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Le sultant du Maroc Moulay Hafid franc macon

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  • #31
    Excuse pour la double insertion ...

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    • #32
      Des faits indénoables

      Pour des centaines de milliers de Juifs-Marocains de par le monde, Mohamed V c'est avant tout le Souverain juif bien-aime à qui ils doivent leur vie. Ils protégeait les juifs et massacrait - par exemple - les musulmans du rif en 1958!


      Aujourd'hui encore, dans de très nombreuses maisons de juifs d'origine marocaine, à Paris ou à Montreal, à Melbourne ou à Tel-Aviv (Ceux qui sont maintenant au sein de l'armée israélienne "Tsahal" et tirent sur nos frére enfents palestiniens comme sur des lapins!) le portrait du roi juif synthètique Mohamed V trône au beau milieu du salon, avec les photos familiales de mariages et les les portraits de famille.


      Il est vrai que Mohamed V5 a protégé les juifs marocains mais il n'a pas hésité un instant à faire massacrer 8000 âmes musulmanes rifaines dans la régions d'Alhoceima en 1958 qui demandaient un peu plus démocratie pour le Maroc naissant..

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      • #33

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        • #34
          Le falsificateur.........usurpateur

          Hassan II,
          le fils de Glaoui

          Hassan II




          La fille bilogique juive
          de Hassan II, vivant en Israël



          Mohamed V
          A observer comment Hassan II
          ressemble à son père biologique
          le Glaoui, et non à Mohamed V

          Thami L´Glaoui,
          le vrai père biologique
          de Hassan II

          Hassan II



          Abdesadeq Glaoui,
          l'un des fils du Glaoui
          et ancien ambassadeur
          du Maroc en Allemagne


          Hassan II


          Abdesadeq Glaoui


          Thami l'Glaoui,
          le père biologiquede Hassan II



          Hassan II, ivre, fumant et drogué, le non-croyant "commandeur des croyants" !

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          • #35
            dynastie alaouite, ce qu´il a appris de Glaoui lui-même: que - Hassan II est, en fait, né d´une ancienne concubine (de mère juive) du Pacha de Marrakech qu´il a offert (enceinte de lui de six mois) à Mohamed Ben Youssef.

            Hassan II est le fils biologique du grand traître Haj Thami l´Glaoui!

            Les sultans alaouites ne célébraient pas leur mariage et ne le rendaient pas public. c´était des mariages morganatiques. La célébration se passait souvent à la naissance d´un enfant dont souvent on ne savait pas, avec certitude, qui en est le vrai père!

            Ceux qui ont offert les concubines aux sultans, les marchands maquereaux qui les ont vendues ainsi que les esclaves de la "garde noire" peuvent souvent être les vrais pères des sultans "alaouires" bâtards.

            Les sultans alaouites avaient souvent plusieures femmes "légitimes" et un grand nombre de concubines souvent offertes, en corruption, par des tribus ou achetées par l´intermédiaires de marchands juifs spécialisés en Europe.

            Mohamed V - qui était un "coureur de jupons" et obsédé sexuel notoire - avait reçu du Glaoui, le bordelier de Marrakeche, durant plusieures années, tout un harem de concubines souvent d´origine juives ou africaines. D´ailleurs le premier mariage "officieux" de Mohamed V ne s´est pas déroulé à Rabat, la Capitale du Maroc, mais à Marrakech, "Capitale" de Glaoui, le 27 octobre 1926 avec une concubine de Glaoui "Abla" (aussi né d´une mère juive) et décèdée à Rabat le 1 er mars 1992.

            Hassan II, lui aussi, a suivi la tradition féodale et jahilite de ses encètres "alaouites". Mohamed, son fils aîné et l´actuel "roi" Mohamed VI, est né le 21 août 1963 à Rabat. Sa mère était "roturière" - selon le mythe alaouite - et n'a jamais reçu de titre, tout au plus était-elle l´une des "mères des enfants royaux"!

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            • #36

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              • #37
                Qui est Glaoui?
                Haj Thami L´Glaoui appartient au clan familial des Glaoui qui sont une « Dynastie » de caids qui a « régné » sur une partie plus ou moins étendue du sud du Maroc probablement depuis le début du XVIIIè siècle jusqu’en 1956.

