Bonsoir, La Gazette du Maroc se contredit, ils ont sorti il y a pas longtemps un article dont le titre était, Les Emirats réticents à investir en Algérie et là comme par hasard, le liévre a été levé, la manipulation n'a pas marché, puisqu'ils ont interviewé la ministre de l'économie des Emirats qui confirme bien que l'Algérie est sur la liste puisque le premier cité, à moins que madame la ministre soit une menteuse.
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Nous avons vu qu’au Maroc, vos entreprises ne lésinent pas sur les moyens pour faire parler d’elles à coup de milliards de dollars. Avez-vous la même stratégie dans d’autres pays arabes ? Si oui pourquoi ?
Effectivement, nous sommes, aujourd’hui, présents dans plusieurs autres pays arabes. Le Maroc n’est donc pas le seul, puisqu’il y a l’Algérie, la Jordanie, Le Liban. De plus, je rappellerai simplement que nous faisons partie du Conseil de coopération des pays arabes du Golfe. Et avec les pays du Golfe, nous avons beaucoup de projets structurants d’envergure comme le Pipeline de gaz qui devra traverser le Golfe d’Oman, les Emirats Arabes Unis et le Qatar. Emaar doit également aménager et développer la Cité Economique du Roi Abdallah en Arabie Saoudite. En réalité, la coopération avec les autres pays arabes sera un partenariat gagnant-gagnant permettant à nos entreprises de tirer leur épingle du jeu tout en contribuant à la prospérité des pays dans lesquels elles investissent.
Voici l'entretien complet.
http://www.lagazettedumaroc.com/arti...979&r=5&sr=977
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L'ancien article
ALGÉRIE /EAU : Réticences de mise
Gazette du Maroc
01 Mai 2006
En dépit des efforts considérables déployés par le président, Abdel Aziz Bouteflika, pour attirer les investissements émiratis, les bailleurs de fonds des Émirats demeurent réticents. Tout comme les échanges bilatéraux entre les deux pays dont les importations entre 1999 et 2006 n’ont pas dépassé les 23 millions de $ alors que les exportations ont enregistré un chiffre de 900 000 $. À la veille de la 4ème session mixte algéro-émiratie qui se tiendra les 2 et 3 mai dans la capitale algérienne, un responsable de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Dubaï, qui a préféré garder l’anonymat, a indiqué à La Gazette du Maroc que cette rencontre est pour la forme ; d’autant plus qu’il ne faut pas s’attendre à grand-chose.
Car ni le climat des affaires, moins encore les opportunités, ne sont du genre à encourager les investisseurs émiratis qui sont maintenant présents dans les quatre coins du monde. Ce même responsable n’a pas hésité à dire qu’il «ne faut pas comparer l’incomparable» avec l’investissement qui a été effectué au Maroc par les deux groupes Emaâr et Dubaï Holding. Et d’ajouter : «Il ne suffit pas que le président Bouteflika soit un ami de certains de nos dirigeants et qu’il ait passé des années parmi nous lors de sa traversée du désert pour que le business et l’investissement marchent comme sur des roulettes».
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Nous avons vu qu’au Maroc, vos entreprises ne lésinent pas sur les moyens pour faire parler d’elles à coup de milliards de dollars. Avez-vous la même stratégie dans d’autres pays arabes ? Si oui pourquoi ?
Effectivement, nous sommes, aujourd’hui, présents dans plusieurs autres pays arabes. Le Maroc n’est donc pas le seul, puisqu’il y a l’Algérie, la Jordanie, Le Liban. De plus, je rappellerai simplement que nous faisons partie du Conseil de coopération des pays arabes du Golfe. Et avec les pays du Golfe, nous avons beaucoup de projets structurants d’envergure comme le Pipeline de gaz qui devra traverser le Golfe d’Oman, les Emirats Arabes Unis et le Qatar. Emaar doit également aménager et développer la Cité Economique du Roi Abdallah en Arabie Saoudite. En réalité, la coopération avec les autres pays arabes sera un partenariat gagnant-gagnant permettant à nos entreprises de tirer leur épingle du jeu tout en contribuant à la prospérité des pays dans lesquels elles investissent.
Voici l'entretien complet.
http://www.lagazettedumaroc.com/arti...979&r=5&sr=977
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L'ancien article
ALGÉRIE /EAU : Réticences de mise
Gazette du Maroc
01 Mai 2006
En dépit des efforts considérables déployés par le président, Abdel Aziz Bouteflika, pour attirer les investissements émiratis, les bailleurs de fonds des Émirats demeurent réticents. Tout comme les échanges bilatéraux entre les deux pays dont les importations entre 1999 et 2006 n’ont pas dépassé les 23 millions de $ alors que les exportations ont enregistré un chiffre de 900 000 $. À la veille de la 4ème session mixte algéro-émiratie qui se tiendra les 2 et 3 mai dans la capitale algérienne, un responsable de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Dubaï, qui a préféré garder l’anonymat, a indiqué à La Gazette du Maroc que cette rencontre est pour la forme ; d’autant plus qu’il ne faut pas s’attendre à grand-chose.
Car ni le climat des affaires, moins encore les opportunités, ne sont du genre à encourager les investisseurs émiratis qui sont maintenant présents dans les quatre coins du monde. Ce même responsable n’a pas hésité à dire qu’il «ne faut pas comparer l’incomparable» avec l’investissement qui a été effectué au Maroc par les deux groupes Emaâr et Dubaï Holding. Et d’ajouter : «Il ne suffit pas que le président Bouteflika soit un ami de certains de nos dirigeants et qu’il ait passé des années parmi nous lors de sa traversée du désert pour que le business et l’investissement marchent comme sur des roulettes».
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