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Raouraoua: "Le sélectionneur sera une grosse pointure"

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  • Raouraoua: "Le sélectionneur sera une grosse pointure"

    Le futur sélectionneur de l'équipe algérienne de football doit être une ''grosse pointure'', posséder un ''palmarès éloquent et jouir d'une grande expérience internationale'', a souligné vendredi le président de la Fédération algérienne (FAF) M. Mohamed Raouraoua. ''Nous voulons offrir à notre équipe nationale un staff technique de très haut niveau, dirigé par un vrai coach, capable de prendre ce puzzle (joueurs), le monter, afin d'en faire une machine à gagner'', a déclaré M. Raouraoua, à la Radio nationale, précisant que le futur entraîneur devrait prendre ses fonctions le 10 août prochain, date du prochain match amical des ''Verts''.
    Pour ce qui est du profil du technicien recherché, Raouraoua précise que celui-ci (le futur entraîneur «doit avoir un gros palmarès et posséder les capacités pour offrir à notre équipe nationale une préparation optimale et de qualité».
    Maintenant, il faut vite se rattraper. Il faut entamer un nouveau cycle, en coupant avec le passé. Ce nouveau cycle veut dire nouvelles méthodes de travail, nouveau staff et peut être de nouvelles ressources humaines, a-t-il estimé.
    Pour le responsable de la FAF, la réalité du football en Afrique a changé. Il en veut pour preuve, les résultats des qualifications pour la CAN-2012, avec les coups d'éclat des sélections du Botswana, Niger, Sierra Léone, voire la Centrafrique, où encore l'élimination inattendue de l'Egypte et pratiquement celle du Cameroun. ''Il y a un nivellement du football africain qui se fait'', a-t-il estimé.
    Pour l'examen des candidatures qui commencent déjà à parvenir à la Fédération, une commission présidée par M. Mohamed Mecherara, vice-président de la FAF et président de Ligue nationale de football, a été mise sur pied. Elle est composé également d'anciens capitaines de l'équipe algérienne: Ali Attoui, Ali Fergani et Abdelhafid Tasfaout, outre le docteur Ali Yekdah.
    24 heures après l'appel à candidature lancée par la FAF pour trouver un successeur à Abdelhak Benchikha, démissionnaire à l'issue de la défaite concédée face au Maroc (4-0) à Marrakech, pour le compte des éliminatoires de la CAN-2012, des Curriculum vitae ont commencé à parvenir au siège de la Fédération.
    ''Pour la seule journée d'aujourd'hui (vendredi) nous avons reçu quatre ou cinq propositions'', a révélé le président de l'instance fédérale algérienne.
    Le bureau fédéral choisira le futur sélectionneur à partir d'une ''Short List'' que lui présentera la commission chargée d'étudier les candidatures.
    APS
    veni vidi vici .

  • #2
    Raouraoua: "Le sélectionneur sera une grosse pointure"
    Est ce qu'ils sont sont sur une piste? je pose cette question car les grands entraineur ca ne court pas les rues.

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    • #3
      On parle de Lippi ...

      Une réflexion de Madjer que je partage..

      L’ancienne gloire du football algérien, Rabah Madjer a accordé un entretien à Compétition DZ. Il revient sur la débâcle subie par les Fennecs à Marrakech face aux Lions de l’Atlas (4-0) et sur le profil du prochain sélectionneur national. L’ex-star du football algérien, Rabah Madjer qui était à Marrakech s’est dit peiné par cette lourde défaite difficile à digérer. « C’était trop triste, j’ai assisté en direct à cette lourde défaite (4-0), puisque j’étais au stade de Marrakech, et croyez-moi, ça m’a fait beaucoup de mal. Cette défaite je l’ai ressentie au fond de moi-même, c’est difficile de vous décrire exactement ce que j’ai éprouvé, c’était de la tristesse, de l’amertume, enfin, un mélange de sentiments qui fait très mal.»
      L’ancien pensionnaire de Porto estime que Benchikha n’est pas responsable de cette faillite. « Je connais Benchikha, et je n’ai jamais douté de ses capacités, sauf comme je viens de l’expliquer, il a hérité d’une bombe à retardement qui a explosé entre ses mains. Un cadeau empoisonné. Je ne veux pas rentrer dans les détails, c’est juste pour éclaircir la situation. Je vous parle en tant que technicien, depuis trois ans qu’on gagne difficilement. Cela fait quand même trois ans que les choses ne tournent pas rond dans cette sélection. »
      Devant l’insistance de la FAF d’enrôler un entraineur étranger, Madjer estime que la sélection nationale a toujours fait des résultats qu’avec des sélectionneurs algériens. « Tous les titres et performances de l’équipe nationale acquis jusqu’à aujourd’hui, l’ont été sous la coupe d’entraîneurs locaux, la qualification en Coupe du monde d’Espagne 1982, c’était avec Mekhloufi et Khalef, la qualification également en Coupe du monde 1986 c’était avec Saâdane. Le titre de champion d’Afrique 1990 avec Kermali, la Coupe afro-asiatique avec Kermali et j’en passe »
      Et de rajouter tout en badinant mais avec un fonds de sérieux : « Puisque la fédération cherche un entraîneur étranger, moi je suis un Algérien et fier de l’être, donc je ne réponds pas au profil, si vous voyez ce que je veux dire... »

