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Couverture à 100 % par le dessalement eau de mer

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  • Couverture à 100 % par le dessalement eau de mer

    Malheureusement on a oublié que nous sommes un pays en détresse hydrique chronique et qu'il nous faut une solution radicale et ambitieuse. Pas d'eau pas de prospérité...
    La couverture totale et aisé des besoins de la population par le dessalement de l'eau de mer.
    On peut réaliser d'énorme usine maintenant. On pourrait les fournir en électricité avec le solaire et le gaz ainsi consacrer 100 % de l'eau des barrages et des nappes pour l'agriculture, les exportations, la déforestation l'industrie agro alimentaire le commerce l'emploi etc.... Les conséquences en cascade seraient énormes.
    On a pas de fleuve on a une pollution à bientôt 50 millions on ne peut plus être tributaire du climat.
    Le coût 20 - 30 milliards clés en main
    20 usines à 2 millions de m3 jour ( on fait jusqu’à 1.5 je crois en Israel) et on change d'époque
    Avec tout ce qu'on a cramé comme dollars et nos réserves en cash ou en matières premières on peut le faire sans problème.

    Réaliste?

  • #2
    Peut être inévitable, mais stratégiquement c'est un gros point faible.
    Ya Allah, al Aziz, al Hakim. a7fadh jazair wa al maghareb al kabir

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    • #3
      C'est une solution comme une autre pour palier au manque d'eau potable dans le nord algérien. Mais, elle doit être faite en complément avec la construction de nouveaux barrages (grands, moyens, et retenus d'eau).

      Car, même avec une très faible pluviométrie, il n'y a que cette dernière solution qui vaillent, et qui permette de capter des millions et des millions de m3 d'eau pluviales déversées actuellement à perte dans les oueds.

      Les usines de désalement d'eau de mer, sont très couteux en exploitation, et c'est du cours terme. Et ne peuvent être exploités que pour les régions côtières.

      Les barrages, c'est couteux en construction, mais moins couteux en exploitation. Et peuvent construit partout en Algérie (le nord, les hauts plateaux, dans le grand sud à proximité des grands ergs).

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      • #4
        Je suis plutot pour la construction de barrage sur les hauts plateaux et le sahara,ainsi que le creation du fameux projet de mer interieure sur les chotts a l'est du pays.

        Les chotts peuvent etre remplit durant toute l'annee et meme y pratiquer la culture du riz

        La politique de creation de lac artificiel est aussi a etudier de pres,bien sur selon les regions.

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        • #5
          Franchement je crois qu on a pas le choix
          Bien sûr qu il faut continuer à fond les barrages mais c est pas suffisant et doivent être tourner vers l'agricultrice et surout très risqué. ça se saurait si c était LA solution. En tour cas on ne fera pas l économie de la lutte contre les fuites et le retraitement des eaux usées
          Et c est pas forcément que pour les villes côtières car le système hydraulique est interconnecté *

          Sans eau en quantité pas d' autonomie alimentaire possible
          Pour les eaux du Sahara elles sont de plus en plus exploitées mais y a de grave risque de salination de la nappe souterraine en cas d' exploitation excessive.

          Je ne vois pas le risque stratégique de ces usines à partir du moyen où on peut leur fournir de l énergie à volonté et pendant très longtemps. En tout cas assez pour que l'Homme trouve une solution à la pénuerie d' eau

          Pour leur coût au gouvernement de sensibilier les gens et de les faire payer selon leur Conso et pour la maintenance nous n'avons qu a nous former même si ça prend des années. On a bien une industrie d' hydrocarbure....

          Commentaire


          • #6
            maceo a dit:
            Bien sûr qu il faut continuer à fond les barrages mais c est pas suffisant et doivent être tourner vers l'agricultrice et surout très risqué. ça se saurait si c était LA solution.
            S'il ont été bien étudié et bien construits, quels risques y a -t-il à construire des barrages et des retenus d'eau ?

            Désolé, mais je n'arrive pas à te comprendre !?

            maceo a dit:
            Et c est pas forcément que pour les villes côtières car le système hydraulique est interconnecté *
            Désolé de te contredire, mais le réseau d'eau potable n'est pas du tout interconnecté entre les régions !

            maceo a dit:
            Je ne vois pas le risque stratégique de ces usines à partir du moyen où on peut leur fournir de l énergie à volonté et pendant très longtemps. En tout cas assez pour que l'Homme trouve une solution à la pénuerie d' eau

            Pour leur coût au gouvernement de sensibilier les gens et de les faire payer selon leur Conso et pour la maintenance nous n'avons qu a nous former même si ça prend des années. On a bien une industrie d' hydrocarbure....
            Je te redit que l'eau désalée est très très couteuse en m3.

