Tweet
Yasmina Baddou, ministre marocaine de la Santé, devrait être poursuivie en justice pour "violation de la loi et atteinte aux droits fondamentaux de l’Homme". Une plainte sera déposée dans ce sens lundi prochain par les directeurs de cinq cliniques privées menacées de fermeture.
Selon la Syndicat national des médecins du secteur libéral (SNMSL) qui soutient les plaignants, "la loi ne lui (Yasmina Baddou) donne pas le droit d’ordonner la fermeture des cliniques. Le dernier mot revient au juge et non à Yasmina Baddou. Elle a dépassé ses prérogatives. C’est une atteinte aux droits fondamentaux de l’Homme" (Le Soir écho).
Yasmina Baddou est accusée de ne pas avoir respecté la procédure en vigueur en cas d’infractions constatées dans les cliniques privées, en sautant plusieurs étapes et en annonçant la fermeture de celles-ci.
La ministre de la Santé, annoncée sur le départ en mars dernier, avait fait part la semaine dernière de la fermeture de treize cliniques privées au Maroc. Six autres cliniques sont concernées par une mise en demeure. Pour cela, la ministre avait demandé à Driss Dahak, secrétaire général du gouvernement, de suspendre les activités des cliniques en question jusqu’à la mise à niveau de celles-ci.
alm
Selon la Syndicat national des médecins du secteur libéral (SNMSL) qui soutient les plaignants, "la loi ne lui (Yasmina Baddou) donne pas le droit d’ordonner la fermeture des cliniques. Le dernier mot revient au juge et non à Yasmina Baddou. Elle a dépassé ses prérogatives. C’est une atteinte aux droits fondamentaux de l’Homme" (Le Soir écho).
Yasmina Baddou est accusée de ne pas avoir respecté la procédure en vigueur en cas d’infractions constatées dans les cliniques privées, en sautant plusieurs étapes et en annonçant la fermeture de celles-ci.
La ministre de la Santé, annoncée sur le départ en mars dernier, avait fait part la semaine dernière de la fermeture de treize cliniques privées au Maroc. Six autres cliniques sont concernées par une mise en demeure. Pour cela, la ministre avait demandé à Driss Dahak, secrétaire général du gouvernement, de suspendre les activités des cliniques en question jusqu’à la mise à niveau de celles-ci.
alm
Commentaire