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CRISE LIBYENNE Des analystes prédisent le pire

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  • CRISE LIBYENNE Des analystes prédisent le pire

    La transition en Libye sera longue et sanglante. C’est le constat auquel sont arrivés des analystes réunis hier autour du thème des perspectives de règlement de la crise libyenne.

    Décortiquée, la situation en Libye a donné hier lieu à plusieurs lectures au sein du Centre d’études stratégiques du quotidien Echaâb. Mustapha Saïdj, enseignant universitaire, est catégorique : que Kadhafi parte dans 3 mois ou dans trois années, la transition sera aussi longue que sanglante. Il n’exclut pas un scénario à l’irakienne qui se solderait par la scission du pays en l’absence d’un garant. Il expliquait hier que le cercle déjà restreint du régime de Kadhafi était en train de se refermer au moment où le Conseil national de transition paraît mal organisé et plutôt pragmatique et où la menace djihadiste est une réalité. Auparavant, le Dr Makhlouf, également universitaire, expliquait qu’en Libye, on pouvait parler de «non-système » puisque le pays est doté d’un fonctionnement «hors normes» basé sur la démagogie, le totalitarisme et le populisme.

    Un régime, dit-il, qui a choisi la voie sécuritaire pour le traitement de la crise, donnant ainsi des arguments à la communauté internationale pour une intervention. Pour sa part, Abdelwahab Benkhlif, enseignant à l’université, dit que pour mieux appréhender la crise, il faut revenir à la nature même du système tribal libyen sur lequel s’est fondé l’Etat. Un Etat contemporain qui n’a pas pu se substituer aux tribus. Il estime que même une fois dépassée, la crise, le système tribal et les structures de l’Etat cohabiteront de manière très prudente. Une situation qui s’explique par la nature même du régime «unique en son genre» et qui complique davantage les pronostics.

    Le Soir d'Algérie
    Faute de grives , nous mangeons des Merles

  • #2
    on va envoyé le grand expert Belcourt , il réglera le problème en quelques jours .
    Faute de grives , nous mangeons des Merles

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    • #3
      Le pire c'est que Kaddafi reste.
      ce n'est pas a alger qu'on aura une opinion optimiste de l'avenir de la lybie.

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      • #4
        les journaux algeriens continuent à défugurer la révolution lybienne
        qu'ils écrivent ce qu ils veulent , le peuple l'emportera , il n y aura ni irak , ni islamisme , ni sidi zakri

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        • #5
          Auparavant, le Dr Makhlouf, également universitaire, expliquait qu’en Libye, on pouvait parler de «non-système » puisque le pays est doté d’un fonctionnement «hors normes» basé sur la démagogie, le totalitarisme et le populisme.
          Dorka mafhemt walou ya Dr Makhlouf, Non-système mais totalitarisme
          Pas à la tique ..

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          • #6
            Décortiquée, la situation en Libye a donné hier lieu à plusieurs lectures au sein du Centre d’études stratégiques du quotidien Echaâb.
            Ah bon, le quotidien Echaâb (le frère jumeau d’el Moudjahid) possède un centre d’études stratégiques?

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            • #7
              Personne ne comprend rien à ce pays, ça c'est la seule certitude pour le moment !

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