faciné par les poémes incomparables de mordjane et les autres, j'ai essayé ,tant bien que mal, de faire un poéme que dessous..... dites moi qu'est ce que vous en pensez .
De ta petite romance je i suis sorti vainqueur.
J’ai sauvé mes sentiments, et je t’ai volé le cœur
Il soupire, il soupire il en cherche ses désires
Perdu dans les méandre de l’amour il en cherche son quêteur
Ton sommeil est dérangé, ton esprit est continuellement rangé
Rangé par le regret de m’avoir perdu.
Tu me rencontres quand même dans tes rêves.
Mais c’est tellement éphémère que tu souhaites t’endormir à l’éternel.
Un vif chagrin, emplit ton âme, attise ta flamme, surexcite tes sentiments
Tu peines à te ressaisir, mais c’est fort, c’est tellement fort que tu ne puisses y aboutir
Dans tes yeux je décèle parfois une lueur d’espoir, à travers les timbres de ta voix j’entends tes cris de désespoir, ton appel est très émouvant, je l’entends, je veux te soulager mais au refus de ton narcissisme s’éveille dans mes entrailles le monstre de mon égoïsme, je me rétracte, je me tais, je te regarde souffrir, le visage blêmit, les forces ternies, à quand donc persistera ta souffrance, ni courage peut en venir à bout, ni patience.
Ta silhouette si juvénile, ton élégance si féminine
Se font prisonnière de tes souvenirs, tu embellis quand je laisse voguer dans l’oubli ta mémoire mais elles se fanent lorsque elles se plient à l’appel de l’histoire.
De ta petite romance je i suis sorti vainqueur.
J’ai sauvé mes sentiments, et je t’ai volé le cœur
Il soupire, il soupire il en cherche ses désires
Perdu dans les méandre de l’amour il en cherche son quêteur
Ton sommeil est dérangé, ton esprit est continuellement rangé
Rangé par le regret de m’avoir perdu.
Tu me rencontres quand même dans tes rêves.
Mais c’est tellement éphémère que tu souhaites t’endormir à l’éternel.
Un vif chagrin, emplit ton âme, attise ta flamme, surexcite tes sentiments
Tu peines à te ressaisir, mais c’est fort, c’est tellement fort que tu ne puisses y aboutir
Dans tes yeux je décèle parfois une lueur d’espoir, à travers les timbres de ta voix j’entends tes cris de désespoir, ton appel est très émouvant, je l’entends, je veux te soulager mais au refus de ton narcissisme s’éveille dans mes entrailles le monstre de mon égoïsme, je me rétracte, je me tais, je te regarde souffrir, le visage blêmit, les forces ternies, à quand donc persistera ta souffrance, ni courage peut en venir à bout, ni patience.
Ta silhouette si juvénile, ton élégance si féminine
Se font prisonnière de tes souvenirs, tu embellis quand je laisse voguer dans l’oubli ta mémoire mais elles se fanent lorsque elles se plient à l’appel de l’histoire.
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