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Le Monde musulman, composé de 57 pays compte seulement 500 universités, alors que l´Inde en compte, à elle seule, 8407, suivie par les Etats-Unis d´Amérique avec 5758.
Ces chiffres ont été révélés par Hafez Mohamed, directeur général de la Banque Al Baraka, établie en Afrique du Sud. «Il n´y a aucune université dans l´ensemble du Monde islamique figurant dans le Top classement des 500 universités du monde», a fait savoir Hafez Mohamed dans un discours prononcé, il y a quelques jours, en Afrique du Sud, estimant qu´en accordant une place conséquente pour la recherche scientifique, la société occidentale s´est largement démarquée de la société arabo-musulmane en matière de développement et de progrès.
Et de signaler, dans le même contexte, pour avoir relégué au second plan, l´investissement dans les sciences, le Monde musulman a perdu la capacité de produire des connaissances et s´inscrit donc parmi ces pays, qui ne parviennent pas à appliquer les connaissances et les promouvoir. Il est évident que le développement des nations se mesure à l´aune du savoir et de la recherche scientifique.
Il constitue en quelque sorte le baromètre permettant d´évaluer l´état de santé d´une société. «98% des citoyens dans la société occidentale ont accompli le primaire, alors que seuls 50% dans les pays musulmans l´ont fait», a souligné Hafez Mohamed, estimant que l´alphabétisation dans le monde chrétien est de 90%, tandis qu´elle est de 40% dans le monde musulman.
En accordant une place conséquente pour la recherche scientifique, la société occidentale s´est, selon le directeur général de la Banque Al Baraka, largement démarquée de la société arabo-musulmane en matière de développement et de progrès. C´est dire que toutes les grandes puissances, qui ont gravé leur nom dans l´Histoire de l´humanité, sont celles qui avaient investi dans les sciences et dans la production et la diffusion de la connaissance.
A ce titre, il faut noter que les toutes fraîches statistiques renseignent sur le fait que les Etats-Unis d´Amérique comptent 5000 scientifiques par million, alors que le Monde arabo-islamique, fort de 1,5 milliard habitants, enregistre, quant à lui, 230 par million. Cela explique, d´ailleurs, le faible niveau de production et d´exportation de produits de haute technologie dans les 57 pays musulmans.
Sur ce chapitre, il convient de noter que les exportations de produits de haute technologie en provenance, entre autres, du Pakistan sont de 0,9% de ses exportations, de l´Arabie Saoudite 0,2%, du Koweït, du Maroc et de l´Algérie 0,3%, de Singapour 68%.
Des chiffres qui parlent d´eux-mêmes quant au niveau bas en matière du savoir dans le Monde musulman, lequel demeure otage de son ignorance. Par ailleurs, la plupart des inventions qui ont changé l´Histoire, ainsi que les intellectuels influents et hommes politiques qui ont marqué de leur emprinte l´Histoire moderne de l´humanité ne sont pas issus du Monde islamique.
L'expression
Ces chiffres ont été révélés par Hafez Mohamed, directeur général de la Banque Al Baraka, établie en Afrique du Sud. «Il n´y a aucune université dans l´ensemble du Monde islamique figurant dans le Top classement des 500 universités du monde», a fait savoir Hafez Mohamed dans un discours prononcé, il y a quelques jours, en Afrique du Sud, estimant qu´en accordant une place conséquente pour la recherche scientifique, la société occidentale s´est largement démarquée de la société arabo-musulmane en matière de développement et de progrès.
Et de signaler, dans le même contexte, pour avoir relégué au second plan, l´investissement dans les sciences, le Monde musulman a perdu la capacité de produire des connaissances et s´inscrit donc parmi ces pays, qui ne parviennent pas à appliquer les connaissances et les promouvoir. Il est évident que le développement des nations se mesure à l´aune du savoir et de la recherche scientifique.
Il constitue en quelque sorte le baromètre permettant d´évaluer l´état de santé d´une société. «98% des citoyens dans la société occidentale ont accompli le primaire, alors que seuls 50% dans les pays musulmans l´ont fait», a souligné Hafez Mohamed, estimant que l´alphabétisation dans le monde chrétien est de 90%, tandis qu´elle est de 40% dans le monde musulman.
En accordant une place conséquente pour la recherche scientifique, la société occidentale s´est, selon le directeur général de la Banque Al Baraka, largement démarquée de la société arabo-musulmane en matière de développement et de progrès. C´est dire que toutes les grandes puissances, qui ont gravé leur nom dans l´Histoire de l´humanité, sont celles qui avaient investi dans les sciences et dans la production et la diffusion de la connaissance.
A ce titre, il faut noter que les toutes fraîches statistiques renseignent sur le fait que les Etats-Unis d´Amérique comptent 5000 scientifiques par million, alors que le Monde arabo-islamique, fort de 1,5 milliard habitants, enregistre, quant à lui, 230 par million. Cela explique, d´ailleurs, le faible niveau de production et d´exportation de produits de haute technologie dans les 57 pays musulmans.
Sur ce chapitre, il convient de noter que les exportations de produits de haute technologie en provenance, entre autres, du Pakistan sont de 0,9% de ses exportations, de l´Arabie Saoudite 0,2%, du Koweït, du Maroc et de l´Algérie 0,3%, de Singapour 68%.
Des chiffres qui parlent d´eux-mêmes quant au niveau bas en matière du savoir dans le Monde musulman, lequel demeure otage de son ignorance. Par ailleurs, la plupart des inventions qui ont changé l´Histoire, ainsi que les intellectuels influents et hommes politiques qui ont marqué de leur emprinte l´Histoire moderne de l´humanité ne sont pas issus du Monde islamique.
L'expression
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