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Histoires vraies L'exorcisme (1re partie)

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  • Histoires vraies L'exorcisme (1re partie)

    Info Soir
    Info Soir : 12 - 06 - 2011
    Anna Michel, une belle femme enceinte et brune, se promène dans les bois près de la ville de Klingenberg en Allemagne de l'Ouest en 1953. Elle passe devant une sinistre maison abandonnée. D'une ouverture dont la porte pourrie pend, accrochée par des gonds rouillés, sort une vieille femme borgne. L'œil unique de la sorcière se pose sur le ventre de la femme enceinte et lui dit :
    «Ton enfant sera pris par le Diable.»
    La malheureuse femme s'enfuit, terrifiée. Ses cheveux bruns en désordre, dans un grand froissement de jupe, elle court à travers le bois jusqu'à son mari, Joseph Michel.
    Celui-ci, robuste et paisible, pêchait à la ligne. Il écoute attentivement sa femme. Voyant qu'elle a pris la chose au sérieux, il court à la recherche de la vieille femme. La maison existe, sinistre à souhait, mais nulle trace de la sorcière.
    Joseph Michel, lui-même né à Klingenberg où il est établi depuis trente ans, riche propriétaire de scieries dans la région, ne la connaît pas. Pendant les jours qui suivent, il procède à une enquête discrète, mais personne n'a jamais rencontré cet étrange personnage ni n'en a entendu parler.
    Les mois ont passé. L'enfant naît. C'est une fille, Hildegarde, que ses parents prendront l'habitude d'appeler Anneliese. Elle est normale, et même pleine de santé. Mme et M. Michel, petit à petit, oublient l'étrange prédiction de la vieille femme borgne. Les années s'écoulent et d'autres enfants naissent dans cette famille prospère.
    C'est durant l'été de 1969, lorsque Anneliese est âgée de quinze ans, que survient la première crise.
    Sans prévenir, en regardant la télévision, la jeune Anneliese – une charmante adolescente aux longs cheveux bruns hérités de sa mère – tombe sur le sol, déchire ses vêtements, en gémissant dans une langue incompréhensible.
    Puis, ce qui est loin de lui ressembler, car Anneliese est plutôt réservée, sous les yeux horrifiés de ses parents et de ses frères et sœurs, voici qu'elle contorsionne en des poses volontairement obscènes.
    Le lendemain, Anneliese est conduite chez un médecin à Klingenberg qui la dirige sur un spécialiste des nerfs. Ce dernier pense qu'il s'agit de crises d'épilepsie et prescrit un traitement médical. Mais les crises continuent. Et chose curieuse elles n'ont jamais lieu au lycée où Anneliese est étudiante, ni même dans un endroit public. De sorte que la jeune fille termine ses études secondaires et entre à l'université, sans problème.
    Malheureusement, le traitement médical ne fait aucun effet et comme les crises continuent, toujours plus nombreuses et plus fortes, Anna et Joseph Michel, les parents, ne sont pas d'accord avec les médecins. Leur entourage non plus. Chacun, prétendant avoir déjà vu des épileptiques, estime que les symptômes ne correspondent pas à ceux d'Anneliese.
    S'il est vrai que les épileptiques tombent sur le sol et gémissent, ils ne prononcent pas comme Anneliese des paroles bizarres. Car lors de ses crises, Anneliese parle, mais une langue étrange que ses parents ne comprennent pas. Peut-être est-ce du grec ou du latin, mais ni Anna ni Joseph Michel ne pourraient l'affirmer car ils n'ont pas une grande culture.
    Le 14 septembre 1975, les parents se tournent alors vers l'Eglise dont ils pensent que les prêtres sont plus compétents dans un cas semblable.
    Le 1er juillet 1976, le docteur Martin Keller reste pétrifié en découvrant la malade qu'on lui présente. (A suivre...)
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

  • #2
    Bonjour Solas,

    C'est pour quand la 2ème partie ??????
    "La meilleur façon de prévoir l'avenir, c'est de le créer"

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    • #3
      tu fais un film Solas?
      on fait avec..........

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      • #4
        Bonsoir à tous!!!

        On doit deviner la suite???

        Sinon j'ai hate de connaitre la suite ...

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        • #5
          ca vient soyez patients
          boooh
          The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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          • #6
            Solas
            Le 14 septembre 1975, les parents se tournent alors vers l'Eglise dont ils pensent que les prêtres sont plus compétents dans un cas semblable.
            Le 1er juillet 1976, le docteur Martin Keller reste pétrifié en découvrant la malade qu'on lui présente. (A suivre...Pierre Bellemare...)
            Ca doit être quelque chose racontée par Pierre Bellemare...

            Dommage, il n'y a pas de suite

            Dernière modification par mehdi-amazigh, 13 juin 2011, 19h25.

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            • #7
              The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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              • #8
                brrrrrrrrrrrr ci pour les malades ces trucs.............j'regarde po!:22:
                on fait avec..........