                La famille Glaoui construit sa réputation grâce au contrôle mafieux qu’elle exerçait sur la route qui lie Taroudant à Marrakech. Plusierurs tristement célébres "caïds" sont issus de cette famille. Le traître pacha de Marrakech, Thami Glaoui, s’illustre sous la colonisation par le soutien qu’il apporte à l´occupation étrangére de son pays. Il s’opposa à la résistance nationalistes et se ralia franchement aux occupants.

                Madani Glaoui a été grand vizir (premier ministre) de Moulay Hafid depuis l’intronisation de celui-ci (dont Madani fut le principal artisan) en 1908 jusqu’à 1911.

                Son cadet Thami - le père biologique de Hassan II - fut pacha de Marrakech (sorte de gouverneur sous l´autorité des occupants pour la moitié sud du Maroc) de 1912 jusqu’à l’"indépendance".

                L’origine des Glaoui reste obscure; ils se sont même usurpé - comme les "alaouites" après coup, une ascendance "cherifienne"!
                Thèse crédible : Fuyant les famines de l´AfriqueNoire l’ancêtre des Glaouis - comme celle de Ba Ahmed - se serait placé sous la protection d’un marabout local, aurait épousé la fille de ce dernier et hérité, à sa mort de sa "baraka" de la Zaouia et des biens affectés à son entretien notamment des salines sur l’oued Mellah. L’agurram (santon) devient ensuite amghar "Cheikh" (chef séculier désigné par ses contribules pour les representer auprès du Makhzen) et fait entériner sa position par Moulay Ismael qui le nomme à la tête des Glaoua (tribu du versant sud de l’Atlas) où il établit un souk (Khemis de Telouet) et un caravansérail. Il contrôle alors le passage des caravanes venant du Tafilalt et du Sahara (qui lui versent un droit de passage) et perçoit des taxes sur tous les produits vendus au souk et les revenus du caravanserail. En 1856 le commandement de ses successeurs est augmenté par Moulay Abderrahmane d’une tribu du versant nord de l’Atlas où il établit un second souk (El Had Zraqten, non loin de Telouet).
                L'omnipotent Pacha El Glaoui Il a été bourreau des rebelles de l’Atlas, collaborateur de la France coloniale, ennemi juré des nationalistes et suppôt du sultan Fantoche Ben Arafa. Pure produit du système alaouite, il était tout cela à la fois dans le Makhzen à l’époque, mais comment y est-il parvenu ?

                Les Glaoua, puissants guerriers - et comme les alaouites - bandits de grand chemin du Haouz, chefs de tribus Imzwarn, obtiennent de la France - avant même l'occupation - le statut de protégés. Après la destitution du sultan Abdelaziz, le caïd Madani El Glaoui (41 ans) est promu grand vizir, et son frère cadet Thami (28 ans) pacha de Marrakech.

                Durant les premières années de la colonisation, le jeune Thami El Glaoui passe, aux yeux de Lyautey, pour le "pacificateur" des tribus rebelles du Sud. Il est le "dompteur" de dissidents comme El Hiba et l'auteur des campagnes décisives qui lui ont valu une série de médailles françaises qu’il arbore avec fierté et des dotations d’armes considérables. En 1918, alors que son frère meurt, Lyautey le nomme "chef de la famille", le réinstalle pacha de Marrakech et l’introduit auprès de personnalités françaises influentes, dont Philippe Pétain et Marcel Boussac. El Glaoui règne alors sur le Haouz. Telouet (jusqu’à Ouarzazate), est tenu par son neveu, le caïd Hammou. Après la mort de Hammou, en 1934, il y place son fils aîné, Brahim, né (justement) de sa concubine turque, Lalla Kamar Torkia. Entre temps, il sait se rendre utile, aux occupants, jusqu’au Rif, dépêchant en 1926 plus de 1000 soldats en expédition pour évincer Abdelkrim. Une année auparavant, rapporte Gavin Maxwell, il dira à Lyautey qui repart, "peu importe qui vous succédera, vous resterez toujours mon maître". Il lui est reconnaissant, explique l'historien marocain, Kenbib, de "faire appel à lui pour faciliter la mise en place du protectorat et par là même conforter les structures traditionnelles du Makhzen" alaouite. Du statut de protégé des occupants, il devient - comme tout le makhzen alaouite - l’un des piliers de l'occupation coloniale.

