Bonjour, ceux qui ont misé en Algérie ne le regrette pas, Orascom Algérie, Watania Télécom Algérie et maintenant Carrefour, peuvent se frotter les mains.
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Depuis son ouverture, en janvier, près de la capitale, le supermarché du géant français de la grande distribution ne désemplit pas.
Pour un coup d’essai, c’est un coup de maître. L’ouverture, le 16 janvier 2006, du premier supermarché Carrefour a suscité un grand engouement chez les consommateurs algériens. Situé à Hussein-Dey, un quartier populaire de la banlieue est d’Alger, le magasin ne désemplit pas. « Nous recevons en moyenne 6 000 clients et quelque 30 000 visiteurs par jour, déclare Boukara Hubert, directeur général d’Ardis, le partenaire algérien associé au géant français de la grande distribution. Le premier jour, nous avons reçu 10 000 personnes. Le rush était tel que nous avons dû fermer les portes pour éviter des débordements. Mais nous sommes satisfaits des résultats. » Tellement satisfaits que les dirigeants du nouveau groupe envisagent d’ouvrir dix-huit supermarchés dans plusieurs grandes villes du pays d’ici à 2012. Un pari d’autant plus réaliste qu’en Algérie le marché de la grande distribution est tout simplement inexistant depuis le démantèlement, au début des années 1990, des magasins d’État (les Galeries algériennes et autres Souk el-fellah). Dès lors, le consommateur algérien était contraint de s’approvisionner auprès des établissements de proximité, dans les magasins d’alimentation générale ou dans les marchés populaires qui essaiment à travers le pays.
Longtemps boudé pour cause de terrorisme islamiste et d’instabilité politique, le pays, avec son marché de 33 millions de consommateurs, suscite aujourd’hui l’intérêt des investisseurs étrangers. À l’instar des hydrocarbures, de la téléphonie mobile, du bâtiment et des travaux publics, le secteur de la grande distribution attise la convoitise des enseignes internationales telles qu’Auchan, Champion, Casino et bien sûr Carrefour. C’est ce dernier qui a eu, le premier, l’idée de pénétrer le marché algérien.
La suite...
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Depuis son ouverture, en janvier, près de la capitale, le supermarché du géant français de la grande distribution ne désemplit pas.
Pour un coup d’essai, c’est un coup de maître. L’ouverture, le 16 janvier 2006, du premier supermarché Carrefour a suscité un grand engouement chez les consommateurs algériens. Situé à Hussein-Dey, un quartier populaire de la banlieue est d’Alger, le magasin ne désemplit pas. « Nous recevons en moyenne 6 000 clients et quelque 30 000 visiteurs par jour, déclare Boukara Hubert, directeur général d’Ardis, le partenaire algérien associé au géant français de la grande distribution. Le premier jour, nous avons reçu 10 000 personnes. Le rush était tel que nous avons dû fermer les portes pour éviter des débordements. Mais nous sommes satisfaits des résultats. » Tellement satisfaits que les dirigeants du nouveau groupe envisagent d’ouvrir dix-huit supermarchés dans plusieurs grandes villes du pays d’ici à 2012. Un pari d’autant plus réaliste qu’en Algérie le marché de la grande distribution est tout simplement inexistant depuis le démantèlement, au début des années 1990, des magasins d’État (les Galeries algériennes et autres Souk el-fellah). Dès lors, le consommateur algérien était contraint de s’approvisionner auprès des établissements de proximité, dans les magasins d’alimentation générale ou dans les marchés populaires qui essaiment à travers le pays.
Longtemps boudé pour cause de terrorisme islamiste et d’instabilité politique, le pays, avec son marché de 33 millions de consommateurs, suscite aujourd’hui l’intérêt des investisseurs étrangers. À l’instar des hydrocarbures, de la téléphonie mobile, du bâtiment et des travaux publics, le secteur de la grande distribution attise la convoitise des enseignes internationales telles qu’Auchan, Champion, Casino et bien sûr Carrefour. C’est ce dernier qui a eu, le premier, l’idée de pénétrer le marché algérien.
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