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      • #4
        faut qu'il arrête madjer la !! s'il veut la selection qu'il aille nous montrer ce qu'il sait faire en coachant un club ou selection, apres il pourra parler.en plus il a deja eu sa chance basta !

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        • #5
          J'ai bien peur que la montagne accouchera d'une souris.

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          • #6
            Raouraoua: "Le sélectionneur sera une grosse pointure"
            Ca ce confirme, C’est les journalistes qui dirige la FAF pas Rouraoua.,

            On n’a pas besoin d’un entraineur de grosse pointure, on ne va pas remporter la coupe du monde ni même jouer ni les demis ni les quarts de finale de cette coupe. On doit faire avec les entraineurs qu’on a quelque soit les résultats. Le moindre Euro doit être dépensé dans le développement du football national, et non dans l’enrichissement d’un entraineur quelque soit sa pointure. L’équipe nationale devrait être le produit du développement que Raouraoua est supposé avoir apporté. La il essaye encor de se maintenir. C’est une décision populiste.

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            • #7
              Rien ne sert d'avoir une "GROSSE POINTURE" au post d'entraineur quand on a "UN NAIN" aux pouvoir destructeurs enormes au poste de president de la faf , qu'est ce raouraoua !
              Maintenant , si c'est pour avoir un entraineur etranger grosse pointure , ok , mais a condition que toute la chaine de commandement le soit aussi , c'est a dire un president de la faf etranger , un ministre des sports etranger et meme un president de la republique etranger . et les resultats magnifiques suivront , j'en suis certain .
              Ne le dites surtout a personne ! En Algerie , on refait les meme infrastructures de base ( routes , trottoirs , egouts , abris-bus etc ) a longueur d'année .

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              • #8
                Quatre ans après, la FAF retourne à l'option d'un sélectionneur étranger
                Le Soir d'Algérie : 11 - 06 - 2011

                En décidant de lancer un appel à candidatures pour trouver un successeur étranger à Abdelhak Benchikha, démissionnaire, la Fédération algérienne de football (FAF) revient ainsi à cette option, quatre ans après le passage du Français Jean-Michel Cavalli (mai 2006-août 2007), dernier technicien étranger en date à diriger la barre technique de l'équipe nationale.
                Abdelhak Benchikha, qui a rejoint les Verts au mois de septembre 2010, a démissionné, à l'issue de la défaite concédée face au Maroc (4-0), à Marrakech, le 4 juin dernier, pour le compte de la 4e journée (groupe D) des éliminatoires de la CAN-2012. Un revers lourd de conséquences, puisqu'il place l'Algérie dans une position défavorable en vue d'une qualification pour la CAN- 2012, dont la phase finale aura lieu au Gabon et en Guinée équatoriale. «En tenant compte de l'échec de l'option d'un coach local, en dépit des moyens nécessaires à une gestion optimale de l'équipe nationale, la FAF privilégie, désormais, le recrutement d'un staff technique de haut niveau international», avait indiqué la FAF à l'issue de la réunion de son bureau fédéral, mercredi.