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                • #9
                  J'ai vu ce film au moins trois fois....
                  MMMMM
                  Bon appetit, j'etais entrain de manger une mahjouba, ça m'a coupé l'appetit

                  Pourquoi j'ai un fou rire au lieu de trembler de peur ... Je dois pas etre normale

                  Commentaire


                  • #10
                    Pourquoi j'ai un fou rire au lieu de trembler de peur ... Je dois pas etre normale
                    Tu es peut -être possédée, non?

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                    • #11
                      Salut Solas,

                      Est ce que c'est un journaliste qui écrit une chronique ???
                      "La meilleur façon de prévoir l'avenir, c'est de le créer"

                      Commentaire


                      • #12
                        C'est BELLEMARE

                        Commentaire


                        • #13
                          Résumé de la 1re partie n Le Dr Martin Keller est pétrifié en découvrant la malade, Anneliese, qu'on lui amène dans son cabinet...
                          Est-ce un être humain ? Oui. Est-ce une femme ? Seule la chevelure sombre et soyeuse roulant sur l'oreiller, fournit la réponse : oui, c'est une femme. Pour le reste, le squelette est sec et cassant. S'agit-il d'une adulte, d'une adolescente ou d'une enfant ?
                          «Mais elle est morte ! s'exclame le docteur Keller. Elle est morte de faim ! Comment est-ce possible ?
                          — Elle n'a rien mangé de puis le vendredi saint, répond Joseph Michel.
                          — Qui est-ce ?
                          — C'est notre fille.»
                          Le médecin, atterré, reste quelques instants silencieux, avec l'impression de vivre un cauchemar. Il a lu ou entendu raconter des histoires étranges, mais il pensait qu'il s'agissait de romans et que cela ne lui arriverait jamais. Et puis voilà : il entre dans une villa, belle et confortable, appelé par des gens riches, des notables connus dans toute la région, jusqu'à Francfort. Et il trouve ça ! Vu l'âge des parents, la morte ne peut en aucun cas être une enfant.
                          «Quel âge avait-elle ?
                          — Vingt-trois ans.
                          — Comment en est-elle arrivée là ?
                          — Elle était possédée du démon, explique Joseph Michel.
                          — Qu'est-ce que vous me racontez ?
                          — Puisqu'on vous le dit, ajouta Anna Michel, le visage noyé de larmes. Le Diable était en elle. La mort l'a délivrée et maintenant elle est au ciel.
                          — Bon, bon. Moi, je veux bien. Mais vous comprendrez que, dans de telles conditions, je ne puisse pas délivrer de certificat de décès !
                          — Alors partez, nous demanderons un autre médecin.»
                          Et Joseph Michel pousse vers la porte le docteur Martin Keller qui, toujours aussi ahuri, a haussé les épaules :
                          «Vous vous faites des illusions. Vous avez beau être des gens connus et fortunés, vous ne trouverez pas un médecin pour signer de certificat de décès. D'ailleurs, il est de mon devoir de signaler le cas à la police. Et l'on va certainement ouvrir une enquête.»
                          Anna et Joseph Michel ne répondent rien et le médecin se retrouve à l'air libre sous le soleil de juillet.
                          A peine vingt minutes plus tard, une équipe de policiers sous la direction d'un jeune commissaire à lunettes et à moustache blonde, flanqué d'un juge d'instruction à lunettes mais à moustache noire, fait irruption dans la villa. Anna et Joseph Michel les conduisent en pleurant vers la chambre où gît le cadavre recouvert d'une couverture.
                          Le commissaire à lunettes et à moustache blonde soulève la couverture et fait :
                          «Ah!»
                          Le juge d'instruction à lunettes et à moustache noire fait :
                          «Oh!»
                          La tête sur l'oreiller ressemble à un crâne momifié et la peau à du parchemin. Les yeux sont tellement enfoncés dans les orbites qu'on ne voit plus très bien s'ils sont ouverts ou fermés. Seule la chevelure sombre et soyeuse, comme l'avait remarqué le médecin, indique que cet être humain était une jeune fille.
                          Le commissaire et le juge d'instruction tournent l'un vers l'autre leurs lunettes et leur moustache : ils ont déjà vu des cadavres mais osent à peine toucher celui-là.
                          Le médecin légiste, bien qu'avec une certaine répugnance, vient à leur secours, manipulant délicatement le petit corps comme s'il s'agissait d'une ombre prête à s'évanouir.
                          A suivre
                          Pierre Bellemare
                          The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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                          • #14
                            Moi qui croyait en lisant ce topic que j'allais des histoires qui font peur et que je pourrais raconter autour d'un feu de bois la nuit tombée...
                            I am disapointed
                            D'ailleurs si vous avez des histoires ou des articles style "le nouveau détective" ou "faits divers" qui sont angoissants, je suis preneur!
                            Je suis une Légende, je suis l'Histoire: je suis BYLKUSDU94!

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                            • #15
                              bylkusdu94


                              Du camping au programme, et bien j'ai quelques histoires... Du genre Légendes Urbaines...

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