Adezzi ssa3a, la roue tourne, eddenya tdour,… ou encore la roue du destin, sont des expressions qu’on entend souvent et qui se vérifient dans la vie de tous les jours. Les exemples sont nombreux.
Adezzi ssa3a me semble être une chanson dont l’air est purement kabyle/berbère et très ancien. Tous ceux à qui j’ai posé la question m’ont répondu que leur parents, leurs grands parents l’avaient entendu en étant enfants. Il me semble également que c’était une chanson chantée par Slimane Azem. J’ai fait une recherche sur le net pour parvenir à la version Slimane Azem, en vain. J’ai quand même trouvé 2 reprises : l’une chantée par le groupe Talweg/Cheikh Sidi Bémol et l’autre par le groupe Djurdjura, mais ayant pour titre « Otes-toi de mon soleil » au lieu de « Adezi ssa3a ». En fait, tout dépend vers où s’oriente l’espoir de la personne pour espérer comment la roue, la montre, le destin va tourner. L’espoir peut concerner évidemment un groupe, une tribu, une nation.
Je vous avoue que j’ai un faible pour cet air que son écoute me ressource.
La traduction des paroles vient également du net.
Bonne écoute à tous.
Nous voici comme enragés
Sans cesse à ressasser
« Mais quels sont donc nos adversaires ? »
Quiconque trouve son frère en difficulté
S'empresse de l'enfoncer davantage
Allant jusqu'à lui retirer le pain de la bouche.
Toi, le voyageur instruit par l'expérience
Rappelle-toi le vieil adage
Ton ennemi le plus acharné, c'est ton frère.
Il te trahit depuis la nuit des temps
Et s'il le pouvait, il te piétinerait
Tant son coeur est rempli de venin.
Je me retrouve entre deux serpents
Et ils croient que je suis la proie rêvée
Dés que je m'éloigne de l'un, l'autre me pique.
Mon Dieu, donnez-moi la force
De lutter contre ce monde insensé !
J'attends que la roue tourne.
Adezzi ssa3a me semble être une chanson dont l’air est purement kabyle/berbère et très ancien. Tous ceux à qui j’ai posé la question m’ont répondu que leur parents, leurs grands parents l’avaient entendu en étant enfants. Il me semble également que c’était une chanson chantée par Slimane Azem. J’ai fait une recherche sur le net pour parvenir à la version Slimane Azem, en vain. J’ai quand même trouvé 2 reprises : l’une chantée par le groupe Talweg/Cheikh Sidi Bémol et l’autre par le groupe Djurdjura, mais ayant pour titre « Otes-toi de mon soleil » au lieu de « Adezi ssa3a ». En fait, tout dépend vers où s’oriente l’espoir de la personne pour espérer comment la roue, la montre, le destin va tourner. L’espoir peut concerner évidemment un groupe, une tribu, une nation.
Je vous avoue que j’ai un faible pour cet air que son écoute me ressource.
La traduction des paroles vient également du net.
Bonne écoute à tous.
Nous voici comme enragés
Sans cesse à ressasser
« Mais quels sont donc nos adversaires ? »
Quiconque trouve son frère en difficulté
S'empresse de l'enfoncer davantage
Allant jusqu'à lui retirer le pain de la bouche.
Toi, le voyageur instruit par l'expérience
Rappelle-toi le vieil adage
Ton ennemi le plus acharné, c'est ton frère.
Il te trahit depuis la nuit des temps
Et s'il le pouvait, il te piétinerait
Tant son coeur est rempli de venin.
Je me retrouve entre deux serpents
Et ils croient que je suis la proie rêvée
Dés que je m'éloigne de l'un, l'autre me pique.
Mon Dieu, donnez-moi la force
De lutter contre ce monde insensé !
J'attends que la roue tourne.
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