                Le butin de guerre d’El Glaoui provenant de ses pillages pendant ses attaques de"pacification" coloniales contre les tribus rebelles devient considérable. Le Glaoui devient alors un gros propriétaire terrien, avec le legs de dahirs (des lois) sultaniens et la bénédiction des occupants reconnaissant.

                En véritable mafioso - bien avant qu’il devienne pacha, "personne ne pouvait vendre ses olives avant lui", rapporte Paul Pascon. Avec l’autorité sur la région et sur les terres Guich, il a multiplié les stratagèmes pour étendre son territoire : 5300 ha cédés par l’État à titre quasi gracieux, 5000 ha "extorqués" à son bras droit El Biaz à sa mort, des impôts dont il retenait une part régulière, des droits d’eau obtenus sans contre-partie, etc. Au bout du compte, rapporte Pascon, en 1929, son salaire ne représentait que 2% de ses revenus. "Il a monté son train de vie en tablant sur la permanence des revenus que lui rapporte l’exploitation intensive des tribus", note à l’époque le commandant Orthlieb. Le Glaoui devient actionnaire principal dans l’Omnium Nord Africain (ancêtre de l’ONA royale), mais aussi à la CTM. Dans le faste d’antan, raconte Mehdi Bennouna (fondateur de la MAP, cité par El Glaoui fils), "mon père a compté, à table, 17 plats pour chaque invité". A l’époque, le sultan alaouite se contente d’apposer son sceau et signature sur les décisions des occupants, et le Pacha passe, au mieux, en ajoutant à sa signature: "le seigneur de l’Atlas" et, au pire, pour "le prédateur du Sud".

                El Glaoui aurait pu ne pas connaître une telle ascension si le caïd Mohamed Boucetta, son unique rival pour le pachalik de Marrakech, réputé plutôt vertueux, n’avait pas été assassiné en janvier 1920 par des hommes de main de Glaoui.

                El Glaoui a également une identité de "grand bordelier" (expression de Charles André Julien et Jean Lacouture). Le titre, il le doit au quartier de maisons closes de Bab El Khemis à Marrakech qui contenait plus d’un millier de prostituées, dont il prélevait 25% des entrées. Pragmatique jusqu’au bout, le Glaoui.

                Le fait que son beau père et grand vizir, El Mokri, lui ait signifié, lui "le serviteur du Makhzen", qu’il n’était plus le bienvenu au Palais l’aurait mis (subitement) en rogne. Enfin, le fait que le maréchal Juin l’ait "remonté contre le roi qui joue l’Istiqlal contre les serviteurs classiques du Makhzen" l’aurait convaincu de la nécessité de comploter contre lui (comme le fit son frère, Madani, contre le sultan Moulay Abdelaziz).

                Outre ses actions dans le groupe de la presse de l'occupation Mass, le Glaoui entretenait moult journalistes étrangers à sa solde. Lorsqu’en 1932, Gustave Babin signe un brulôt qui le démasque, intitulé "Son excellence", il envoie un plaidoyer autant au sultan qu’au résident général pour s’en dédouaner.

                El Glaoui se prend même pour le prince à la place du prince. Profitant de sa relation privilégiée avec Winston Churchill, il tente d’envoyer à la reine d’Angleterre un cadeau en émeraudes à l’occasion de son mariage en 1952, mais on lui fait savoir qu’il n’était pas un chef d’État. L’épisode, commente Kenbib, montre "la maladresse du pacha une fois sorti du pays". Mais elle montre aussi la mobilité et la notoriété surdimensionnée du personnage. Lucide mais aussi rongé par un cancer de plus en plus déclaré, il comprend tardivement que la soumission inconditionnée au couple Juin-Guillaume, a été la mauvaise carte à jouer. Le résident général Grandval l’ignorant, Mendès France refusant de le recevoir, les libéraux (pour l’indépendance et le retour du roi) ayant de plus en plus d’appuis à Paris, El Glaoui devient en octobre 1955 "un anachronisme".