                De Lucien Leduc à Jean-Michel Cavalli
                Le premier technicien étranger à avoir assuré les destinées techniques de l'équipe nationale est le Français Lucien Leduc, et ce, de novembre 1966 à janvier 1969. Celui qui avait permis à l'AS Monaco de remporter ses cinq premiers trophées professionnels (trois championnats et deux coupes), reste l'entraîneur étranger qui est resté le plus longtemps à la tête des Verts, plus que tous les autres coachs jusqu'à présent. Cinq années après, c'est le Roumain Valentin Makkri qui devient sélectionneur, succédant à l'Algérien Saïd Amara. Makkri a dirigé les Verts de février 1974 à juin 1975. En septembre 1979, la barre technique de la sélection nationale est confiée de nouveau à un étranger, en l'occurrence le Yougoslave Zdravko Rajkov, en duo avec l'Algérien Khalef Mahieddine. Sous la houlette de Rajkov-Khalef, l'Algérie a pu atteindre la finale de la Coupe d'Afrique des nations CAN-1980, qui s'est déroulée au Nigeria, avec une défaite sur le score de 3-0 devant le pays hôte. Une année après leur arrivée, Rajkov et Khalef quittent la barre technique de la sélection. En juillet 1981, l'instance fédérale décide de nommer le Russe Guennadi Rogov à la barre technique, avec comme adjoints Mohamed Maouche et Rabah Saâdane. Sous la houlette de ce trio, la sélection algérienne a connu son âge d'or avec une première qualification pour la Coupe du monde de 1982, qui s'est disputée en Espagne, avant de céder sa place à Mahieddine Khalef (mars 1982- août 1982), qui a dirigé les coéquipiers de Rabah Madjer en terre ibérique. Au mois d'octobre 1986, le technicien russe Guennadi Rogov revient chez les Verts, mais en solo. Avec lui, l'Algérie décroche la 3e place à la CAN-1988 au Maroc. Il quitte le navire de la sélection en mars 1988. La piste roumaine revient en la personne du technicien, Mircea Radulescu, qui a été nommé en tant qu'adjoint de l'Algérie Abdelghani Djadaoui. Les deux techniciens ont travaillé ensemble de septembre 2000 jusqu'à février 2001. Deux ans plus tard (janvier 2003), Mohamed Raouraoua, alors président de la FAF, désigne le Belge Georges Leekens en tant que coach national, succédant ainsi à Hamid Zouba. Même s'il avait signé un contrat qui courait jusqu'en 2004, Leekens décide de quitter la sélection, après une séparation à l'amiable avec la FAF. L'ancien entraîneur du RSC Anderlecht est resté pendant six mois seulement à la tête de la barre technique, avec à la clé une qualification pour la phase finale de la CAN-2004, en Tunisie. En avril 2004, un autre Belge débarque chez les Verts. Il s'agit de Robert Waseige. Après douze mois en tant que sélectionneur, la FAF décide de mettre fin au contrat de Waseige, après la défaite subie à Annaba, devant le Gabon (0-3), en match comptant pour les compétitions jumelées (Mondial-CAN 2006). Le bilan de Waseige ne comporte aucune victoire, avec quatre nuls et trois défaites dont deux officielles. Enfin, le Français Jean-Michel Cavalli est le dernier technicien en date à prendre en charge les destinées techniques de l'équipe nationale, durant la période allant de mai 2006 à août 2007. La FAF a décidé de limoger Cavalli, pour avoir échoué dans sa mission de qualifier l'équipe nationale à la CAN 2008 au Ghana, dont c'était l'objectif principal. L'Algérie avait terminé les qualifications dans le groupe 8, en seconde position (8 points), derrière la Guinée (11 points) de Robert Nouzaret, et qui s'est qualifiée pour le rendez-vous ghanéen. Plusieurs noms sont évoqués par la presse locale pour succéder à Abdelhak Benchikha, entre autres les techniciens français Claude Leroy, Philippe Troussier, Gérard Gili, ainsi que le Bosnien Vahid Halilhodzic.
                (رأيي صحيح يحتمل الخطأ، ورأي غيري خطأ يحتمل الصواب (الامام الشافعي

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                • #9
                  le salaire d'un entraineur peut nourrir des vrais travailleurs qui produisent. Le foot ne produit rien pour nous.

