Plusieurs pays ont décidé d'apporter de l'aide aux rebelles aprés les appels du CNT à une aide financière pour faire face aux manques de liquidités et continuer le combat face au régime de Kadhafi, si les autres pays se sont contentés d'annoncer les sommes attribuées, les Italiens eux ont débloqué les avoirs de Kadhafi qui serait de l'ordre de 600 millions de dollars, la France débloquera $298 millions, Abu Dhabi $180m, le Koweit $108m, Hilary Clinton en tournée chez les membres du groupe de contact s'est contenté avec l'aide supplémentaire des USA de $26 millions, la GB manque pour le moment à l'appel.
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L'argent de Kadhafi débloqué pour les rebelles
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ce n'est pas L'argent de Kadhafi
c'est L'argent des lybiens volé par Kadhafi , qui revient aux lybiens
ou est le probléme ?
Ooups ..ok je .........>sorsارحم من في الارض يرحمك من في السماء
On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)
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La France a débloqué 423 millions de dollars et pas 198, en fait les 600 millions débloqués par l'Italie sont sous forme de prêts malgrés qu'ils appartiennent aux Libyens, une fois le CNT au pouvoir ils n'auront pas besoin de les rembourser bien sûr. Comme garantie l'Italie garde les milliards de dollars bloqués et si par malheur Kadhafi reste au pouvoir les Italiens déduiront la somme prêtée de ses avoirs, si j'ai bien compris l'annonce du porte parole du MAE Italien.Pas à la tique ..
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Près d'un milliard d'euros pour les rebelles de Benghazi
Par Alain Barluet
09/06/2011 | Mise à jour : 21:08 Réagir
La secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton a évoqué le Conseil national de transition (CNT), organe politique de la rébellion libyenne, comme l'interlocuteur légitime du peuple libyen.
La secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton a évoqué le Conseil national de transition (CNT), organe politique de la rébellion libyenne, comme l'interlocuteur légitime du peuple libyen. Crédits photo : © Jumanah El-Heloueh / Reuters/REUTERS
Réunis jeudi à Abu Dhabi, les pays engagés en Libye ont promis d'accroître leur aide financière à l'insurrection.
Alors que l'Otan vient de réaffirmer sa volonté de poursuivre sa mission «aussi longtemps que nécessaire», le quasi-statu quo observé sur le terrain confirme que la solution en Libye ne saurait être uniquement militaire. D'où la détermination des pays engagés dans le conflit à renforcer tous azimuts les pressions diplomatiques, financières, judiciaires sur le régime de Tripoli. Une panoplie de mesures examinée jeudi par la vingtaine de ministres des Affaires étrangères du «groupe de contact» réunis à Abu Dhabi, sans oublier le nerf de la guerre, les moyens financiers qui font actuellement gravement défaut à la rébellion.
Les chefs de la diplomatie ont déclaré jeudi «opérationnel» le mécanisme d'aide qu'ils avaient créé lors de leur précédente réunion, le 5 mai à Rome. L'Italie a indiqué qu'elle allait fournir une aide directe de 300 à 400 millions d'euros aux rebelles libyens, sous forme de prêts et de carburant. Le Koweït a promis une aide directe de 180 millions de dollars, le Qatar 100 millions. Présent à Abu Dhabi, Alain Juppé a souligné que la France allait débloquer «dans les prochains jours» 290 millions d'euros appartenant à la Banque centrale libyenne et gelés dans le cadre des sanctions financières contre le régime.
«Plus tôt tu partiras, mieux ça vaudra»
Jeudi, le «groupe de contact» s'est également félicité de voir la rébellion gagner en soutien international, notamment de la part des Africains, réticents jusqu'à présent à se désolidariser du régime de Tripoli. Lundi, le président mauritanien, Mohamed Ould Abdel Aziz, a lâché Kadhafi en déclarant qu'il «ne peut plus diriger la Libye». Et jeudi, le Sénégalais Abdoulaye Wade s'est rendu à Benghazi, deux semaines après avoir reconnu le Conseil national de transition (CNT). «Plus tôt tu partiras, mieux ça vaudra», a lancé, à l'intention de Kadhafi, le président sénégalais qui était le premier chef d'État étranger à effectuer une visite dans le fief des insurgés.
Quant à la Chine, elle s'est déclarée prête, jeudi, à accueillir «dans un avenir proche» une visite des représentants de la rébellion. Pékin, habituellement retranché derrière le principe de non-ingérence, a décidé de jouer l'équilibre, tendant la main au CNT alors qu'était reçu, cette semaine en Chine, le ministre libyen des Affaires étrangères, Abdelati al-Obeïdi. En outre, l'Espagne est devenue mercredi le neuvième pays à reconnaître le CNT.
Le Figaro
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Après avoir été abrutis pendant 40 ans par le fou, ils ne sont pas prêts de se secouer et se regarder devant un miroir. Si çà doit arriver s'ils ne gerbent pas mieux vaut qu'ils gardent à leur tête le clown, ils auront un grand un intérêt à le garder alors.
Au moins lui leur donnera de l'argent de poche.
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et continuer le combat face au régime de KadhafiTu ne peux empêcher les oiseaux de la tristesse de voler au-dessus de ta tête, mais tu peux les empêcher de faire leurs nids dans tes cheveux.
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petit cours d'economie..
Et si c'était les fonds souverains lybiens qui serviraient en fin de compte à étre directement réinjectés dans les économies occidentales par la fournitures d'armes et de bouffes + infrastructures au CNT ?
1-Peux tu nous expliquer ce que signifie "fond souverains...."
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