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Luc Ferry ne désarme pas. Le philosophe affirme ce dimanche dans les colonnes du Parisien que les différentes attaques dont il est actuellement la cible n'ont qu'un seul but : le "discréditer pour étouffer l'affaire" de pédophilie impliquant un ancien ministre qu'il a dénoncé sans donner de nom. Et ce dimanche soir, il promet même d'attaquer en diffamation ceux qui prétendent qu'il occupe un "emploi fictif".
Luc Ferry n'a pas assuré ses cours à l'université Paris-Diderotpendant l'année 2010-2011. Le professeur absent a pourtant reçu un salaire de 4.500 mensuels net pour cette mission non-assurée, selon le Canard Enchaîné. Matignon s'est engagé à régler la facture, l'ancien ministre ayant assuré une mission pour le gouvernement au cours de cette période. La polémique est née.
"L'affaire commence à me chauffer les oreilles"
Et Luc Ferry ne rigole plus. "L'idée de remboursement n'a pas de sens. Je suis détaché de mon université dans une autre administration, à savoir les services de Matignon comme président d'un des conseils qui entourent le Premier ministre. Donc, il ne s'agit pas de rembourser", s'agace l'ancien ministre de l'Education nationale. "Les gens comprennent que je touche deux traitements ou que Matignon va rembourser des heures que je n'ai pas faites, mais c'est grotesque ! On ne rembourse pas des heures que je n'ai pas faites. Je suis payé comme président du Conseil d'analyse de la société", poursuit-il. "L'affaire commence à bien faire. L'affaire commence à me chauffer les oreilles et maintenant je vais prendre un avocat pour poursuivre les gens qui disent des conneries", conclut Luc Ferry.
"Totalement grotesque"
D'autant que pour le philosophe, la polémique actuelle n'est pas une coïncidence. Cette histoire "totalement grotesque" sort "tout simplement parce qu'(il) a eu l'audace de briser un tabou" en accusant un ex-ministre d'actes pédophiles en direct à la télévision. Il n'a pas donné de nom. Une enquête est en cours. Et le philosophe doute : "Franchement, sans être paranoïaque, je sais que j'ai des ennemis. Il y a une concomitance des choses qui est assez claire. On cherche à me discréditer pour étouffer l'affaire en faisant croire que je suis un guignol", assure-t-il précisant qu'il n'a "évidemment aucun regret d'avoir lancé ce pavé dans la mare".
le télégramme
Luc Ferry n'a pas assuré ses cours à l'université Paris-Diderotpendant l'année 2010-2011. Le professeur absent a pourtant reçu un salaire de 4.500 mensuels net pour cette mission non-assurée, selon le Canard Enchaîné. Matignon s'est engagé à régler la facture, l'ancien ministre ayant assuré une mission pour le gouvernement au cours de cette période. La polémique est née.
"L'affaire commence à me chauffer les oreilles"
Et Luc Ferry ne rigole plus. "L'idée de remboursement n'a pas de sens. Je suis détaché de mon université dans une autre administration, à savoir les services de Matignon comme président d'un des conseils qui entourent le Premier ministre. Donc, il ne s'agit pas de rembourser", s'agace l'ancien ministre de l'Education nationale. "Les gens comprennent que je touche deux traitements ou que Matignon va rembourser des heures que je n'ai pas faites, mais c'est grotesque ! On ne rembourse pas des heures que je n'ai pas faites. Je suis payé comme président du Conseil d'analyse de la société", poursuit-il. "L'affaire commence à bien faire. L'affaire commence à me chauffer les oreilles et maintenant je vais prendre un avocat pour poursuivre les gens qui disent des conneries", conclut Luc Ferry.
"Totalement grotesque"
D'autant que pour le philosophe, la polémique actuelle n'est pas une coïncidence. Cette histoire "totalement grotesque" sort "tout simplement parce qu'(il) a eu l'audace de briser un tabou" en accusant un ex-ministre d'actes pédophiles en direct à la télévision. Il n'a pas donné de nom. Une enquête est en cours. Et le philosophe doute : "Franchement, sans être paranoïaque, je sais que j'ai des ennemis. Il y a une concomitance des choses qui est assez claire. On cherche à me discréditer pour étouffer l'affaire en faisant croire que je suis un guignol", assure-t-il précisant qu'il n'a "évidemment aucun regret d'avoir lancé ce pavé dans la mare".
le télégramme
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