Neuf mois d'un tout...
C'est un enfant, qui est en elle
Une vie a se construire
Dans sa peau, une âme
Au neuvième mois
En instance de bonheur
Une substance de pudeur
Elle qui a si souvent,
Attendu ce moment
Elle fut enfant meurtri
Voudrais offrir la vie
Et recommencer du début
Ce que lui on volé
Ses oncles repu...
Elle est sublime de souffrance
Dieu l'a choisie,
Pour perpétué le cycle de la vie
Pour ce si bel effort,
Elle sera mère,
Ce si bel adjectif,
"Maman" aux océans mauves
Aux regard chocolat
Un ange au stade fœtal
Pousse de ses ailes
Vers l'autre lumière
Exultant de l’espérance
L'enfant de ta vie
Tu est si pauvre,
Si désargenté, Madone de lumière
Pourtant,
Sous tes yeux il ne manquera de rien
Tu nourrira de ton sein
Son cœur, et de pureté
son âme...
Les fous danse a l'entré.
De la salle stérilisé,
Il agite leur bras.
Te montre du doigt
Ne le jette ni aux sources cartons
Aux mers indignes
Tu vouera tes dernières larmes
Ton visage, souple
Injecté de la sérénité de Dieu
Leurs redonne la foi a ceux là
Qui conjecturais hier,
Qui te jettais la pierre
Tziganes dans un monde café
Tes robes de toutes les couleurs
Leur redonne a tous
Le gout de l'alcool de la vie
Au milieu du rêve,
A la fin de la vie
Quel nom lui donnera tu ?
Celui du père violent ?
De la génitrice crasseuse
Qui de sa vie n'a rien fait
Tu leur pardonnera a tous,
Tu pourra même mourir
En offrant la vie.
Tu a légué a la terre ton testament
Pars...en paix
Ton enfant lève la main
Pour l'au revoir...
Chaarar,
C'est un enfant, qui est en elle
Une vie a se construire
Dans sa peau, une âme
Au neuvième mois
En instance de bonheur
Une substance de pudeur
Elle qui a si souvent,
Attendu ce moment
Elle fut enfant meurtri
Voudrais offrir la vie
Et recommencer du début
Ce que lui on volé
Ses oncles repu...
Elle est sublime de souffrance
Dieu l'a choisie,
Pour perpétué le cycle de la vie
Pour ce si bel effort,
Elle sera mère,
Ce si bel adjectif,
"Maman" aux océans mauves
Aux regard chocolat
Un ange au stade fœtal
Pousse de ses ailes
Vers l'autre lumière
Exultant de l’espérance
L'enfant de ta vie
Tu est si pauvre,
Si désargenté, Madone de lumière
Pourtant,
Sous tes yeux il ne manquera de rien
Tu nourrira de ton sein
Son cœur, et de pureté
son âme...
Les fous danse a l'entré.
De la salle stérilisé,
Il agite leur bras.
Te montre du doigt
Ne le jette ni aux sources cartons
Aux mers indignes
Tu vouera tes dernières larmes
Ton visage, souple
Injecté de la sérénité de Dieu
Leurs redonne la foi a ceux là
Qui conjecturais hier,
Qui te jettais la pierre
Tziganes dans un monde café
Tes robes de toutes les couleurs
Leur redonne a tous
Le gout de l'alcool de la vie
Au milieu du rêve,
A la fin de la vie
Quel nom lui donnera tu ?
Celui du père violent ?
De la génitrice crasseuse
Qui de sa vie n'a rien fait
Tu leur pardonnera a tous,
Tu pourra même mourir
En offrant la vie.
Tu a légué a la terre ton testament
Pars...en paix
Ton enfant lève la main
Pour l'au revoir...
Chaarar,
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