            Et je suis d'accord avec toi, que, à terme, il faut faire payer les usagers.
            Mais, est ce qu'ils sont prêt à l'accepter ?!

            De même que les énergies utilisées (pétrole, gaz) vont s'épuiser dans les 15 à 20 ans. Et 15 à 20 ans, c'est vraiment demain ! Peut_être qu'il faudrait envisager de les faire fonctionner à l'énergie solaire ?! Sinon c'est des solutions pour le court terme !

            Donc, il faut postuler tout de suite pour le long terme. Et le long terme, c'est les barrages. Et les barrages, on en a vraiment besoin.

            Voyez au moins comment le Maroc a pu s'en sortir et garder son agriculture ?!
            C'est vraiment grâce à la politique audacieuse du "tout barrages" initiée par feu le Roi Mohammed 5 (père de Hassan II), après l'indépendance du Maroc (1956). Et qui jusqu'à maintenant, l’agriculture marocaine tire un grand bénéfice de ces anciennes infrastructures hydraulique.

            Donc, y a pas de miracle !

            Il faut construire :
            - Les barrages, les barrages, et encore des barrages .... des petits, des moyens , des grands.. pour le captage de toutes les eaux pluviales, et fluviales..
            - Des stations de désalements.
            - Des stations d'épuration des eaux usées.
            - Une utilisation raisonnée des eaux souterraines (utiliser en période de sécheresse seulement).
            - Une politique d'utilisation optimale des ressources en eaux (agriculture au goutte à goutte, maintenance accrue du réseau d'eau potable poiur minimiser les fuites et les pertes ...etc)
            Dernière modification par absent, 26 juin 2011, 06h44.

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            • #7
              Envoyé par kennesaw
              ...ainsi que le creation du fameux projet de mer interieure sur les chotts a l'est du pays.
              Oui, un projet qui ne faut mettre aux oubliettes, si certains planifient construire des stations en Mars, l’Algérie ne devrait pas avoir peur du défi d'une mère intérieur dans la décennie qui suit. Elle a les ressources financières et humaines pour le concrétiser, ce qui ne sera peut être plus cas dans une dizaine d’année.

              Mer intérieur, soleil, silicium: tout les ingrédients sont la pour construire des stations de dessalement solaire pour arroser le monde entier et moindre cout. Il suffit juste de vouloir et d'oser.

              Malheureusement pour lancer des grand projets, les dirigeants algériens, ont pris l'habitude de demander l'avis des français, allemands, et américains, et ils ne feront rien si ces derniers leur disent de laisser tomber, aucun intérêt, impossible .... etc. Il faut les comprendre, pour les américains qui possèdent 1/3 des eaux douces de la terre dans les grands lac de Michigan, il est de leur l’intérêt de ne pas encourager ce genre de projet dans l'espoir de vendre un jour l'eau douce.

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              • #8
                mer interieure

                http://www.algerie-dz.com/forums/sho...ght=interieure
                The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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                • #9
                  Pourquoi comparer barrage et dessalement quand les deux sont complémentaire
                  Le Maroc n est pas comparable avec le haut Atlas
                  En terme d interconnexion le process est en cours dixit les grands transferts du projet MAO
                  Mon propos est que l eau potable devrait etre securisé *par le dessalement solaire ou gazier
                  Oui c chère mais pas pour un pays énergétique comme l Algérie avec le solaire et le gaz naturel ou plus le gaz de shiste c moins un problème que pour d autre pays sans matière première énergétique. Pour eux oui c dangereux*

                  Au lieu de suventionner le pain et la patate subentionnons plutôt *l eau alors... Les bénéfices sera
                  Imaginer l Algerie avec deux fois plus d eau est possible pour l Algérie*

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                  • #10
                    ou plus le gaz de shiste
                    à oublier, les techniques pour son exploitation aujourd'hui sont dangereuses et ses effets sur l'environnement sont irréversibles!
                    Mr NOUBAT

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                    • #11
                      non pas du tout
                      noubat le shale gas chez nous c de 30000 A 150000 MILLIARDS DE M3

                      FAcilement exploitable sans mettre en danger la nature
                      ce n est pas la meme geologie d ailleurs
                      amerique europe
                      The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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                      • #12
                        Le probem avec le dessalement de l'eau de mer est le sel. Une vraie casse-tête. Où le mettre?

