« Cheptel, rendement, frics, frics : les mots qui reviennent toujours dans la prostitution. Et l’on dit que les femmes font ça par penchant ! Qui aime se faire traiter comme du bétail ? Qui aime travailler à la chaîne ? Qui aime avoir honte de sa condition ? Qui aime que les gens lui crachent à la figure ? Qui aime être seule ? Seule, surtout seule (1) … »
Elles sont des milliers à errer dans les grands boulevards, les rues, les dancings, les hôtels de passe, les cabarets, en bordures de mer, de carcasses les véhicule, les gourbis, et aux alentours des résidences universitaires. Elles sont faciles à repérer, souvent, avec une tenue très légère, en plus d’un maquillage parfois offensant, qui attire l’attention des « prédateurs » et de simples curieux. Leur nombre échappe aux calculettes de l’Etat (pas de statistiques officielles). Fuyant le mal et la mal – traitance des conjoints, des parents aux idées archaïques (patriarcat oblige !). La moyenne d’âge de ces filles de joie varie entre 18 et 45 ans, encore ces derniers temps, on voit apparaître des filles à fleur d’âge. La plupart de ces filles minettes se sont – en majorité - enfuies de la maison de leurs parents et/ou centres de rééducations. Dans la plupart des cas, elles se prostituent pour gagner de l´argent ou pour trouver à se loger.
Ces femmes aux mœurs légères (2) se retrouvent au bas du pavé ; avec comme seul gagne pain « le plus vieux métier du monde ! ». Cette phrase que l’on entend partout : « La prostitution est le plus vieux métier du monde » a pour seul but de justifier la marchandisation du corps humain.
Certaines villes algériennes – pour ne citer que les plus « médiatisées », (Oran, Tlemcen, Annaba, Bejaia, Tizi – Ouzou, Sétif, Sidi Bel Abbes, Alger, Bordj Bourraredj) sont devenues en l’espace de quelques années la plaque tournante de la prostitution, et pullulent, paradoxalement, de travailleuses du sexe, créant ainsi de nouveaux problèmes d’ordre sanitaire et sociétal, surtout après la fermeture de plusieurs – pour ne pas dire la majorité - des maisons de tolérance et aussi des bars discothèques, le phénomène s’est amplifié et est devenu incontrôlable ! Les endroits, où opèrent ces prostituées et leurs proxénètes sont connus presque par tout le monde. Les réseaux de la prostitution sont très bien organisés, bénéficient même de couvertures. Depuis 1995, on constate aussi un essor prodigieux d´hôtels de luxe, où la prostitution fleurit « légalement. »
------------------------------------ suite
Combien gagne sur « fiche de paie » la prostituée ?
Nos différents entretiens avec ces vendeuses de charme - rencontrées au littoral de Bejaia, nous ont permis de savoir que pour une moyenne de sept « passes » par jour, il arrive à la femme qui prostitue de ramasser jusqu’à 9 000,00 DA, mais en basse saison. Dès fois, un seul accouplement, d’une dizaine de minutes, avec une personne très aisée financièrement parlant, peut lui faire gagner jusqu’à 5000,00 DA ! En revanche, durant la période estivale, la vie sourie à tout le monde et personne n’est perdant (souteneurs, maquereaux, filles de joie, patrons d’hôtels, commerçants, coiffeuses, responsables des hammams …), le revenu journalier atteint – dès fois – les 20 000,00 DA. Bien sur, à déduire de ce montant les sommes à dépenser chez les salons de coiffure, les hammams, les habits … sans oublier le pourcentage à verser de la recette au maquereau (‘chikour’ en dialecte de rue) et aussi … le « salaire ! » à transférer à la famille (étant donné que certaines disent à leur famille qu’elles travaillent dans un restaurant comme femme de ménage et/ou serveuse !!
Le « net payé » mensuel de la femme qui prostitue dans les « maisons closes » non déclarées, rues et certains hôtels « reconvertis » en « maison de passe » varie entre 30 000,00 à 50 000,00 DA durant la basse saison et entre 80 000,00 à 120 000,00 DA en haute saison (les dépenses citées précédemment sont déduites)
Si l’on en croit les conclusions du sondage effectué par l’Institut ABABSA « L’Algérie compte 1,2 million de prostituées clandestines. Chacune faisant vivre autour d’elle 3 personnes. Les Algériens qui vivent directement ou indirectement de la prostitution sont 4 millions et sont âgés de 16 ans et plus (6) »
Un crime organisé qui rapporte énormément d'argent qui est blanchi dans d’autres affaires et qui touche tous les milieux sociaux.
agoravox.fr
L'article étant très long, je n'ai mis qu'une partie,
Agoravox
== MODERATION ==
Topic fermé car le texte est un torchon écrit par un imbécile (Samir Rekik) qui cite des chiffres faux et fictifs pour faire du sensationnel.
