Dans cette expression de « tirer sur son peuple » il y a déjà l’intention de nuire au président Libyen. On veut manipuler l’opinion en suscitant son indignation. S’il avait tiré sur le peuple italien ou français cela aurait-il été plus normal ? Non. Il ne s’agit en effet que d’une association de mots savamment étudiés dans des bureaux de recherches stratégiques pour trouver les expressions appropriées à intégrer à la vraie guerre qui a ensuite été déclenchée.
Pour revenir à l’accusation même, L’information principale qui a justifié la résolution 1973 du Conseil de Sécurité des Nations-Unies est celle d’un prétendu carnage de 10.000 morts et 55.000 blessés en 1 mois, commandité par le Président Libyen. C’est une affirmation mensongère et pour plusieurs raisons :
Logique : Pour tuer 10.000 personnes en un mois, il faut être capable d’en tuer 300 à 400 tous les jours. Seul Hitler y est parvenu, mais il a eu besoin de plusieurs installations de fours crématoires.
Kadhafi aurait utilisé des avions de combat qui normalement volent à 5.000 mètres d’altitude et à une vitesse de 1.000 km/h. A moins de larguer une bombe atomique, ces avions, aussi spéciaux soient-ils ne pourraient pas réussir un tel exploit.
Pour les blessés, leur nombre est dans tous les pays du monde fournis par des sources hospitalières. Dans la gestion optimale d’un hôpital, il est prévu environ 10 à 20 places de libre pour accueillir des cas impromptus. Pour accueillir 55.000 blessés, à raison de 20 par hôpital, il faudrait 2.750 hôpitaux pour accueillir tous les blessés Libyens et même en utilisant tous les hôpitaux du continent africain (environ 1.230) on n’y arriverait jamais.
Les photos diffusées de ce prétendu massacre proviennent du cimetière « Sidi Hamed Cemetery » où se déroulait une normale opération de renouvellement du sol avec déplacement des restes humains, pratique très habituelle et commune dans le monde judéo-islamo-chrétien pour laisser place aux nouveaux morts, chaque 10 ou 20 ans selon les pays.
Origine de l’information. Le philosophe Chinois Mo Tseu (479-381 avant l’ère chrétienne) a écrit que pour vérifier la véracité d’une information, il faut d’abord identifier la source et se demander quelles sont les raisons avouées et inavouées de celui qui vous communique une information. D’où est arrivée l’information ? des rebelles, c’est naturel ! Mais diffusée sans conditionnel par la Chaine de télévision Al Jazeera qui appartient à l’émir du Qatar. Le hasard veut que ce petit pays soit le seul pays Arabe qui participe à larguer les bombes sur la tête des Libyens. Une coïncidence plutôt troublante.
A ce jour, plusieurs mois après le prétendu massacre, on n’a toujours pas l’ombre d’une preuve irréfutable. Ce qui n’a pas empêché le mandat d’arrêt du procureur de la Cour pénale internationale (CPI) Luis Moreno-Ocampo qui était vigilent de menacer Gbagbo pour les 7 femmes tuées à ABOBO le 8 Mars 2011, mais complètement muet au moment des faits et amnésique aujourd’hui pour les 1.200 morts de Ouattara à Duékoué (selon le CICR et la CARITAS) et cela en présence des troupes françaises de la Licorne et celle de l’ONUCCI.
Monsieur Moreno-Ocampo n’a pas jugé opportun d’effectuer le moindre déplacement en terre libyenne pour vérifier ces accusations. Qu’importe, demander l’arrêt d’un Chef d’état Africain non docile est devenu le seul motif qui justifie l’existence même du TPI.
KADHAFI ET LES MIGRANTS AFRICAINS
Lorsqu’en 2006, Kadhafi réunit les Ministres de l’Intérieur Africain pour leur proposer une carte d’identité unique avec une codification commune pour toute l’Afrique afin de faciliter le déplacement des Africains sur tout le continent sans formalité administrative excessive, tous les présents étaient contents et enthousiastes du projet du guide Libyen. Mais à leur retour, un coup de fil à Paris, un autre à Londres et voilà que l’idée n’était plus bonne pour certains pays qui ont vite relayé la propagande selon laquelle si la mesure était entrée en application, la Libye aurait colonisé les autres pays africains. Là où le comble arrive est lorsque les clandestins africains en Libye proviennent à 99% des pays qui avaient refusé la proposition Libyenne.
Par ailleurs, pour des raisons de sécurité intérieure, aucun pays du monde ne peut assister passivement au fait que son territoire devienne le point de passage des personnes qu’il n’est pas en mesure d’identifier. En Libye, il y a la même loi qui est en vigueur dans tous les pays Africains, c’est le délit de clandestinité pour les étrangers démunis de titres de séjours valides.
Pour terminer, pour tous les Africains dotés d’un minimum sens de discernement, il ne fait aucun doute que le destin de la jeunesse africaine n’est pas celui de se mettre en marche vers l’illusion d’un hypothétique paradis européen pour occuper le bas de l’échelle des classes sociales en occident. L’objectif pour lequel il vaut la peine se battre est celui de faire rêver l’Afrique. L’Afrique doit faire rêver les Africains, afin qu’ils aient la sérénité et l’enthousiasme nécessaire pour surmonter les défis qui les attendent.
