La démission d’Abdelhak Benchikha relance les spéculations sur la nomination d’un coach étranger à la tête des Fennecs. Déjà contacté par le passé, Vahid Halilhodzic fait le point.
En Algérie, la patience n’est pas la principale vertu de la presse et des supporters des Verts. A peine sorti de la débâcle de Marrakech, suivie de la démission du sélectionneur Abdelhak Benchikha, les spéculations vont, déjà, bon train quant au nom de son successeur. A l’instar de Saadane ou Benchikha, l’Algérie, sauf quelques rares exceptions, a toujours privilégié les compétences locales pour diriger sa sélection nationale. Après avoir fait le choix d’une équipe quasiment binationale et de joueurs professionnels, un autre tabou pourrait tomber : l’arrivée d’un grand entraîneur étranger. Rolland Courbis, Claude Le Roy ou Philippe Troussier sont les noms qui reviennent le plus souvent. Mais celui de Vahid Halilhodzic semble tenir la corde. Le 12 mai dernier, le Bosnien avait reconnu, sur Footafrica365.fr, les marques de sollicitations venant d’Algérie et notamment les coups de fil à répétition du président de la Fédération algérienne de football, Mohamed Raouraoua.
Nous nous sommes de nouveau rapprochés de lui pour avoir son sentiment sur la question. Sa réponse est sibylline : « C’est vrai que j’ai été contacté à plusieurs reprises par le président de la Fédération algérienne de football. Je ne connais pas le projet, et je ne sais pas ce qu’on peut faire. Je ne prends pas de décision comme cela. On verra. Pour l’heure, je n’ai pas été recontacté », nous confie-t-il. Refroidi par son aventure ivoirienne, l’ancien sélectionneur des Eléphants hésite à se projeter en Afrique. «Depuis ce que j’ai vécu avec la Côte d’Ivoire, c’est vrai que je suis prudent. En Afrique, au premier mauvais résultat, tu sautes. Avec la Côte d’Ivoire, j’ai enchaîné 24 matches sans défaite, j’ai qualifié l’équipe au Mondial et à la première contre-performance, on m’a remercié », rappelle-t-il. Chaud ou pas, son téléphone chauffe déjà. On n’arrête pas de l’appeler d’Algérie. Peut être de quoi donner des idées au président Raouraoua.
En Algérie, la patience n’est pas la principale vertu de la presse et des supporters des Verts. A peine sorti de la débâcle de Marrakech, suivie de la démission du sélectionneur Abdelhak Benchikha, les spéculations vont, déjà, bon train quant au nom de son successeur. A l’instar de Saadane ou Benchikha, l’Algérie, sauf quelques rares exceptions, a toujours privilégié les compétences locales pour diriger sa sélection nationale. Après avoir fait le choix d’une équipe quasiment binationale et de joueurs professionnels, un autre tabou pourrait tomber : l’arrivée d’un grand entraîneur étranger. Rolland Courbis, Claude Le Roy ou Philippe Troussier sont les noms qui reviennent le plus souvent. Mais celui de Vahid Halilhodzic semble tenir la corde. Le 12 mai dernier, le Bosnien avait reconnu, sur Footafrica365.fr, les marques de sollicitations venant d’Algérie et notamment les coups de fil à répétition du président de la Fédération algérienne de football, Mohamed Raouraoua.
Nous nous sommes de nouveau rapprochés de lui pour avoir son sentiment sur la question. Sa réponse est sibylline : « C’est vrai que j’ai été contacté à plusieurs reprises par le président de la Fédération algérienne de football. Je ne connais pas le projet, et je ne sais pas ce qu’on peut faire. Je ne prends pas de décision comme cela. On verra. Pour l’heure, je n’ai pas été recontacté », nous confie-t-il. Refroidi par son aventure ivoirienne, l’ancien sélectionneur des Eléphants hésite à se projeter en Afrique. «Depuis ce que j’ai vécu avec la Côte d’Ivoire, c’est vrai que je suis prudent. En Afrique, au premier mauvais résultat, tu sautes. Avec la Côte d’Ivoire, j’ai enchaîné 24 matches sans défaite, j’ai qualifié l’équipe au Mondial et à la première contre-performance, on m’a remercié », rappelle-t-il. Chaud ou pas, son téléphone chauffe déjà. On n’arrête pas de l’appeler d’Algérie. Peut être de quoi donner des idées au président Raouraoua.
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