Palestine

[Wacila]

Bonjour


Palestine Palestine
Je pleure ta douleur
Et ces innocents qui saignent

Palestine Palestine
Ils on souillé cette terre de cœur
Des enfants devenus orphelin

Palestine Palestine
Je t’aime et je pense a toi
Je crie ce désespoir

Palestine Palestine
On vous donne la force et le courage d’y croire
On vous soutien avec le coeur

Palestine Palestine
Allah vous aidera
Pour faire cesser ces massacres

[agour amechtouh]

pensées du moment!

Combien je l'aime mon amour !

Elle est si belle et si chère à mon cœur
Cet amour cèle les pensées grandes, nobles et sans détour…
Tu portes une couronne de magnifiques fleurs
de couleurs jetant mille feux…
Tu es l'ange de mes pensées aux grands yeux

Pour arriver à plaire il ne faut point d'études !
L'amour a tant d'esprit qui sait guider la main….
Une chaste attirance est déjà certitude
du bonheur attendu et si souvent atteint…
La vie est belle alors; elle est comme un doux rêve
et moi je te vois toujours sans trêve
comme aux premiers jours. Cette nuit fut couleur Azur.

Que notre amour inspiré demeure noble et pur
toi céleste flamme qui s'allume dans mon cœur
Je suis en pleine et douce ivresse de bonheur
et tu peux le lire dans mes yeux
car il se reflète aussi là haut dans les cieux

Ta voix harmonieuse et chaleureuse
me montre un grand cœur autant qu'une belle âme
Il n'y a que toi qui a le secret pour me rendre amoureux
et l'ange si beau qui règne dans mon cœur heureux
me montre grâce à toi le chemin pour trouver l'étincelle
qui a fait de mes jours des vagues merveilleuses.

MEUNIER J

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[Comete]

Palestine ! Comme un livre ouvert…
Et sur ces pages innocentes
Je lis le désespoir d’un peuple isolé…
Je vois les images floues d’un enfant…
Un errant entre les ruines d’un village
Un village brûlé par les larmes…
Un village perdu dans le silence.
Et voilà que l’enfant palestinien
Me fixa de son regard orphelin
Regard de l’aube et de l’espoir



Et je me rappelais les visages de SOWETO
Icônes de la résistance et de la liberté
Et ce regard tel un miroir
Ouvrit des images affamées de paix
Dans lesquelles les KFIR C 7 de Tsahal
Jouaient une musique de mort
Et sur leurs ailes d’acier
Se tenaient la destruction et la peur
Qui se mêlèrent aux cris et aux rires
Qui se mêlèrent aux pleurs et à la douleur…

Et l’enfant grandit avec sa douleur
Il devînt un jeune homme :
Le désert était son village
Les ruines devinrent ses compagnons
Et les dunes un lit pour lui.

L’aube n’existait plus…
Et le soleil se confondait à la lune
Et dans son esprit esseulé
Vagabondait un parfum de liberté

Et voilà que la nuit approchait
Et l’homme vieillissait avec elle
Je le vis devenir un vieillard
Dont la seule arme
Etait une fronde qui gronde
Entre les regs et les regs
Et l’écho si lointain…si proche
Me parvient, me réveilla…
Et secoua le monde entier
INTIFADA !
Combien d’innocents ?
Combien d’orphelins ?
Combien de veuves ?
Combien de martyrs ?

PALESTINE tu es née martyre
Tu grandis sous l’occupation
Tu n’as d’autres jouets que la résistance
Pour que demain unis et libres
Nous chantons l’hymne de la Palestine

EL HADJI MOUSSA DIOP MAJJOOB

[cassini]

Bonjour,

Beau travail, c'est toujours agréable et dur en même temps de paler de la palestine...

[agour amechtouh]

mon dieu

mon dieu
Quand le vent lèche tes cheveux
Quand la pluie coule sur tes yeux
Tu es là, seule et tu marches
Tu te dis "où es-tu passé,
il n'y a pas de traces de toi"
et je me demande ce que tu fais.
Dans ma tête tout ça remue
Tu n'avais pas le droit de me faire ça
Je voudrais que tu sois à côté de moi.

Mon Dieu, je vous en prie dites-moi
ce que je lui ai fait et dites moi pourquoi
il est parti sans moi. Je ne voyais que lui
pourquoi est-il parti ?
Mon Dieu je n'ai que lui,
je suis là sous la pluie
Donnez moi encore une chance
ce n'est pas tous les jours
que l'on peut pleurer et mourir d'amour.
Je suis en plein orage
où est le passage me montrant son visage
Mon Dieu qu'il ne s'éloigne pas de moi.

Il me reviendra, ne me laisses pas rêver
Il est dans la nuit, il court quelque part
J'ai le cœur qui gronde trop fort,
je suis vidée, je marche au hasard
et à chaque pas j'ai l'impression de
t'entendre crier, ne pleure pas je
suis près de toi
et si je rêve, si le vent ne te lâche pas
dans cette tempête si cruelle,
tu n'es plus là mais reviens moi vite
ma direction, mon chemin c'est toi.

Je te vois encore partir,
je vois encore ton sourire,
je pensais ne pas souffrir
maintenant que je suis seule,
là le cœur brisé, j'écoute
la pluie et le vent.
Il n'y a que toi qui peut me répondre
Si tu m'entends, écoute ma souffrance
et ne me laisse plus t'attendre.

MEUNIER J.-C.

[Wacila]

bonjour

merci beaucoup pour tout ces poémes