Tout le monde parle de la démocratie, en insistant sur les libertés individuelles et l’alternance au pouvoir. Prenons un seul point, l’alternance au pouvoir, et l’observer comme phénomène dans la réalité que nous vivons au quotidien.
Tous nos yeux sont braqués sur les gouvernants pour dénoncer le pouvoir en place qui essaie par tous les moyens de s’y maintenir, pourquoi pas à vie. Non pas que j’approuve le pouvoir dans cette façon, mais il me semble qu’il n’est pas le seul à gouverner de cette manière, quoi qu’on dise. En effet, en observant le responsable algérien (c’est l’Algérie qui m’intéresse) à tous les niveaux de la hiérarchie, en observant les politiques algériens tant au gouvernement qu’aux partis politiques, en observant les syndicalistes et les associatifs, tous s’agrippent à leurs postes, contre vents et marrées, et rares sont ceux qui démissionnent avant qu’ils soient dégommés de force. Même en étant dégommés de force, ils essaient d’utiliser des moyens vils et bas tels que la "ma3rifa" et la "rachwa" pour y revenir.
Prenons les partis politiques : Tous évoquent l’alternance, mais qui l’applique dans son propre parti ?
Louisa Hanoune et Saïd Sadi y sont depuis la création de leurs partis,
Aït Ahmed, même invalide tout comme Bouteflika et de surcroît résidant à l’étranger, y est toujours malgré des tentatives de le renverser,
Soltani y est depuis le décès de Nahnah, malgré, également, des tentatives de le dégommer.
Ouyahia y est depuis le départ de Zeroual,
Belkhadem y est depuis le départ forcé de Benflis , malgré une contestation toujours présente,
Et j’en passe.
Ce tableau de la scène m’incite à douter de la sincérité de tout le monde, ce qui me permettrait de déduire que l’alternance au pouvoir, la liberté et autres ne sont qu’utopie.
Partagez-vous ma crainte ou bien voudriez-vous me convaincre du contraire?
Tous nos yeux sont braqués sur les gouvernants pour dénoncer le pouvoir en place qui essaie par tous les moyens de s’y maintenir, pourquoi pas à vie. Non pas que j’approuve le pouvoir dans cette façon, mais il me semble qu’il n’est pas le seul à gouverner de cette manière, quoi qu’on dise. En effet, en observant le responsable algérien (c’est l’Algérie qui m’intéresse) à tous les niveaux de la hiérarchie, en observant les politiques algériens tant au gouvernement qu’aux partis politiques, en observant les syndicalistes et les associatifs, tous s’agrippent à leurs postes, contre vents et marrées, et rares sont ceux qui démissionnent avant qu’ils soient dégommés de force. Même en étant dégommés de force, ils essaient d’utiliser des moyens vils et bas tels que la "ma3rifa" et la "rachwa" pour y revenir.
Prenons les partis politiques : Tous évoquent l’alternance, mais qui l’applique dans son propre parti ?
Louisa Hanoune et Saïd Sadi y sont depuis la création de leurs partis,
Aït Ahmed, même invalide tout comme Bouteflika et de surcroît résidant à l’étranger, y est toujours malgré des tentatives de le renverser,
Soltani y est depuis le décès de Nahnah, malgré, également, des tentatives de le dégommer.
Ouyahia y est depuis le départ de Zeroual,
Belkhadem y est depuis le départ forcé de Benflis , malgré une contestation toujours présente,
Et j’en passe.
Ce tableau de la scène m’incite à douter de la sincérité de tout le monde, ce qui me permettrait de déduire que l’alternance au pouvoir, la liberté et autres ne sont qu’utopie.
Partagez-vous ma crainte ou bien voudriez-vous me convaincre du contraire?
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