Je me fous de ce que les gens en pensent
Mes écrits sont la trace de mon existence
Mes mots traduisent juste ce qu’elle vaut
Tant pis, si personne ne les trouve beaux.
Soupirs du mal aimé, du mal d’être si seul
Exutoire contre l’indifférence ou jouissance des rimes éternelles semblable à un linceul
Drapant le souvenir futur de mon absence.
Mes yeux, illuminés pour déshabiller l’enfer Transpercent le miroir obscur de ma nature
De ces éclats de ma vie, brisée sur cette terre, La mort me promet d’autres folles aventures.
Je ne suis ni Goethe, ni Rimbaud, ni Lamartine
Même si l’ombre de leur génie plane sur ma vie
Je vis au rythme de mes vers et de mon spleen, Illustre inconnu, dont l’amour fut la seule envie.
Mes écrits sont la trace de mon existence
Mes mots traduisent juste ce qu’elle vaut
Tant pis, si personne ne les trouve beaux.
Soupirs du mal aimé, du mal d’être si seul
Exutoire contre l’indifférence ou jouissance des rimes éternelles semblable à un linceul
Drapant le souvenir futur de mon absence.
Mes yeux, illuminés pour déshabiller l’enfer Transpercent le miroir obscur de ma nature
De ces éclats de ma vie, brisée sur cette terre, La mort me promet d’autres folles aventures.
Je ne suis ni Goethe, ni Rimbaud, ni Lamartine
Même si l’ombre de leur génie plane sur ma vie
Je vis au rythme de mes vers et de mon spleen, Illustre inconnu, dont l’amour fut la seule envie.
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