Réunies les 6 et 7 juin à New York, les délégations du Maroc et du Polisario devaient examiner les mesures possibles pour la réconciliation et pour éviter des actes de provocation. Cette réunion, dite 7ème session de négociations informelles, se déroulait avec la présence également de l’émissaire de l’ONU au Sahara occidental, Christopher Ross, mais aussi des représentants de l’Algérie et de la Mauritanie, en qualité d’observateurs. Ainsi l’état des ressources naturelles des provinces de Sakia El Hamra et d’Oued Eddahab, a été évoqué afin de mettre un terme aux allégations et aux surenchères infondées sur une éventuelle exploitation de ces ressources par le Maroc. L’examen préliminaire de la question du déminage, la question des droits de l’homme et celle du recensement et de l’identification des populations sahraouies ainsi que des propositions d’approches nouvelles pour les futures discussions ont été également soulevées par la partie marocaine. Des mesures destinées à établir la confiance entre les parties ont également été proposées par la partie marocaine afin de trouver une solution politique définitive à ce différend régional, dans le cadre d’une large autonomie tel que proposé par le Maroc.
Face à l’approche constructive du Royaume du Maroc, le Polisario, à l’instigation de ses mentors et protecteurs, ont rejeté toutes les propositions marocaines, refusant notamment aux populations séquestrées dans les camps de Tindouf d’être recensées et identifiées et donc d’obtenir une carte du HCR, une carte qui lui octroierait de nombreux droits, dont ceux de circuler et de s’exprimer librement.
En conclusion, il est légitime d’affirmer que le Maroc a rempli toutes ses obligations en matière de recherche d’une solution qui satisfasse toute les parties, contrairement au Polisario et à l’Algérie qui tergiversent et abusent de la stratégie funeste de blocage qui sert leurs intérêts financiers.
Aujourd’hui la question de la représentativité des populations sahraouies, se pose avec acuité. Le Polisario ne peut continuer à prétendre être l’unique représentant de ces populations. D’ailleurs, de nombreuses voix s’élèvent dans les camps de Tindouf et à l’extérieur des organisations dissidentes sont créées et demandent à être associées aux processus de négociations avec le Maroc.
En vous demandant de bien vouloir publier et diffuser ce papier. Une réponse par courriel à cette requête serait appréciée. Merci.
Farid Mnebhi.
Face à l’approche constructive du Royaume du Maroc, le Polisario, à l’instigation de ses mentors et protecteurs, ont rejeté toutes les propositions marocaines, refusant notamment aux populations séquestrées dans les camps de Tindouf d’être recensées et identifiées et donc d’obtenir une carte du HCR, une carte qui lui octroierait de nombreux droits, dont ceux de circuler et de s’exprimer librement.
En conclusion, il est légitime d’affirmer que le Maroc a rempli toutes ses obligations en matière de recherche d’une solution qui satisfasse toute les parties, contrairement au Polisario et à l’Algérie qui tergiversent et abusent de la stratégie funeste de blocage qui sert leurs intérêts financiers.
Aujourd’hui la question de la représentativité des populations sahraouies, se pose avec acuité. Le Polisario ne peut continuer à prétendre être l’unique représentant de ces populations. D’ailleurs, de nombreuses voix s’élèvent dans les camps de Tindouf et à l’extérieur des organisations dissidentes sont créées et demandent à être associées aux processus de négociations avec le Maroc.
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Farid Mnebhi.
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