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Par Mourad Arbani | 11/06/2011
Le premier secrétaire du FFS, Karim Tabbou a réuni hier les membres de son nouveau conseil national. Suite à quoi il a réuni la presse pour lui faire des réflexions de Hocine Ait Ahmed, qu’il avait rencontré, au sujet de la situation politique du pays. Fidèle à lui-même, le chef du FFS n’y va pas de main morte. « Dans notre pays, le crise nationale continue et les propositions de réformes avancées par le chef de l’état sont peu crédibles et peu susceptibles de remédier au tsunami politique économique et social provoqué par la décennie de sang suivie par une décennie de prédation de grande ampleur ».
Parlant de la commission Ben Salah, le chef du FFS s’interroge sur les véritables fonctions assignées à celle-ci.« Objectivement, on cherche à gagner du temps, mais, surtout à faire diversion ». Et de s’interroger encore sur le contexte actuel, voir le moment, marqué par des révolutions dans le monde arabe « pour, dans l’opacité, conclure un train d’accords commerciaux et financiers avec des partenaires etrangers.
C’est la sécurité nationale, voire même la souveraineté nationale qui peuvent être compromises » met en garde Hocine Ait Ahmed. Il est vrai, consent le chef du FFS, que le pays ne peut pas s’arrêter de fonctionner, « mais les décisions économiques et financières qui engagent l’avenir des générations exigent un débat transparent sérieux et un consensus de la nation ». Parlant des aspects politiques de la crise , le premier responsable du FFS focalise sur l’état de la gouvernance en Algérie et après avoir relevé la destruction entre Etat et citoyen et entre citoyens eux-mêmes, aujourd’hui « le problème de gouvernance du pays est entrain de détruire les relations entre les institutions elles mêmes .
Ceci risque de faire muter la crise de gouvernance en crise d’Etat, Ce qui peut connecter l’Algérie de la manière plus dangereuse qui soit sur la crise globale ». Sagissant de la crise libyenne, le chef du FFS souligne le risque du chaos, tout en déplorant au passage le manque de lisibilité de la position officielle algérienne.
Au delà, du contenu de la lettre de Hocine Ait Ahmed, karim Tabbou a eu à réagir par rapport à la décision de Abdelhamid Mehri de répondre favorablement à l’invitation de la comission Ben Salah. « Il est vrai que Hocine Ait Ahmed avait soutenu l’initiative de Mehri (contenue dans sa lettre adressée au président Bouteflika), mais nous respectons son choix », dira t-il à ce propos. Concernant, les tentatives de récupérations de l’islamisme, il est à la citation de son chef en parlant de « déstructuration des rapports » provoquée par la gouvernance.
S‘agissant de la position du FFS par rapport à la dernière sortie de Benbella, Karim Tabou, ne cherchant visiblement pas à mettre de l’huile sur le feu, dira que « les historiens ont parlé » ajoutant que « l’histoire doit être une affaire d’historiens » Concernant, la montée du fondamentalisme dans la société, à la lumière d’agressions contre certains débits de boissons à Alger Karim Tabbou dira que »ce phénomène ne peut être compris que dans le cadre d’une analyse globale qui intégrerait aussi la corruption et les autres maux dont souffre notre société ».
Le premier secrétaire du FFS, Karim Tabbou a réuni hier les membres de son nouveau conseil national. Suite à quoi il a réuni la presse pour lui faire des réflexions de Hocine Ait Ahmed, qu’il avait rencontré, au sujet de la situation politique du pays. Fidèle à lui-même, le chef du FFS n’y va pas de main morte. « Dans notre pays, le crise nationale continue et les propositions de réformes avancées par le chef de l’état sont peu crédibles et peu susceptibles de remédier au tsunami politique économique et social provoqué par la décennie de sang suivie par une décennie de prédation de grande ampleur ».
Parlant de la commission Ben Salah, le chef du FFS s’interroge sur les véritables fonctions assignées à celle-ci.« Objectivement, on cherche à gagner du temps, mais, surtout à faire diversion ». Et de s’interroger encore sur le contexte actuel, voir le moment, marqué par des révolutions dans le monde arabe « pour, dans l’opacité, conclure un train d’accords commerciaux et financiers avec des partenaires etrangers.
C’est la sécurité nationale, voire même la souveraineté nationale qui peuvent être compromises » met en garde Hocine Ait Ahmed. Il est vrai, consent le chef du FFS, que le pays ne peut pas s’arrêter de fonctionner, « mais les décisions économiques et financières qui engagent l’avenir des générations exigent un débat transparent sérieux et un consensus de la nation ». Parlant des aspects politiques de la crise , le premier responsable du FFS focalise sur l’état de la gouvernance en Algérie et après avoir relevé la destruction entre Etat et citoyen et entre citoyens eux-mêmes, aujourd’hui « le problème de gouvernance du pays est entrain de détruire les relations entre les institutions elles mêmes .
Ceci risque de faire muter la crise de gouvernance en crise d’Etat, Ce qui peut connecter l’Algérie de la manière plus dangereuse qui soit sur la crise globale ». Sagissant de la crise libyenne, le chef du FFS souligne le risque du chaos, tout en déplorant au passage le manque de lisibilité de la position officielle algérienne.
Au delà, du contenu de la lettre de Hocine Ait Ahmed, karim Tabbou a eu à réagir par rapport à la décision de Abdelhamid Mehri de répondre favorablement à l’invitation de la comission Ben Salah. « Il est vrai que Hocine Ait Ahmed avait soutenu l’initiative de Mehri (contenue dans sa lettre adressée au président Bouteflika), mais nous respectons son choix », dira t-il à ce propos. Concernant, les tentatives de récupérations de l’islamisme, il est à la citation de son chef en parlant de « déstructuration des rapports » provoquée par la gouvernance.
S‘agissant de la position du FFS par rapport à la dernière sortie de Benbella, Karim Tabou, ne cherchant visiblement pas à mettre de l’huile sur le feu, dira que « les historiens ont parlé » ajoutant que « l’histoire doit être une affaire d’historiens » Concernant, la montée du fondamentalisme dans la société, à la lumière d’agressions contre certains débits de boissons à Alger Karim Tabbou dira que »ce phénomène ne peut être compris que dans le cadre d’une analyse globale qui intégrerait aussi la corruption et les autres maux dont souffre notre société ».
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