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    L’EN à la recherche d’un sélectionneur
    Un grand entraîneur et après ?

    Par : Samir Lamari

    Le pouvoir joue la montre.
    La débâcle de Marrakech a sonné le glas pour Abdelhak Benchikha, forcé à la démission pour absorber la colère populaire. Huit mois auparavant, Rabah Saâdane avait consenti le même sacrifice même si les deux bilans respectifs sont loin d’être comparables.
    Entre-temps, rien n’a changé et les Verts ont continué à boire le calice jusqu’à la lie. Du coup, la FAF sort le grand jeu et annonce le recrutement imminent d’un technicien de renom pour la sélection nationale. Cette pointure même qu’on nous avait promise il n’y a pas si longtemps avant que le projet ne tombe à l’eau pour des raisons financières.
    Mais bon, là ça va mieux, dixit la FAF, grâce à une politique de marketing florissante et généreuse, la fédération a les moyens de payer le salaire du futur sélectionneur national avec ses propres fonds, sans recourir donc à l’enveloppe du MJS.
    Bon sang, Raouraoua aurait dû nous faire l’économie de cette plaisanterie de mauvais goût nommée Benchikha pour enrôler dès l’automne dernier un technicien de renom qui aurait eu au moins le mérite d’améliorer davantage le travail accompli par Saâdane au lieu de le démolir tel un château de cartes. Désormais, c’est le retour à la case départ.
    Ravi de l’aubaine, le premier responsable de la tutelle préfère se confiner dans un mutisme total. Pas la moindre indication sur la raclée de Marrakech et encore moins de commentaires sur la démarche fafienne explicitée dans le dernier communiqué de la FAF. Le MJS comme la FAF laissent passer l’orage en espérant des jours meilleurs.
    Il est vrai qu’après avoir été incapable de mettre en pratique les orientations du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, en matière de professionnalisation du football, ce qui correspond à une réforme politique pour le secteur, le MJS se retrouve lui aussi en mal d’arguments. Le pouvoir joue, il est vrai, la montre.
    La FAF a perdu son temps avec Benchikha et le MJS a perdu son temps avec une bureaucratie rampante. Cela donne une EN d’Algérie post-Mondial complètement à revoir et tant pis pour Oumdorman !
    Liberté
    Mieux vaut un cauchemar qui finit qu’un rêve inaccessible qui ne finit pas…

  • #2
    A quoi ça sert maintenant ?

    c'est pas maintenant qu'il faut prendre un grosse pointure c'etait apres le mondial

    vraiment des amateurs ces fafistes
    La véritable mosquée est celle qui est construite au fond de l'âme

    Commentaire


    • #3
      On a l'impression que Raouraoua joue a la dictature, le décideur unique sur tout, on ne parle que de lui et de ses choix, au lieu de parler du choix de FAF ou d'un comité de la FAF surtout quand il s'agit de décision importante.

      Remarque cela ne diffère pas du reste de l’Algérie, ou tout le monde est dictateur dans son petit monde.

      Commentaire


      • #4
        remarque cela ne diffère pas du reste de l’algérie, ou tout le monde est dictateur dans son petit monde.
        + 1000 :d
        And ye shall know the truth and the truth shall make you free.

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