BORDEAUX (Reuters) - Un homme armé de deux sabres japonais qui retenait une femme en otage dans un train stationné en gare de Bordeaux a été maîtrisé mercredi par les forces de l'ordre, a annoncé le préfet de la région Aquitaine, Patrick Stefanini.
La femme, qui est saine et sauve, est l'épouse du préfet de l'Orne. Cadre à la SNCF, elle se trouvait dans le train pour des raisons professionnelles.
Son agresseur, un homme de 25 ans d'origine malienne connu pour une instabilité psychiatrique, a été condamné à deux reprises pour des violences sur des représentants de la force publique, selon le procureur Claude Laplaud. Il demandait la révision d'une condamnation pour outrage.
Il a été désarmé alors qu'il négociait avec un agent du Groupe d'intervention de la police nationale (GIPN). "Il voulait en finir et emporter quelqu'un avec lui", a expliqué un policier, précisant qu'il tenait ses armes sous la gorge de l'otage.
L'alerte a été donnée par un passager à l'aide d'un téléphone portable et les 15 autres personnes présentes dans le train La Rochelle-Toulouse ont pu quitter le convoi.
Claude Canellas et Nicolas Bertin, édité par Gérard Bon - Reuters.
La femme, qui est saine et sauve, est l'épouse du préfet de l'Orne. Cadre à la SNCF, elle se trouvait dans le train pour des raisons professionnelles.
Son agresseur, un homme de 25 ans d'origine malienne connu pour une instabilité psychiatrique, a été condamné à deux reprises pour des violences sur des représentants de la force publique, selon le procureur Claude Laplaud. Il demandait la révision d'une condamnation pour outrage.
Il a été désarmé alors qu'il négociait avec un agent du Groupe d'intervention de la police nationale (GIPN). "Il voulait en finir et emporter quelqu'un avec lui", a expliqué un policier, précisant qu'il tenait ses armes sous la gorge de l'otage.
L'alerte a été donnée par un passager à l'aide d'un téléphone portable et les 15 autres personnes présentes dans le train La Rochelle-Toulouse ont pu quitter le convoi.
Claude Canellas et Nicolas Bertin, édité par Gérard Bon - Reuters.