Que se passe t'il au PS .
Les lignes seraient elle entrain de bouger ?
Pour en savoir un peu plus il faudrait lire le dernier pavé de Mr Hollande .
Ou lire ce qui suit .
En tout cas çà avance et à tout petit pas .
Alors que la droite , elle avance sur ce plan à pas de géant .
Eh ouais pour moi le PS est bloqué par l'ours Frech qui cache la forêt des pieds noirs .
Alors je vous propose la plus belle "Une" Algérienne d'Aujourd'hui .
C'est signé la Tribune .
Il faut suivre là
La suite par ici
J'espère que le lien vas marcher :22:
Les lignes seraient elle entrain de bouger ?
Pour en savoir un peu plus il faudrait lire le dernier pavé de Mr Hollande .
Ou lire ce qui suit .
En tout cas çà avance et à tout petit pas .
Alors que la droite , elle avance sur ce plan à pas de géant .
Eh ouais pour moi le PS est bloqué par l'ours Frech qui cache la forêt des pieds noirs .
Alors je vous propose la plus belle "Une" Algérienne d'Aujourd'hui .
C'est signé la Tribune .
Il faut suivre là
Par Chaffik Benhacene
«Nous avons encore des excuses à présenter au peuple algérien», a estimé François Hollande, premier secrétaire du Parti socialiste français, dans un livre à paraître courant mai à Paris sous la forme d’entretien avec le journaliste Edwy Plenel, ancien directeur de la rédaction du quotidien du soir le Monde, au titre explicite Devoirs de vérité. François Hollande répondait alors à la question, particulièrement sensible pour les socialistes français, des positions prises par la SFIO -ancêtre et matrice de l’actuel PS- en 1956 alors qu’elle dirigeait le gouvernement dit de «Front républicain» et qui s’était notamment traduites par le vote de la loi dite «des pouvoirs spéciaux» qui déléguait les pouvoirs civils à l’armée en Algérie. «S’il faut, que sur 1956 et les pouvoirs spéciaux, je sois plus explicite, je le fais ici, au nom du Parti socialiste aujourd’hui. Nous sommes comptables du passé et responsables de l’avenir. La SFIO a perdu son âme dans la guerre d’Algérie. Elle a ses justifications mais nous devons encore des excuses au peuple algérien. Et nous devrons faire en sorte que cela ne se reproduise plus». Il faut, à ce sujet, rappeler que la SFIO et le Front républicain –élus sur un programme dit du «triptyque : cessez-le-feu, discussions, élections»- avaient abandonné toute velléité de réforme et s’étaient alignés sur les positions des ultras pieds-noirs après ce qui est resté connu comme «la journée des tomates», celle du 6 février 1956 qui avait vu le chef du gouvernement français, Guy Mollet, accueilli par des jets de tomates devant le monument aux morts.
Ce revirement stratégique avait été consacré par la présentation et l’adoption de la loi dite des pouvoirs spéciaux ...
«Nous avons encore des excuses à présenter au peuple algérien», a estimé François Hollande, premier secrétaire du Parti socialiste français, dans un livre à paraître courant mai à Paris sous la forme d’entretien avec le journaliste Edwy Plenel, ancien directeur de la rédaction du quotidien du soir le Monde, au titre explicite Devoirs de vérité. François Hollande répondait alors à la question, particulièrement sensible pour les socialistes français, des positions prises par la SFIO -ancêtre et matrice de l’actuel PS- en 1956 alors qu’elle dirigeait le gouvernement dit de «Front républicain» et qui s’était notamment traduites par le vote de la loi dite «des pouvoirs spéciaux» qui déléguait les pouvoirs civils à l’armée en Algérie. «S’il faut, que sur 1956 et les pouvoirs spéciaux, je sois plus explicite, je le fais ici, au nom du Parti socialiste aujourd’hui. Nous sommes comptables du passé et responsables de l’avenir. La SFIO a perdu son âme dans la guerre d’Algérie. Elle a ses justifications mais nous devons encore des excuses au peuple algérien. Et nous devrons faire en sorte que cela ne se reproduise plus». Il faut, à ce sujet, rappeler que la SFIO et le Front républicain –élus sur un programme dit du «triptyque : cessez-le-feu, discussions, élections»- avaient abandonné toute velléité de réforme et s’étaient alignés sur les positions des ultras pieds-noirs après ce qui est resté connu comme «la journée des tomates», celle du 6 février 1956 qui avait vu le chef du gouvernement français, Guy Mollet, accueilli par des jets de tomates devant le monument aux morts.
Ce revirement stratégique avait été consacré par la présentation et l’adoption de la loi dite des pouvoirs spéciaux ...
J'espère que le lien vas marcher :22:
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