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D’une religion à l’autre, l’ultra-orthodoxie et sa folie inquisitoriale conduisent à l’absurde teinté d’une rare cruauté.
Tribunal en flagrant délire, un tribunal rabbinique de Jérusalem composé d’un aréopage d’intégristes n’a rien trouvé mieux que de condamner à mort par lapidation un pauvre chien errant, accusé d’être la réincarnation d’un avocat laïque entré dans l’histoire pour avoir insulté les juges religieux, il y a 20 ans de cela.
Ubuesque, l’hallucination collective de ces implacables censeurs, relatée par le site d’information Ynet, ferait sourire, si elle ne symbolisait pas les dramatiques déviances de l’extrémisme religieux, tout en faisant la triste démonstration que la barbarie de la lapidation n’est pas l’apanage de la seule religion à laquelle on l’attribue : l’islam.
C’est à son irruption devant ses futurs bourreaux et à son refus de détaler que le malheureux chien égaré, de taille imposante, doit son châtiment, sa soudaine intrusion dans le Tribunal rabbinique chargé des litiges économiques du quartier juif ultra-orthodoxe de Méa Shéarim à Jérusalem ayant mis en émoi juges et plaignants...
Il n’en fallait pas plus pour déclencher une crise de délirium aigu chez l’un des juges, qui a vu dans cet affront canin la renaissance d’un vengeur masqué, un avocat laïque décédé, sur lequel avait été jeté un sort divin pour qu’il se réincarne en chien, considéré comme "impur" selon la Halacha, la stricte tradition religieuse juive, selon la même source.
L’histoire se termine bien pour l’animal vagabond et hagard, qui a réussi à échapper à la rubrique des chiens lapidés en trompant la vigilance des enfants du quartier, lesquels, comble de la monstruosité, étaient conditionnés pour exécuter la sentence.
Une association israélienne pour la défense des animaux a de son côté porté plainte.
oumma
Tribunal en flagrant délire, un tribunal rabbinique de Jérusalem composé d’un aréopage d’intégristes n’a rien trouvé mieux que de condamner à mort par lapidation un pauvre chien errant, accusé d’être la réincarnation d’un avocat laïque entré dans l’histoire pour avoir insulté les juges religieux, il y a 20 ans de cela.
Ubuesque, l’hallucination collective de ces implacables censeurs, relatée par le site d’information Ynet, ferait sourire, si elle ne symbolisait pas les dramatiques déviances de l’extrémisme religieux, tout en faisant la triste démonstration que la barbarie de la lapidation n’est pas l’apanage de la seule religion à laquelle on l’attribue : l’islam.
C’est à son irruption devant ses futurs bourreaux et à son refus de détaler que le malheureux chien égaré, de taille imposante, doit son châtiment, sa soudaine intrusion dans le Tribunal rabbinique chargé des litiges économiques du quartier juif ultra-orthodoxe de Méa Shéarim à Jérusalem ayant mis en émoi juges et plaignants...
Il n’en fallait pas plus pour déclencher une crise de délirium aigu chez l’un des juges, qui a vu dans cet affront canin la renaissance d’un vengeur masqué, un avocat laïque décédé, sur lequel avait été jeté un sort divin pour qu’il se réincarne en chien, considéré comme "impur" selon la Halacha, la stricte tradition religieuse juive, selon la même source.
L’histoire se termine bien pour l’animal vagabond et hagard, qui a réussi à échapper à la rubrique des chiens lapidés en trompant la vigilance des enfants du quartier, lesquels, comble de la monstruosité, étaient conditionnés pour exécuter la sentence.
Une association israélienne pour la défense des animaux a de son côté porté plainte.
oumma
n'importe quoi!
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