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Une famille algérienne tuée dans un raid aérien de l’OTAN en Lybie
Les avions des forces de l’OTAN, qui mènent des raids contre la Lybie ont anéanti une famille algérienne dans la ville pétrolière de Ben Jawad, près de Ras Lanouf
La famille algérienne, originaire de la ville de Hassi Bahbah, dans le sud algérien, était composée de l’épouse, Benkacem Nicira, 41 ans et de ses deux fils, Sadiki Abdelmalek, 22 ans et Bilal, 19 ans.
Selon les proches des victimes, ils apprirent la triste nouvelle avant-hier par le biais de l’époux de leur fille, résident à Hassi Messaoud, qui était lui-même informé par un garde communal libyen que son ex femme et ses deux fils étaient victimes d’un raid aérien de l’OTAN.
Selon le frère de la victime, sa sœur vivait en Libye avec son époux et ses deux fils depuis 1999, après des problèmes familiaux, elle divorça de son mari et resta en Lybie où elle avait un travail. Celle-ci, selon son frère, était venue pour la dernière fois en Algérie en 2005.
Toujours selon les proches de cette famille, l’information n’a pas encore été confirmée et les deux numéros de téléphone qu’ils possèdent ne répondent plus. Par ailleurs, ils n’ont eu aucune réponse et aucune nouvelles de la part des autorités algériennes.
Ennahar/ Talal Deif/ Ahmed Khelfaoui
Les avions des forces de l’OTAN, qui mènent des raids contre la Lybie ont anéanti une famille algérienne dans la ville pétrolière de Ben Jawad, près de Ras Lanouf
La famille algérienne, originaire de la ville de Hassi Bahbah, dans le sud algérien, était composée de l’épouse, Benkacem Nicira, 41 ans et de ses deux fils, Sadiki Abdelmalek, 22 ans et Bilal, 19 ans.
Selon les proches des victimes, ils apprirent la triste nouvelle avant-hier par le biais de l’époux de leur fille, résident à Hassi Messaoud, qui était lui-même informé par un garde communal libyen que son ex femme et ses deux fils étaient victimes d’un raid aérien de l’OTAN.
Selon le frère de la victime, sa sœur vivait en Libye avec son époux et ses deux fils depuis 1999, après des problèmes familiaux, elle divorça de son mari et resta en Lybie où elle avait un travail. Celle-ci, selon son frère, était venue pour la dernière fois en Algérie en 2005.
Toujours selon les proches de cette famille, l’information n’a pas encore été confirmée et les deux numéros de téléphone qu’ils possèdent ne répondent plus. Par ailleurs, ils n’ont eu aucune réponse et aucune nouvelles de la part des autorités algériennes.
Ennahar/ Talal Deif/ Ahmed Khelfaoui