Elles sont des milliers à errer dans les grands boulevards, les rues, les dancings, les hôtels de passe, les cabarets, en bordures de mer, de carcasses les véhicule, les gourbis, et aux alentours des résidences universitaires. Elles sont faciles à repérer, souvent, avec une tenue très légère, en plus d’un maquillage parfois offensant, qui attire l’attention des « prédateurs » et de simples curieux. Leur nombre échappe aux calculettes de l’Etat (pas de statistiques officielles). Fuyant le mal et la mal – traitance des conjoints, des parents aux idées archaïques (patriarcat oblige !). La moyenne d’âge de ces filles de joie varie entre 18 et 45 ans, encore ces derniers temps, on voit apparaître des filles à fleur d’âge. La plupart de ces filles minettes se sont – en majorité - enfuies de la maison de leurs parents et/ou centres de rééducations. Dans la plupart des cas, elles se prostituent pour gagner de l´argent ou pour trouver à se loger.
Ces femmes aux mœurs légères (2) se retrouvent au bas du pavé ; avec comme seul gagne pain « le plus vieux métier du monde ! ». Cette phrase que l’on entend partout : « La prostitution est le plus vieux métier du monde » a pour seul but de justifier la marchandisation du corps humain.
Certaines villes algériennes – pour ne citer que les plus « médiatisées », (Oran, Tlemcen, Annaba, Bejaia, Tizi – Ouzou, Sétif, Sidi Bel Abbes, Alger, Bordj Bourraredj) sont devenues en l’espace de quelques années la plaque tournante de la prostitution, et pullulent, paradoxalement, de travailleuses du sexe, créant ainsi de nouveaux problèmes d’ordre sanitaire et sociétal, surtout après la fermeture de plusieurs – pour ne pas dire la majorité - des maisons de tolérance et aussi des bars discothèques, le phénomène s’est amplifié et est devenu incontrôlable ! Les endroits, où opèrent ces prostituées et leurs proxénètes sont connus presque par tout le monde. Les réseaux de la prostitution sont très bien organisés, bénéficient même de couvertures. Depuis 1995, on constate aussi un essor prodigieux d´hôtels de luxe, où la prostitution fleurit « légalement. »
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Combien gagne sur « fiche de paie » la prostituée ?
Nos différents entretiens avec ces vendeuses de charme - rencontrées au littoral de Bejaia, nous ont permis de savoir que pour une moyenne de sept « passes » par jour, il arrive à la femme qui prostitue de ramasser jusqu’à 9 000,00 DA, mais en basse saison. Dès fois, un seul accouplement, d’une dizaine de minutes, avec une personne très aisée financièrement parlant, peut lui faire gagner jusqu’à 5000,00 DA ! En revanche, durant la période estivale, la vie sourie à tout le monde et personne n’est perdant (souteneurs, maquereaux, filles de joie, patrons d’hôtels, commerçants, coiffeuses, responsables des hammams …), le revenu journalier atteint – dès fois – les 20 000,00 DA. Bien sur, à déduire de ce montant les sommes à dépenser chez les salons de coiffure, les hammams, les habits … sans oublier le pourcentage à verser de la recette au maquereau (‘chikour’ en dialecte de rue) et aussi … le « salaire ! » à transférer à la famille (étant donné que certaines disent à leur famille qu’elles travaillent dans un restaurant comme femme de ménage et/ou serveuse !!
Le « net payé » mensuel de la femme qui prostitue dans les « maisons closes » non déclarées, rues et certains hôtels « reconvertis » en « maison de passe » varie entre 30 000,00 à 50 000,00 DA durant la basse saison et entre 80 000,00 à 120 000,00 DA en haute saison (les dépenses citées précédemment sont déduites)
Si l’on en croit les conclusions du sondage effectué par l’Institut ABABSA « L’Algérie compte 1,2 million de prostituées clandestines. Chacune faisant vivre autour d’elle 3 personnes. Les Algériens qui vivent directement ou indirectement de la prostitution sont 4 millions et sont âgés de 16 ans et plus (6) »
Un crime organisé qui rapporte énormément d'argent qui est blanchi dans d’autres affaires et qui touche tous les milieux sociaux.
agoravox.fr
L'article étant très long, je n'ai mis qu'une partie,
Agoravox
== MODERATION ==
Topic fermé car le texte est un torchon écrit par un imbécile (Samir Rekik) qui cite des chiffres faux et fictifs pour faire du sensationnel.
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