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Tous les recoupements indiquent que Raouraoua avait vu hier Vahid Halilhodzic à Paris afin d’écouter les
1 000 interrogations du coach bosniaque. Le président de la FAF, qui s’est envolé pour la capitale française jeudi, a bien rencontré le candidat le plus sérieux au poste de sélectionneur de l’Equipe d’Algérie afin de discuter et, pourquoi pas, finaliser l’accord de principe qu’ils se sont donné depuis bien longtemps déjà.
On redescend des nuages ou on poursuit avec les pointures imaginaires ?
Après l’annonce multiple de candidats «géants» qui avaient fait baver 35 millions d’Algériens, la FAF a fait redescendre tout le monde des nuages en se rabattant sur «coach Vahid», modestement, mais très concrètement. Sauf surprise de dernière minute donc, à la taille de la «pointure» promise pompeusement par la FAF, les Verts auront comme sélectionneur Halilhodzic pour quelques années, si, bien sûr, aucun impatient ne viendra avorter le projet avant terme. Car certaines langues parlent encore d’autres rendez-vous secrets entre Raouraoua et des fantômes de pointures imaginaires…
Un projet qui vise une qualification avec la manière pour le Mondial 2014
Car l’entraîneur bosniaque viendra pour durer et construire un projet solide, à la mesure de ses ambitions personnelles, mais surtout de celles du football algérien. Raouraoua n’a jamais caché que la FAF se projetait (c’était le cas déjà au temps de Saâdane) sur la Coupe du monde 2014 qui aura lieu au Brésil.
Kourichi mieux que Baronchelli, son adjoint habituel
A défaut d’avoir son adjoint habituel parti à Nantes (Bruno Baronchelli a été son adjoint à Lille, Rennes, PSG, Trabzonspor et avec la Côte d’Ivoire), Vahid Halilhodzic aura besoin d’un entraîneur pour l’épauler dans sa tâche. Quelqu’un qui puisse l’aider surtout à comprendre la mentalité algérienne, mais tout en saisissant son mode de fonctionnement. Et le mieux indiqué à ce poste, aux yeux de Raouraoua, c’est Nouredine Kourichi qui a le double avantage d’avoir les bons diplômes requis pour ce travail (il les a obtenus avec brio en France), mais également celui d’avoir été international algérien ayant connu les sensations du très haut niveau tant avec les Verts qu’avec la grandes équipe de Bordeaux des années 80.
Un respect qui date de leur première commune en… 1981
Kourichi et Halilhodzic se vouent un grand respect l’un pour l’autre et, hasard du destin, les deux joueurs ont fait une première commune en championnat de France, lors du match opposant Bordeaux à Nantes (3-2). C’était en 1981 et ce jour-là, Kourichi, le robuste défenseur, avait joué son premier match avec les Girondins de Bordeaux et Halilhodzic, le puissant attaquant, venait d’intégrer Nantes et inaugurait sa première apparition en championnat. Le duel entre les deux hommes avait été à la limite de la correction, mais à la fin du match, reconnaissants, les deux guerriers se sont serré la main chaleureusement. Cette guerre propre durera 10 ans, le temps de consolider une amitié solide basée sur l’admiration et le respect réciproque.
Kourichi pour la défense, Halilhodzic pour l’attaque
C’est donc ces valeurs de guerriers respectueux que le duo s’évertuera à inculquer aux Verts si l’union vient à se concrétiser (aujourd’hui ou demain). Ils seront également renforcés par la présence d’Abdenour Kaoua qui s’occupera des gardiens de but, comme nous l’avons déjà annoncé précédemment. Ce trio de choc aura donc la lourde responsabilité de redonner une âme à l’EN, mais surtout celle de mettre en place un système d’animation tant en défense qu’en attaque. Chose qui fait cruellement défaut aux Verts qui nous ont habitués à ne gagner qu’à la force du mental.
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Halilhodzic «Vous saurez tout ce lundi»
Vahid Halilhodzic est en pole position pour prendre en main la sélection nationale à partir du prochain match qui aura lieu le 9 août prochain, éventuellement à Florence face à la Tunisie. Malgré cet appel à candidatures lancé par la fédération et l’installation de cette commission, il s’est avéré qu’il s’agissait de la poudre aux yeux. Mohamed Raouraoua aurait déjà tranché, et son entraîneur ne devrait être autre que Vahid Halilhodzic. Déjà, les contacts avaient été entamés bien avant le match du 4 juin dernier face au Maroc. Après avoir annoncé à travers toute la presse nationale l’intérêt que lui porte Raouraoua, Halilhodzic a changé complètement de discours. Joint, hier, par nos soins, il dira que son avenir sera connu lundi prochain : «Lundi, vous saurez tout. Je suis vraiment désolé, je ne peux rien vous dire actuellement», nous a-t-il rétorqué sans plus de détails.
«A la fin de ce week-end, les choses devraient être plus claires»
Pour ce qui est de son rendez-vous avec le président de la FAF, Mohamed Raouraoua, ou un autre responsable de la fédération, Halilhodzic ne veut rien avancer, se contentant de dire que la fin de ce week-end allait être décisive. Ceci dit, le rendez-vous en question pourrait avoir lieu samedi soir ou le lendemain, dimanche : «Ce week-end sera important. Il y aura une éventuelle rencontre avec la Fédération algérienne de football pour trancher. A ce moment-là, tout sera tiré au clair avec eux. Désolé, c’est tout ce que je peux vous dire. Appelez-moi lundi ou mardi, je vous dirai tout.»
