A L’occasion du 49 anniversaires de l’indépendance qui correspond au 05/07/2011 je dédie ce modeste poème pour ceux et à celles qui ont souffert pour la libération de notre patrie et pour une Algérie libre et prospère.
Je souffre en écrivant ces pages,
Car des frères meurent avec courage,
Pour libérer leurs villes et leurs villages.
Depuis des jours, je ne suis plus ici,
Voyage, voyage mon esprit,
Vers une terre pleine de prophétie.
Je vis au milieu de ses gens,
Qui combattent les mains nues l’occupant,
Qui étale sa force depuis cent trente deux ans.
Comme tout agresseur est un mauvais étudiant,
Il ne voit pas venir la tournure du temps,
Il oublie vite l’histoire et ses leçons.
Les peuples s’ils se résignent un moment,
C’est pour reprendre leurs souffles, tel un éléphant,
Pour se soulever et passer à l’action.
Les hommes sont témoins de cette tragédie,
Vécue par les femmes et enfants de ce pays,
Devant cet oppresseur qui s’attaque à la vie.
L’âme de ses martyrs, montera dans les airs,
Pour éclairer leurs compagnons sur cette terre,
Pour qu’ils poursuivent la lutte sans se taire.
Et voilà qu’on donnait ces philistins pour morts,
Qu’ils se sacrifient pour pousser l’ennemi dehors,
Celui-ci qu’on croyait fort, vraiment très fort.
Grâce à cette héroïque résistance,
Pour une seconde vie, une seconde naissance.
Je dédie ce poème aussi à la mémoire de nos martyrs et aussi à tous ceux ou celles qui aiment ce pays et bien notre Algérie.
Madjid A+
Je souffre en écrivant ces pages,
Car des frères meurent avec courage,
Pour libérer leurs villes et leurs villages.
Depuis des jours, je ne suis plus ici,
Voyage, voyage mon esprit,
Vers une terre pleine de prophétie.
Je vis au milieu de ses gens,
Qui combattent les mains nues l’occupant,
Qui étale sa force depuis cent trente deux ans.
Comme tout agresseur est un mauvais étudiant,
Il ne voit pas venir la tournure du temps,
Il oublie vite l’histoire et ses leçons.
Les peuples s’ils se résignent un moment,
C’est pour reprendre leurs souffles, tel un éléphant,
Pour se soulever et passer à l’action.
Les hommes sont témoins de cette tragédie,
Vécue par les femmes et enfants de ce pays,
Devant cet oppresseur qui s’attaque à la vie.
L’âme de ses martyrs, montera dans les airs,
Pour éclairer leurs compagnons sur cette terre,
Pour qu’ils poursuivent la lutte sans se taire.
Et voilà qu’on donnait ces philistins pour morts,
Qu’ils se sacrifient pour pousser l’ennemi dehors,
Celui-ci qu’on croyait fort, vraiment très fort.
Grâce à cette héroïque résistance,
Pour une seconde vie, une seconde naissance.
Je dédie ce poème aussi à la mémoire de nos martyrs et aussi à tous ceux ou celles qui aiment ce pays et bien notre Algérie.
Madjid A+
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