Lors d'un meeting à Constantine, le SG du FLN Abdelaziz Belkhadem a déclaré: “Les esprits étroits se perdent dans un corps qui est grand. Quelques adhérents ont nui à l’image du parti ; je suis pour les débats, mais quand les revendications de certains ne veulent rien dire ou pire, qu’elles traduisent un désir de perversité, cela est inacceptable.” Et de continuer : “Il nous faut du changement…” Lors de son allocution, le secrétaire général du FLN est revenu sur les choix politiques de son parti pour ce qui est de la révision de la Constitution. "
Fidèle à ses engagements, il expliquera : “Notre parti est une école. En 2006 et 2007, nous avons été les premiers à avoir proposé des réformes qui étaient plus profondes que celles initialement prévues, pendant que d’autres étaient muets comme des tombes. C’est pourquoi nous n’avons pas été surpris par l’annonce, le 15 avril dernier, sur la révision de la Constitution.”
Pas du tout tendre avec les autres formations politiques, M. Belkhadem s’est longuement attaqué aux “ennemis du FLN”, la France d’abord, puis les partis. “De jeunes partis ont tenté de nous faire tomber, ils ne savent pas que le parti a été créé en 1954, qu’il a une longue expérience et qu’il restera la plus grande formation politique du pays”, dira-t-il.
Loin de s’arrêter, il s’est laissé aller à des excès, critiquant tout le monde : “Ce n’est pas parce qu’on dispose de locaux, d’un cachet et d’un nom, qu’on est un parti politique. Il faut surtout avoir tout un programme. Aucun parti n’est plus grand que le FLN et nos ennemis n’ont que deux choix : soit sauter dans le train, soit le faire stopper, et pour l’arrêter, il faut faire appel à la France et à l’Otan, sinon on ne bougera pas.”
Source: Liberté
Fidèle à ses engagements, il expliquera : “Notre parti est une école. En 2006 et 2007, nous avons été les premiers à avoir proposé des réformes qui étaient plus profondes que celles initialement prévues, pendant que d’autres étaient muets comme des tombes. C’est pourquoi nous n’avons pas été surpris par l’annonce, le 15 avril dernier, sur la révision de la Constitution.”
Pas du tout tendre avec les autres formations politiques, M. Belkhadem s’est longuement attaqué aux “ennemis du FLN”, la France d’abord, puis les partis. “De jeunes partis ont tenté de nous faire tomber, ils ne savent pas que le parti a été créé en 1954, qu’il a une longue expérience et qu’il restera la plus grande formation politique du pays”, dira-t-il.
Loin de s’arrêter, il s’est laissé aller à des excès, critiquant tout le monde : “Ce n’est pas parce qu’on dispose de locaux, d’un cachet et d’un nom, qu’on est un parti politique. Il faut surtout avoir tout un programme. Aucun parti n’est plus grand que le FLN et nos ennemis n’ont que deux choix : soit sauter dans le train, soit le faire stopper, et pour l’arrêter, il faut faire appel à la France et à l’Otan, sinon on ne bougera pas.”
Source: Liberté
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