Une seconde
Le temps d’un baiser
D’un regard ou d’une caresse
Le temps où deux mains se joignent
Et qui ne font plus qu’une
Le temps d’un soupir sur une joue
D’un doigt qui effleure quelque lèvre
Le temps d’un battement de coeur
A la vue de son amour
Une seconde
Le temps d’un rire d’enfant par un bel été
D’une robe fleurie virevoltant dans le vent
Le temps d’une larme aussi
D’un désespoir monstrueux comme un lourd orage
Tonnant dans la poitrine
Le temps d’une image d’une seule
Un portrait de jeune femme à travers une vitre
Le temps d’une odeur suave et parfumée
De fleurs qui embaument l’air du soir
Ou de sels marins exhalés
Par la marée qui monte lentement
Le temps d’un baiser
D’un regard ou d’une caresse
Le temps où deux mains se joignent
Et qui ne font plus qu’une
Le temps d’un soupir sur une joue
D’un doigt qui effleure quelque lèvre
Le temps d’un battement de coeur
A la vue de son amour
Une seconde
Le temps d’un rire d’enfant par un bel été
D’une robe fleurie virevoltant dans le vent
Le temps d’une larme aussi
D’un désespoir monstrueux comme un lourd orage
Tonnant dans la poitrine
Le temps d’une image d’une seule
Un portrait de jeune femme à travers une vitre
Le temps d’une odeur suave et parfumée
De fleurs qui embaument l’air du soir
Ou de sels marins exhalés
Par la marée qui monte lentement
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