Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Déplacement d’Alain Juppé en Algérie (15 et 16 juin 2011) : Communiqué du quai d'orsay

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Déplacement d’Alain Juppé en Algérie (15 et 16 juin 2011) : Communiqué du quai d'orsay

    Les 15 et 16 juin, le ministre d’État se rendra en Algérie. Il s’agit de la première visite d’un ministre des Affaires étrangères et européennes français depuis mai 2008. Il se rendra d’abord à Alger, pour des entretiens avec les plus hautes autorités de l’État, et ensuite à Oran, la ville de Bordeaux ayant un accord de coopération avec cette importante municipalité algérienne.

    Alain Juppé arrivera à Alger demain soir et commencera sa visite par un dîner de travail avec le ministre des Affaires étrangères Mourad Medelci le 15 juin et rencontrera notamment le Premier ministre Ahmed Ouyahia le lendemain matin. À Oran, après des entretiens avec le wali Abdelmalek Boudiaf et le maire Mohamed Zine Eddine Hassam, il rencontrera des étudiants au Centre culturel français.

    Cette importante visite vient consacrer, au niveau politique, l’approfondissement de nos relations bilatérales, perceptible depuis un an et devrait permettre de progresser sur des dossiers régionaux aussi stratégiques que le Maghreb, la sécurité au Sahel ou le Proche-Orient.

    Ce renforcement de nos relations est également notable au plan économique, avec le succès de la mission confiée par le président de la République à Jean-Pierre Raffarin, qui, depuis septembre, avec l’aide de son homologue algérien, Mohamed Benmeradi, ministre de l’Industrie, de la Petite et moyenne entreprise et de l’Investissement, s’attache à faire progresser de nombreux dossiers.
    « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

  • #2
    Cette importante visite vient consacrer, au niveau politique, l’approfondissement de nos relations bilatérales, perceptible depuis un an et devrait permettre de progresser sur des dossiers régionaux aussi stratégiques que le Maghreb, la sécurité au Sahel ou le Proche-Orient.
    le sahara et le polisario n'est plus ,un dossier strategique et prioritaire ?

    Commentaire


    • #3
      Il l'est peut être pour le voisin de l'ouest.

      Commentaire


      • #4
        il vient chercher la valise pour les éléctions présidentiel Welkom to afriqua

        Commentaire


        • #5
          le sahara et le polisario n'est plus ,un dossier strategique et prioritaire ?
          Tu feins d'ignorer, ou alors tu ignores reellement que le sahara occidental, (au même titre que le Maroc, la Mauritanie, l'Algérie, la Tunisie et la Lybie) fait partie du Maghreb.
          " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

          Commentaire


          • #6
            ils savent que la france a tranché , et que le sortir gachera cette visite
            comme il n'est plus question des excuses de la france de ses crimes en algerie

            Commentaire


            • #7
              la libye et le sors de khadhafi c'est ce qu'il cherche ce criminel francais
              المجد والخلود للرفيق والمناضل المغربي ابراهام سرفاتي

              Commentaire


              • #8
                Alain Juppé à Alger: Libye, politique et business au menu

                Le chef de la diplomatie françai se Alain Juppé, attendu demain à Alger pour une visite de deux jours, devrait entendre au moins de vive voix la position de l'Algérie autant vis-à-vis de la crise libyenne, que de la situation en Tunisie et plus globalement du Printemps arabe. Certes, cette visite de Juppé à Alger a beaucoup de points positifs pour les deux pays, mais elle aura certainement un penchant franc vers un échange de points de vue sur ce qu'il faut faire pour aider le peuple libyen à sortir indemne de l'impasse politique actuelle. Et, selon certains échos, comment ménager une porte de sortie honorable pour Mouammar Kadhafi. Beaucoup d'observateurs estiment ainsi que la visite du ministre français des Affaires étrangères, la dernière étant de Bernard Kouchner et remontant à mai 2008, sera particulièrement axée sur les différents moyens de gérer la crise libyenne, d'autant que Paris a toujours voulu, sans l'avoir pour le moment, le soutien algérien dans sa campagne anti-Kadhafi.

                L'Algérie a même été à un moment accusée de recruter des mercenaires au profit de Tripoli, alors que Paris, a dirigé le «bal» avec les Etats-Unis et la Grande-Bretagne pour mener une guerre via l'ONU contre le régime de Kadhafi. A Alger où il rencontrera son homologue Mourad Medelci mercredi et le président Bouteflika ainsi que le Premier ministre Ahmed Ouyahia jeudi, M. Juppé aura de franches discussions autant sur ce dossier libyen qui se dirige vers un bourbier politico-militaire régional, que sur celui, connexe de la Tunisie.

                Pour autant, les relations bilatérales seront également l«'autre gros morceau au menu de l'agenda du chef de la diplomatie française en Algérie. Le porte-parole du ministère algérien des Affaires étrangères, M. Amar Belani, a indiqué que cette visite «s'inscrit dans le cadre du renforcement du dialogue politique entre les deux pays et participe de leur volonté commune d'édifier un partenariat d'exception qui soit à la mesure des liens multiformes qui les unissent en termes d'histoire, de voisinage et de densité des rapports humains». La même source précise que 'au cours de cette visite, les deux hommes aborderont toutes les dimensions de la relation bilatérale et partageront leurs analyses sur les sujets de politique internationale et régionale d'intérêt commun (Libye, processus de paix au Proche-Orient, Sahara occidental, lutte contre le terrorisme, UPM, relations avec l'Union européenne...)».

                Sur le dossier sahraoui, l'échange de points de vue sera également important, Paris ayant toujours soutenu la position d'une des deux parties au conflit, et ce faisant, a retardé l'ouverture de négociations franches pour la décolonisation de ce territoire. Pour autant, l'embellie entre Alger et Paris intervient en fait dans le sillage de la nomination de l'ex-Premier ministre J.P Raffarin en septembre dernier par le président Sarkozy comme son envoyé spécial pour assainir certains dossiers économiques avec l'Algérie dont la conclusion traînait. De l'autre côté, le président Bouteflika avait chargé M. Mohamed Benmeradi, ministre de l'Industrie, de travailler avec M. Raffarin pour réamorcer le partenariat économique entre les deux pays.
                - La mission des deux responsables a été couronnée de succès fin mai dernier, avec à la clé la signature de plusieurs accords pour d'importants investissements français en Algérie.

                Le Quotidien d Oran
                A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                Commentaire

                Chargement...
                X