De notre bureau de Bruxelles, Aziouz Mokhtari - Le Soir d'Algérie.
Il a été question à trois reprises de l’Algérie lors du Sommet des chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union européenne à Bruxelles. Une fois, dans le cadre régional de «l’Afrique du Nord» et à deux reprises lors de la conférence de presse du président français à l’issue de la rencontre des décideurs de l’Union.
Lors du traditionnel point de presse après chaque sommet, le président français a affirmé que «l’Afrique du Nord, c’est la zone géographique de l’Europe». Et pour être plus explicite, il ajoute : «C’est à nous de nous en occuper.» Plus clair que ça, il faut aller chercher. Lors de la même rencontre avec les journalistes, le président français a évoqué l’Algérie, cette fois seule, en aparté, entre deux vieilles connaissances. Il dira : «Les relations entre nos deux pays (France et Algérie ou Algérie-France, c’est selon, ndlr) sont passionnées, passionnantes et compliquées.» Le locataire de l’Elysée répondait à une question relative à la visite effectuée par Alain Juppé, relex de France, en Algérie. Le compte-rendu qu’il fera au président est, selon ce dernier, bon. Je m’en suis réjoui», commentera-t-il. D’Algérie, il en a été question aussi lors de ce sommet. Dans la conclusion finale, les chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union européenne «prennent note avec satisfaction de la levée de l’état d’urgence et des projets de réforme constitutionnelle en Algérie». Le Sommet souligne, toutefois, que le «processus de réformes s’inscrive dans un cadre de dialogue ouvert à tous et il suivra (le Conseil européen, ndlr) de près la mise en œuvre de ces réformes».
A. M.
Il a été question à trois reprises de l’Algérie lors du Sommet des chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union européenne à Bruxelles. Une fois, dans le cadre régional de «l’Afrique du Nord» et à deux reprises lors de la conférence de presse du président français à l’issue de la rencontre des décideurs de l’Union.
Lors du traditionnel point de presse après chaque sommet, le président français a affirmé que «l’Afrique du Nord, c’est la zone géographique de l’Europe». Et pour être plus explicite, il ajoute : «C’est à nous de nous en occuper.» Plus clair que ça, il faut aller chercher. Lors de la même rencontre avec les journalistes, le président français a évoqué l’Algérie, cette fois seule, en aparté, entre deux vieilles connaissances. Il dira : «Les relations entre nos deux pays (France et Algérie ou Algérie-France, c’est selon, ndlr) sont passionnées, passionnantes et compliquées.» Le locataire de l’Elysée répondait à une question relative à la visite effectuée par Alain Juppé, relex de France, en Algérie. Le compte-rendu qu’il fera au président est, selon ce dernier, bon. Je m’en suis réjoui», commentera-t-il. D’Algérie, il en a été question aussi lors de ce sommet. Dans la conclusion finale, les chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union européenne «prennent note avec satisfaction de la levée de l’état d’urgence et des projets de réforme constitutionnelle en Algérie». Le Sommet souligne, toutefois, que le «processus de réformes s’inscrive dans un cadre de dialogue ouvert à tous et il suivra (le Conseil européen, ndlr) de près la mise en œuvre de ces réformes».
A. M.
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