Le Buteur
1 000 interrogations du coach bosniaque. Le président de la FAF, qui s’est envolé pour la capitale française jeudi, a bien rencontré le candidat le plus sérieux au poste de sélectionneur de l’Equipe d’Algérie afin de discuter et, pourquoi pas, finaliser l’accord de principe qu’ils se sont donné depuis bien longtemps déjà.
On redescend des nuages ou on poursuit avec les pointures imaginaires ?
Après l’annonce multiple de candidats «géants» qui avaient fait baver 35 millions d’Algériens, la FAF a fait redescendre tout le monde des nuages en se rabattant sur «coach Vahid», modestement, mais très concrètement. Sauf surprise de dernière minute donc, à la taille de la «pointure» promise pompeusement par la FAF, les Verts auront comme sélectionneur Halilhodzic pour quelques années, si, bien sûr, aucun impatient ne viendra avorter le projet avant terme. Car certaines langues parlent encore d’autres rendez-vous secrets entre Raouraoua et des fantômes de pointures imaginaires…
Un projet qui vise une qualification avec la manière pour le Mondial 2014
Car l’entraîneur bosniaque viendra pour durer et construire un projet solide, à la mesure de ses ambitions personnelles, mais surtout de celles du football algérien. Raouraoua n’a jamais caché que la FAF se projetait (c’était le cas déjà au temps de Saâdane) sur la Coupe du monde 2014 qui aura lieu au Brésil.
Kourichi mieux que Baronchelli, son adjoint habituel
A défaut d’avoir son adjoint habituel parti à Nantes (Bruno Baronchelli a été son adjoint à Lille, Rennes, PSG, Trabzonspor et avec la Côte d’Ivoire), Vahid Halilhodzic aura besoin d’un entraîneur pour l’épauler dans sa tâche. Quelqu’un qui puisse l’aider surtout à comprendre la mentalité algérienne, mais tout en saisissant son mode de fonctionnement. Et le mieux indiqué à ce poste, aux yeux de Raouraoua, c’est Nouredine Kourichi qui a le double avantage d’avoir les bons diplômes requis pour ce travail (il les a obtenus avec brio en France), mais également celui d’avoir été international algérien ayant connu les sensations du très haut niveau tant avec les Verts qu’avec la grandes équipe de Bordeaux des années 80.
Un respect qui date de leur première commune en… 1981
Kourichi et Halilhodzic se vouent un grand respect l’un pour l’autre et, hasard du destin, les deux joueurs ont fait une première commune en championnat de France, lors du match opposant Bordeaux à Nantes (3-2). C’était en 1981 et ce jour-là, Kourichi, le robuste défenseur, avait joué son premier match avec les Girondins de Bordeaux et Halilhodzic, le puissant attaquant, venait d’intégrer Nantes et inaugurait sa première apparition en championnat. Le duel entre les deux hommes avait été à la limite de la correction, mais à la fin du match, reconnaissants, les deux guerriers se sont serré la main chaleureusement. Cette guerre propre durera 10 ans, le temps de consolider une amitié solide basée sur l’admiration et le respect réciproque.
Kourichi pour la défense, Halilhodzic pour l’attaque
C’est donc ces valeurs de guerriers respectueux que le duo s’évertuera à inculquer aux Verts si l’union vient à se concrétiser (aujourd’hui ou demain). Ils seront également renforcés par la présence d’Abdenour Kaoua qui s’occupera des gardiens de but, comme nous l’avons déjà annoncé précédemment. Ce trio de choc aura donc la lourde responsabilité de redonner une âme à l’EN, mais surtout celle de mettre en place un système d’animation tant en défense qu’en attaque. Chose qui fait cruellement défaut aux Verts qui nous ont habitués à ne gagner qu’à la force du mental.
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Halilhodzic «Vous saurez tout ce lundi»
Vahid Halilhodzic est en pole position pour prendre en main la sélection nationale à partir du prochain match qui aura lieu le 9 août prochain, éventuellement à Florence face à la Tunisie. Malgré cet appel à candidatures lancé par la fédération et l’installation de cette commission, il s’est avéré qu’il s’agissait de la poudre aux yeux. Mohamed Raouraoua aurait déjà tranché, et son entraîneur ne devrait être autre que Vahid Halilhodzic. Déjà, les contacts avaient été entamés bien avant le match du 4 juin dernier face au Maroc. Après avoir annoncé à travers toute la presse nationale l’intérêt que lui porte Raouraoua, Halilhodzic a changé complètement de discours. Joint, hier, par nos soins, il dira que son avenir sera connu lundi prochain : «Lundi, vous saurez tout. Je suis vraiment désolé, je ne peux rien vous dire actuellement», nous a-t-il rétorqué sans plus de détails.
«A la fin de ce week-end, les choses devraient être plus claires»
Pour ce qui est de son rendez-vous avec le président de la FAF, Mohamed Raouraoua, ou un autre responsable de la fédération, Halilhodzic ne veut rien avancer, se contentant de dire que la fin de ce week-end allait être décisive. Ceci dit, le rendez-vous en question pourrait avoir lieu samedi soir ou le lendemain, dimanche : «Ce week-end sera important. Il y aura une éventuelle rencontre avec la Fédération algérienne de football pour trancher. A ce moment-là, tout sera tiré au clair avec eux. Désolé, c’est tout ce que je peux vous dire. Appelez-moi lundi ou mardi, je vous dirai tout.»
Le Buteur