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                  • #10
                    Equipe nationale : En lançant l'appel à candidature
                    Quand Raouraoua joue les Ponce Pilate

                    Info Soir : 11 - 06 - 2011

                    Réaction n Le président de la Fédération algérienne de football, Mohamed Raouraoua, est sorti de sa réserve, hier, sur les ondes de la radio nationale pour essayer de calmer les esprits au sujet de l'avenir de la sélection nationale.

                    Depuis la débâcle de Marrakech, c'est la première fois que le président Raouraoua s'exprime. Il faut dire que jusqu'ici, la FAF s'était contentée d'un communiqué laconique pour annoncer la démission d'Abdelhak Benchikha avant de tenir son Bureau fédéral, mardi, ponctué par un autre communiqué qui, enfin, revient sur la déroute des Verts en terre marocaine. Il a fallu attendre presque une semaine après et une intervention radiophonique pour que le premier responsable du football algérien s'exprime, mais sans reconnaître les erreurs de la Fédération.

                    A aucun moment, Raouraoua n'a reconnu les mauvais choix qu'il a faits, que ce soit en prolongeant le contrat de Rabah Saâdane au lendemain du Mondial-2010 ou en remettant les clés de la sélection à Abdelhak Benchikha. Bien au contraire, le communiqué du Bureau fédéral a grillé les techniciens algériens oubliant au passage que c'est Saâdane, qu'on est allé chercher chez lui en 2007, qui a réussi à sortir l'Equipe nationale du fond du trou dans lequel elle végétait en ratant les CAN-2006 et 2008. Ce n'est pas parce que Benchikha a échoué dans sa mission que tous les techniciens algériens doivent trinquer, sachant que les seuls titres glanés par notre sélection nationale ont été réalisés sous les ordres d'entraîneurs ou de sélectionneurs nationaux (Rachid Mekhloufi, Mahieddine Khalef, Abdelhamid Kermali, Noureddine Saâdi…), sans, bien évidemment, rejeter le mérite de tous les étrangers qui y ont contribué à un moment ou à un autre (Snella, Rogov, Rayjkov…). Aujourd'hui, des techniciens comme Meziane Ighil, Boualem Charef ou Noureddine Saâdi, pour ne citer que ceux-là, n'ont rien à envier à des techniciens étrangers compte tenu de leur savoir, leur expérience et leurs connaissances du football algérien.

                    Le problème chez nous, c'est que ce genre d'homme ne peut travailler aisément en raison d'un tas de raisons, alors autant ramener un staff technique de très haut niveau et une grosse pointure comme l'a annoncé, hier, Raouraoua, sur les ondes de la radio nationale, histoire de calmer les ardeurs des uns et des autres. On aurait cru assister à une Star Académie pour choisir le futur sélectionneur national en mettant en avant l'appel à candidature comme si c'était un procédé révolutionnaire qui nous éviterait d'autres mauvais choix à l'avenir. Toujours est-il que le 10 août prochain, l'Algérie aura, normalement, son sélectionneur, un technicien au «riche» palmarès et possédant «les capacités pour offrir à nos Verts une préparation optimale et de qualité.» Raouraoua parlera également de nouveau cycle, ce qui signifie que l'échéance de 2012 s'est pratiquement évanouie dans la nature de Marrakech, un certain samedi 4 juin 2011. «Il faut également couper avec le passé», selon Raouraoua, et se projeter dans l'avenir en recourant à un sélectionneur étranger qui ne choisira en fait (on prend les paris dès maintenant) que des joueurs évoluant à l'étranger. Une commission composée des trois Ali, Fergani, Attoui et le Dr Yekdah ainsi que d'Abdelhafid Tasfaout et présidée par Mohamed Mecherara aura à étudier les CV et les candidatures des techniciens qui postuleront à la tête des Verts avec un projet sportif et des méthodes pour «révolutionner» notre football qui, derrière le rideau, se morfond dans un professionnalisme de pacotille et dans des schémas de développement dépassés par les us et le temps. Et c'est le fond du problème dont personne ne veut parler ni regarder d'ailleurs. Au fait, qu'a-t-on fait des candidatures pour le poste de DTN ? Simple question.
                    A. Salah-
                    (رأيي صحيح يحتمل الخطأ، ورأي غيري خطأ يحتمل الصواب (الامام الشافعي

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