En conclusion, accuser Kadhafi de n’avoir pas laissé les clandestins se déplacer librement sur son territoire c’est faire montre d’une incapacité à comprendre la complexité des problèmes qui nous entourent.
Pour revenir à l’accusation même, L’information principale qui a justifié la résolution 1973 du Conseil de Sécurité des Nations-Unies est celle d’un prétendu carnage de 10.000 morts et 55.000 blessés en 1 mois, commandité par le Président Libyen. C’est une affirmation mensongère et pour plusieurs raisons :
Logique : Pour tuer 10.000 personnes en un mois, il faut être capable d’en tuer 300 à 400 tous les jours. Seul Hitler y est parvenu, mais il a eu besoin de plusieurs installations de fours crématoires.
Kadhafi aurait utilisé des avions de combat qui normalement volent à 5.000 mètres d’altitude et à une vitesse de 1.000 km/h. A moins de larguer une bombe atomique, ces avions, aussi spéciaux soient-ils ne pourraient pas réussir un tel exploit.
Pour les blessés, leur nombre est dans tous les pays du monde fournis par des sources hospitalières. Dans la gestion optimale d’un hôpital, il est prévu environ 10 à 20 places de libre pour accueillir des cas impromptus. Pour accueillir 55.000 blessés, à raison de 20 par hôpital, il faudrait 2.750 hôpitaux pour accueillir tous les blessés Libyens et même en utilisant tous les hôpitaux du continent africain (environ 1.230) on n’y arriverait jamais.
Les photos diffusées de ce prétendu massacre proviennent du cimetière « Sidi Hamed Cemetery » où se déroulait une normale opération de renouvellement du sol avec déplacement des restes humains, pratique très habituelle et commune dans le monde judéo-islamo-chrétien pour laisser place aux nouveaux morts, chaque 10 ou 20 ans selon les pays.
Origine de l’information. Le philosophe Chinois Mo Tseu (479-381 avant l’ère chrétienne) a écrit que pour vérifier la véracité d’une information, il faut d’abord identifier la source et se demander quelles sont les raisons avouées et inavouées de celui qui vous communique une information. D’où est arrivée l’information ? des rebelles, c’est naturel ! Mais diffusée sans conditionnel par la Chaine de télévision Al Jazeera qui appartient à l’émir du Qatar. Le hasard veut que ce petit pays soit le seul pays Arabe qui participe à larguer les bombes sur la tête des Libyens. Une coïncidence plutôt troublante.
A ce jour, plusieurs mois après le prétendu massacre, on n’a toujours pas l’ombre d’une preuve irréfutable. Ce qui n’a pas empêché le mandat d’arrêt du procureur de la Cour pénale internationale (CPI) Luis Moreno-Ocampo qui était vigilent de menacer Gbagbo pour les 7 femmes tuées à ABOBO le 8 Mars 2011, mais complètement muet au moment des faits et amnésique aujourd’hui pour les 1.200 morts de Ouattara à Duékoué (selon le CICR et la CARITAS) et cela en présence des troupes françaises de la Licorne et celle de l’ONUCCI.
Monsieur Moreno-Ocampo n’a pas jugé opportun d’effectuer le moindre déplacement en terre libyenne pour vérifier ces accusations. Qu’importe, demander l’arrêt d’un Chef d’état Africain non docile est devenu le seul motif qui justifie l’existence même du TPI.
KADHAFI ET LES MIGRANTS AFRICAINS
Lorsqu’en 2006, Kadhafi réunit les Ministres de l’Intérieur Africain pour leur proposer une carte d’identité unique avec une codification commune pour toute l’Afrique afin de faciliter le déplacement des Africains sur tout le continent sans formalité administrative excessive, tous les présents étaient contents et enthousiastes du projet du guide Libyen. Mais à leur retour, un coup de fil à Paris, un autre à Londres et voilà que l’idée n’était plus bonne pour certains pays qui ont vite relayé la propagande selon laquelle si la mesure était entrée en application, la Libye aurait colonisé les autres pays africains. Là où le comble arrive est lorsque les clandestins africains en Libye proviennent à 99% des pays qui avaient refusé la proposition Libyenne.
Par ailleurs, pour des raisons de sécurité intérieure, aucun pays du monde ne peut assister passivement au fait que son territoire devienne le point de passage des personnes qu’il n’est pas en mesure d’identifier. En Libye, il y a la même loi qui est en vigueur dans tous les pays Africains, c’est le délit de clandestinité pour les étrangers démunis de titres de séjours valides.
Pour terminer, pour tous les Africains dotés d’un minimum sens de discernement, il ne fait aucun doute que le destin de la jeunesse africaine n’est pas celui de se mettre en marche vers l’illusion d’un hypothétique paradis européen pour occuper le bas de l’échelle des classes sociales en occident. L’objectif pour lequel il vaut la peine se battre est celui de faire rêver l’Afrique. L’Afrique doit faire rêver les Africains, afin qu’ils aient la sérénité et l’enthousiasme nécessaire pour surmonter les défis qui les attendent.
En conclusion, accuser Kadhafi de n’avoir pas laissé les clandestins se déplacer librement sur son territoire c’est faire montre d’une incapacité à comprendre la complexité des problèmes qui nous entourent.
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