Quand j’ai ouvert mes yeux, elles s’étaient posées sur toi,
Quand j’ai connu, je ne pouvais connaître que toi,
Quand j’ai aimé , je croyais avoir fait le bon choix .
Tu m’avais supplié d’ être la campagne de ta vie ,
J’ai hésité un instant mais j’avais répondu oui,
Contre la volonté de toute ma famille réunie.
Je m’étais donné avec joie et allégresse,
Je t’avais offert de tout mon cœur ma jeunesse,
Quant à toi, tu m’avais comblé de promesses.
Et les promesses se sont fait attendre,
A l’évidence, j’ai dû me rendre,
Que j’ai une décision à prendre.
Durant cette attente , j’ai eu mon lot de larmes , comme consolation ,
Durant cette attente , j’ai vécu de désespoir et de déception ,
Durant cette attente, j’ai supporté humiliation sur humiliation.
Pendant dix sept années , j’ai pris mon mal en patience ,
Pendant dix sept années , j’ai prié pour que tourne ma chance ,
Pendant dix sept années, point d’écho, point de
Plus le temps ne passe, je cherche l’homme d’autan,
Plus le temps passe , je me pose mille questions ,
Plus le temps passe , je ne reconnais plus mon compagnon .
Comme tout martyr doit avoir une fin,
J’ai pris mon courage avec les deux mains,
Pour fuir, pour espérer un meilleur lendemain.
Je ne voulais point de cette fracture,
A cause de notre progéniture,
Pour lui éviter cette déchirure
Mais une pensée va à mes enfants,
Qui sauront la réalité en son temps,
La véritable histoire, la véritable version.
Quant à moi, j’ai tiré ma conclusion,
Des années passées dans ta prison,
Dieu merci, j’ai appris ma leçon.
Quant à toi, reprends-toi, reviens à la raison,
Je te lance un dernier appel pour sauver notre union ,
Mais cette fois-ci à mes seules et uniques conditions.
Pour conclure et finir,
Je t’invite à bien réfléchir,
Sur ton sort, et non à mon avenir.
Madjid A+
Quand j’ai connu, je ne pouvais connaître que toi,
Quand j’ai aimé , je croyais avoir fait le bon choix .
Tu m’avais supplié d’ être la campagne de ta vie ,
J’ai hésité un instant mais j’avais répondu oui,
Contre la volonté de toute ma famille réunie.
Je m’étais donné avec joie et allégresse,
Je t’avais offert de tout mon cœur ma jeunesse,
Quant à toi, tu m’avais comblé de promesses.
Et les promesses se sont fait attendre,
A l’évidence, j’ai dû me rendre,
Que j’ai une décision à prendre.
Durant cette attente , j’ai eu mon lot de larmes , comme consolation ,
Durant cette attente , j’ai vécu de désespoir et de déception ,
Durant cette attente, j’ai supporté humiliation sur humiliation.
Pendant dix sept années , j’ai pris mon mal en patience ,
Pendant dix sept années , j’ai prié pour que tourne ma chance ,
Pendant dix sept années, point d’écho, point de
Plus le temps ne passe, je cherche l’homme d’autan,
Plus le temps passe , je me pose mille questions ,
Plus le temps passe , je ne reconnais plus mon compagnon .
Comme tout martyr doit avoir une fin,
J’ai pris mon courage avec les deux mains,
Pour fuir, pour espérer un meilleur lendemain.
Je ne voulais point de cette fracture,
A cause de notre progéniture,
Pour lui éviter cette déchirure
Mais une pensée va à mes enfants,
Qui sauront la réalité en son temps,
La véritable histoire, la véritable version.
Quant à moi, j’ai tiré ma conclusion,
Des années passées dans ta prison,
Dieu merci, j’ai appris ma leçon.
Quant à toi, reprends-toi, reviens à la raison,
Je te lance un dernier appel pour sauver notre union ,
Mais cette fois-ci à mes seules et uniques conditions.
Pour conclure et finir,
Je t’invite à bien réfléchir,
Sur ton sort, et non à mon avenir.
Madjid A+
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