe vieillissant et truffé de bras cassés.
Benchikha n’a seulement rien apporté à cette équipe, mais il a aussi réussi l’exploit de miner davantage son niveau en annihilant sa principale force, à savoir le secteur défensif. L’Algérie post-Mondial pouvait au moins s’enorgueillir de posséder une défense de marbre autour de laquelle l’ex-coach Saâdane a pu bricoler une équipe et réussi même quelques exploits sporadiques. Hier, c’est justement cette même défense qui a failli et qui a fait couler le bateau des Verts.
Des erreurs de débutants à satiété ont transformé notre principale force en une faiblesse criante. C’est dire que Benchikha n’a même pas pu sauvegarder le peu d’orgueil que possédait cette sélection nationale.
Désormais, le départ de Benchikha est inéluctable. Il ne survira pas de toutes les façons à la vox populi qui réclame déjà des têtes. Mais est-ce suffisant pour fermer cette grosse plaie marocaine ?
Certainement pas, car les décideurs portent aussi une grosse responsabilité dans la débâcle d’hier.
Le fait d’embaucher un entraîneur franchement limité comme Benchikha au moment où les Algériens réclamaient une grosse pointure à l’instar de celui qui nous a fait boire hier le calice jusqu’à la lie en l’occurrence le Belge Gerets, constitue non seulement une erreur de casting, mais aussi et surtout une bévue stratégique.
Le moment est venu donc pour tout le monde de faire son mea-culpa et prendre rapidement les mesures qui s’imposent afin de redonner vite de l’espoir à des Algériens meurtris par la gifle marocaine !
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