                26 octobre 1955. Les traîtres marionnettes du Makhzen se retrouvent et se réconcilient ! Rabat. El Glaoui se fait petit devant le conseil de régence. Quinze jours plus tard, il se prosterne devant le sultan revenu au château St Germain-en-Laye. Alors que le alem dissident, Kettani, n’est pas reçu, le pacha traître est absout. Il meurt peu après, comme si "sa vie s’est confondue avec celle du protectorat", commente judicieusement Kenbib.

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                • #38
                  Envoyé par mehdi
                  Pour des centaines de milliers de Juifs-Marocains de par le monde, Mohamed V c'est avant tout le Souverain juif bien-aime
                  Ça dégouline de haine.
                  J'ai plutôt de la compassion pou toi.

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                  • #39

                    La grde noire des "alaouites",
                    constituée par des esclaves noirs
                    achetés de l´Afrique Noire
                    pour protérger les sultans
                    de la population locale


                    Protégés par leur garde noire,
                    les sultans alaouites obligent
                    les citoyens marocains à se
                    prosterner et à s´agenoyiller
                    devant les tyrans "alaouites"!



                    Cette vue représente les remparts seignant de Bab Sidi
                    Abdelouahab, bâtie au XIIIème siècle, où le Maghzen alaouite
                    exposait les têtes des chef rebels qui lui avait... tenu tête.









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                    • #40

                      Hassan II et Shimon Pérez l´actuel
                      président d´Israel.
                      Pérez élu et représente les juifs
                      occupnts. Et Hassan II, non élu,
                      représente... les juifs!



                      Hassan II, ici, dans une séance
                      d´allégence et de soumission
                      "Béâaبيعة" au judaïsme et à la
                      bible juive (l´"Ancien Testament") ,
                      face au rabin juif Méïr Obadia
                      qui bénit le commandeur des..


                      Hassan II (à droite), le dernier marocain à
                      recevoir la bénédiction du rabin juif
                      Chalom Messas (à gauche).

                      ( neveu du rabin Yossef Messas).
                      Hassan II accompagna ce rabin à l'avion quand
                      il partit définitivement pour Israel, afin d'être
                      le dernier marocain à recevoir sa bénédiction.

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                      • #41


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                        • #42

                          Rabin Ribbi Chalom Messas,
                          ici avec Mohamed V



                          Rabbin Yossef Messas,
                          à droite, avecMohammed V



                          Après la mort de Hassan II,
                          c´est Azoulay ( debout à gauche)
                          qui assure la continuité du
                          régime juif au Maroc face au
                          citoyen "musulman" agenouillé
                          et humilié devant Mohamed VI

                          (au centre)
                          auquel il baise la main


                          Les sultans alaouites ont contribué à mobiliser des centaines de milliers de mercenaires
                          marocains pour servir leurs occupants dans leurs guerres pour occuper d´autres peuples
                          en sur tous les continants. Ici un cémitière en France où sont enterrés les mercenaire
                          "Harkis" (Goumiers) marocains tombés au service des occupants...


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                          • #43
                            Il a une grande haine des Juifs et il essaie d'associer aux juifs tous ceux qu'il n'aime pas, c'est pour lui l'insulte suprême. C'est grave d'en arriver là. Ce qu'il n'arrive pas à admettre c'est qu'il y ait des juifs marocains (en très grand nombre à travers le monde) qui soutiennent leur pays d'origine.

                            Il sait bien qu'avec ces alliés de choix, le Maroc dispose d'une force supplémentaire. Comme on dit chez nous Taza avant Gaza.

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                            • #44
                              Voici l'abre généalogique de Haj Thami L'Glaoui,
                              Ici uniquement avec ses cinq femmes "officielles".
                              Zineb, Kamar (turque), Nadida (turque), Fadna et Zoubida

                              Commentaire


                              • #45

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                                Chargement...
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