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                        • #13
                          Désalemennt eau de mer: GROS RISQUES !

                          La technique d'Osmose inverse (utilisée par les usines de désalement) rejette en mer de grosse quantité d'eau saumâtre (eau fortement salinisée composée de divers sels, métaux lourds, composés organiques… ).
                          L’augmentation de la salinité par les rejets des usines de désalement va transformé la côte en désert sans vie, entraînant la disparition de la pêche.

                          De même que la qualité de l’eau dessalée doit faire l’objet d’une étroite surveillance, en particulier en ce qui concerne la présence de bromate, un cancérigène dont le taux ne doit pas dépasser, selon la régulation internationale, 10 ppb en moyenne sur une année dans un réservoir.
                          Auquel cas il y a, non seulement, un gros risque pour la faune et la flore de la zone ou elle est rejetée, mais aussi et surtout, pour l'humain.

                          Y a'-t-il une solution technique pour remédier à ce problème ? Pour le moment, il n'y en a pas !

                          Le désalement n'est donc pas le produit miracle (cout exorbitant, risque sur la santé public, destruction de la faune et la flore).

                          Les solutions par :
                          - la construction de barrages,
                          - l'élimination des gaspillages, et des pertes dans des réseaux d'eau vétustes,
                          - l'utilisation raisonnée de l'eau douce dans l'industrie, dans l'agriculture (goutte à goute), usage domestique...
                          - la protection des sources de l'eau douce,
                          - le traitement des eaux usées,
                          restent, pour le moment, les solutions de développement durable les plus prioritaires à même d'assurer l'avenir et la sécurité alimentaire de l'Algérie et des algériens.


                          Par conséquent, il faut limiter l’utilisation du dessalement à des cas « désespérés », à des sites isolés, ou dans le Sahara...
                          Et que l'état continue à investir dans la construction des gros et moyens barrages, ainsi dans la construction de petite retenue d'eau dans toute les vallées pour l'irrigation.

                          Et ce genre d’infrastructures très couteuses, il n'y a que l'état qui peut les faire ! Et en ce moment d'aisance financière, à défaut de lancement d'investissements rentables à court terme, l'état se doit d'investir dans les infrastructures hydrauliques qui porteront irrémédiablement leur fruit dans le moyen et long terme.
                          Dernière modification par absent, 27 juin 2011, 15h43.

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                          • #14
                            Plusieurs stations de dessalement ont été réalisées depuis 2007 ou en cours de concrétisation et qui donneront un volume quotidien entre de 2,5 millions à 3 millions de m3/jour.

                            Ci-dessous la liste :
                            • 3 stations à Kahrama, Hamma et Skikda - Capacité Globale 400 000m3/jour
                            • 2 stations à Jijel et Béjaïa 100.000 m3/jour chacune
                            • Station El Tarf - capacité de 50 000 m3/j
                            • Station Hama (Alger) - 200 000 m3/j (à terme 600 000 m3/j).
                            • Station Fouka (wilaya de Tipasa) - Capacité 200 000 m3/jour
                            • station à Oued-Essebt à Cherchell - Capacité de 100 000 m3/j
                            • Station Cap Djenet, à Boumerdès - 100.000 m3/j
                            • Station Ténès - 100 000 m3/j
                            • 2 stations Mostagamen - Capacité globale 400 000 m3/jour
                            • Station «Chat El Hillal» (Wilaya Ain Temouchent)- 200 000 m3/j
                            • Station de Souk Tlata (Wilaya Tlemcen) - 200 000 m3/j
                            • Station de Tafsout (Honaine), capacité de 200 000 m3/jour
                            • Station Mactaa à Mers El Hadjadj (Oran) - 500 000 m3/j (le plus grands projets dans le monde - supérieur à capacité de production de l’usine d’Ashkelon ISRAEL)

                            A priori, plusieurs d'entre-elles sont déjà opérationnelle.

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                            • #15
                              Et que l'état continue à investir dans la construction des gros et moyens barrages, ainsi dans la construction de petite retenue d'eau dans toute les vallées pour l'irrigation.
                              Tu oublies peut être que l’Algérie n'a pas vraiment de site approprié pour construire des grand barrages ou ni même des moyens. Le plus parts de barrages se limite a une capacité en dizaine de millions et non en centaines. L'Algérie possède le double en nombre de barrage que sont voisin pour une capacité d'eau de l’ordre de la moitie.

                              Aussi la pluviométrie est faible en Algérie, et la température assez élevé ce qui fait que certains barrages perdent plus de 20% juste par évaporation.

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