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Pour le développement local et la valorisation des produits du terroir à Iboudrarène.
C’est sous le signe du «Développement local et la valorisation des produits du terroir» que sera donné aujourd’hui le coup d’envoi de la deuxième édition de la fête des cerises du village Aït Allaoua, dans la commune Iboudrarène, à 60 km au sud-est de Tizi-Ouzou.
Après le succès qu’a connu la première édition de l’an dernier et l’intérêt suscité auprès des organismes intervenant dans l’arboriculture et les cultures de montagne, l’Association de l’Environnement d’Iboudrarène et le comité du village Aït Allaoua, initiateurs et organisateurs de cette manifestation, sous l’égide de l’APC, ont vu un peu plus grand cette année, en étalant cette fête sur trois jours (du 16 au 18 juin 2011) avec un programme riche et varié, mais entièrement dédié à la cerise, le plus «sucré des fruits rouges» et le tourisme de montagne. Selon le programme diffusé, en plus des stands d’exposition et de vente des produits de l’artisanat comme la bijouterie, la poterie, la vannerie et les produits des différents élevages de la montagne comme le fromage et le miel, les hôtes d’Aït Allaoua auront à découvrir aussi les sites touristiques et les richesses faunistiques et floristiques de la région à travers les visites guidées dans les cerisaies et la randonnée pédestre, prévue au deuxième jour, vers la montagne du Djurdjura pour les amoureux des activités de plein air. Cette fête sera aussi marquée par la présence d’instituts spécialisés dans l’arboriculture et la protection des végétaux à l’image de la Station régionale de la protection des végétaux (SRPV) de Drâa Ben Khedda (Tizi- Ouzou) et l’Institut technique de l’arboriculture fruitière et de la vigne (ITAFV) de Tessala El Mardja de la wilaya d’Alger en plus évidemment des techniciens des services agricoles de la wilaya de Tizi-Ouzou. Ces spécialistes interviendront par des conférences et des communications sur les techniques de greffage et de taille de la cerise et les moyens de lutte contre le capenode, une maladie qui menace le cerisier. L’aspect festif n’est pas en reste durant cette fête puisque les organisateurs ont prévu aussi des spectacles pour enfants et adultes, et des exhibitions sportives.
Avant la cérémonie de clôture, prévue le samedi 18 juin, les visiteurs et les participants seront conviés à un déjeuner piquenique en plein air dans les champs des Ath Allaoua où ils pourront découvrir des espèces végétales et les variétés de plantes qui constituent la réserve de biosphère propre à cette région qui, fautil le signaler, fait partie intégrante du Parc national du Djurdjura. Et comme cette fête de la cerise est dédiée au tourisme solidaire et au développement durable, les organisateurs espèrent lui donner aussi une dimension économique grâce à la commercialisation de la cerise d’Aït Allaoua qui «est considérée, par les connaisseurs et les spécialistes, comme l’une des meilleures de tout le pays, avec ses différentes variétés, surtout qu’elle est cultivée par la greffe du merisier, une espèce végétale endémique à notre région», nous a expliqué M. Ould Hamouda Mouloud, président de l’Association de l’environnement d’Iboudrarène et principal «instigateur» de cet évènement.
D’ailleurs, cette année et pour la première fois, la cerise d’Aït Allaoua sera cosmmercialisée dans un emballage portant le label des Ath Allaoua et de la commune Iboudrarène «pour garder l’authenticité et la qualité de notre produit», précisera encore notre interlocuteur.
Sadek Aït-Salem - Le Soir d'Algérie.
C’est sous le signe du «Développement local et la valorisation des produits du terroir» que sera donné aujourd’hui le coup d’envoi de la deuxième édition de la fête des cerises du village Aït Allaoua, dans la commune Iboudrarène, à 60 km au sud-est de Tizi-Ouzou.
Après le succès qu’a connu la première édition de l’an dernier et l’intérêt suscité auprès des organismes intervenant dans l’arboriculture et les cultures de montagne, l’Association de l’Environnement d’Iboudrarène et le comité du village Aït Allaoua, initiateurs et organisateurs de cette manifestation, sous l’égide de l’APC, ont vu un peu plus grand cette année, en étalant cette fête sur trois jours (du 16 au 18 juin 2011) avec un programme riche et varié, mais entièrement dédié à la cerise, le plus «sucré des fruits rouges» et le tourisme de montagne. Selon le programme diffusé, en plus des stands d’exposition et de vente des produits de l’artisanat comme la bijouterie, la poterie, la vannerie et les produits des différents élevages de la montagne comme le fromage et le miel, les hôtes d’Aït Allaoua auront à découvrir aussi les sites touristiques et les richesses faunistiques et floristiques de la région à travers les visites guidées dans les cerisaies et la randonnée pédestre, prévue au deuxième jour, vers la montagne du Djurdjura pour les amoureux des activités de plein air. Cette fête sera aussi marquée par la présence d’instituts spécialisés dans l’arboriculture et la protection des végétaux à l’image de la Station régionale de la protection des végétaux (SRPV) de Drâa Ben Khedda (Tizi- Ouzou) et l’Institut technique de l’arboriculture fruitière et de la vigne (ITAFV) de Tessala El Mardja de la wilaya d’Alger en plus évidemment des techniciens des services agricoles de la wilaya de Tizi-Ouzou. Ces spécialistes interviendront par des conférences et des communications sur les techniques de greffage et de taille de la cerise et les moyens de lutte contre le capenode, une maladie qui menace le cerisier. L’aspect festif n’est pas en reste durant cette fête puisque les organisateurs ont prévu aussi des spectacles pour enfants et adultes, et des exhibitions sportives.
Avant la cérémonie de clôture, prévue le samedi 18 juin, les visiteurs et les participants seront conviés à un déjeuner piquenique en plein air dans les champs des Ath Allaoua où ils pourront découvrir des espèces végétales et les variétés de plantes qui constituent la réserve de biosphère propre à cette région qui, fautil le signaler, fait partie intégrante du Parc national du Djurdjura. Et comme cette fête de la cerise est dédiée au tourisme solidaire et au développement durable, les organisateurs espèrent lui donner aussi une dimension économique grâce à la commercialisation de la cerise d’Aït Allaoua qui «est considérée, par les connaisseurs et les spécialistes, comme l’une des meilleures de tout le pays, avec ses différentes variétés, surtout qu’elle est cultivée par la greffe du merisier, une espèce végétale endémique à notre région», nous a expliqué M. Ould Hamouda Mouloud, président de l’Association de l’environnement d’Iboudrarène et principal «instigateur» de cet évènement.
D’ailleurs, cette année et pour la première fois, la cerise d’Aït Allaoua sera cosmmercialisée dans un emballage portant le label des Ath Allaoua et de la commune Iboudrarène «pour garder l’authenticité et la qualité de notre produit», précisera encore notre interlocuteur.
Sadek Aït-Salem - Le Soir d'Algérie.