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Aprés la mutinerie a bou kamal, descente aerienne des milices assadienne

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  • Aprés la mutinerie a bou kamal, descente aerienne des milices assadienne

    Des unités de l'armée syrienne a bou kamal dans l'est du pays ont rejoints la revolution hier, les milices assadienne sont en train de preparer une operation heliportés contre la ville.


  • #2
    est ce que tout cela etait planifie par des forces exterieures depuis longtemps ? VOILA UNE BONNE QUESTION

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    • #3
      Non cest planifié par le peuple qui en a marre de 40 ans des voyous del assad.
      Il se revolte comme un seul homme pour faire chuter le dictateur.
      Dailleurs les USA ont malheuresement le moins condamné le voyou bachar par rapport au president egyptien, aucun procés pour crimes de guerre au TPI comme cest le cas pour le libye. Cest tres triste, le peuple syrien est laisser seul face aux vautours

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      • #4
        Entre temps, les operations contre la population continue

        Les milices shabiha et autres unités investissent la banlieue de damas avec les chars et les blindés




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        • #5
          Entre temps, les operations contre la population continue

          Les milices shabiha et autres unités investissent la banlieue de damas avec les chars et les blindés
          Et je vais te dire ce qu'il y aura de plus triste : c''est qu'un jour , la population de ses villes prendront les armes pour défendre leurs proches et leurs vie ,et que tu trouvera ici même , sur ce forum , des dingos pour les fustiger et les accuser de faire le jeu des puissance occidentales , et de rouler pour eux ......
          " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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          • #6
            Et je vais te dire ce qu'il y aura de plus triste : c''est qu'un jour , la population de ses villes prendront les armes pour défendre leurs proches et leurs vie ,et que tu trouvera ici même , sur ce forum , des dingos pour les fustiger et les accuser de faire le jeu des puissance occidentales , et de rouler pour eux ......
            Oui cest triste, tres triste

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            • #7
              Et je vais te dire ce qu'il y aura de plus triste : c''est qu'un jour , la population de ses villes prendront les armes pour défendre leurs proches et leurs vie ,et que tu trouvera ici même , sur ce forum , des dingos pour les fustiger et les accuser de faire le jeu des puissance occidentales , et de rouler pour eux ...
              Oui, on verra ce jour là les fans de Thierry Mayssan sur ce forum sortir du bois pour traiter ces citoyens de traîtres et de Harkis.

              Tant que c'est le déspote arabe qui tue, c'est permis...Halal même!!

              Pour le moment, ces manifestations pacifiques n’accréditent pas leurs thèses complotistes.

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              • #8
                Pour la première fois depuis le début du mouvement de contestation, les Frères musulmans, organisation d'opposition interdite en Syrie, ont officiellement appelé les Syriens à manifester vendredi, jour de grande prière. Pour le journaliste Richard Labévière, auteur du livre Quand la Syrie s'éveillera... (Perrin, 2011), publié en janvier, le risque de guerre civile est réel entre sunnites et chiites.
                Quel rôle jouent les Frères musulmans dans le mouvement de révolte syrien ?

                Richard Labévière : Aujourd'hui, il y a deux niveaux dans la contestation. Il y a d'abord un mouvement général, avec des caractéristiques similaires à cellesque nous avons pu observer en Tunisie ou en Egypte. C'est en fait un mouvement social profond, qui combine revendications politiques et sociétales. Cela correspond, en Europe, au mouvement "quarante-huitard" de 1848, avec le phénomène du printemps des peuples, et au mouvement "soixante-huitard" de 1968, avec la revendication de libertés.
                Mais le second niveau, c'est le rôle joué par les Frères musulmans et les groupes salafistes. Deraa, l'épicentre de la contestation, n'est qu'à quelques kilomètres de la frontière jordanienne. Il y a toujours eu là-bas des tribus transfrontalières qui se sont opposées au régime baasiste central. Depuis le début, les Frères musulmans sont aux manettes dans ce mouvement. Il est certain aujourd'hui qu'ils ont infiltré les manifestations, et qu'ils provoquent des incidents, par exemple en tirant sur les forces de l'ordre.


                On parle également d'hommes venus de l'étranger qui interviennent dans les manifestations. Quelles informations a-t-on à ce sujet ?
                La Syrie est un pays à majorité sunnite, mais le pouvoir est alaouite, une branche du chiisme. Or, il ne faut pas oublier que la contestation en Syrie s'inscrit dans le cadre d'autres mouvements dans les pays voisins. Au niveau régional, la situation est complexe. Le Bahreïn a été agité par une forte révolte chiite. Et les autorités ont accusé l'Iran, principal pays chiite, d'être derrière ce mouvement. Je pense que, en réaction, les Saoudiens, sunnites, ont décidé d'affaiblir le maillon faible, la Syrie. Ils ont donc infiltré des groupes sunnites armés pour déstabiliser le pays.
                Quelles sont les suites envisageables si le mouvement de contestation se poursuit ?
                Le grand risque, c'est de basculer dans la guerre civile. Et en cas de confrontation entre sunnites et chiites, ce sera à coup sûr très sanglant. Les minorités sont également effrayées par ce risque. Mes amis chrétiens me disent clairement : "Si le régime tombe, on est morts." Pour l'instant, les différents groupes ont réussi à cohabiter à peu près pacifiquement, malgré le mouvement de 1982 et le massacre de Hama. Mais il ne faut pas oublier que le risque de guerre civile est réel. On a entendu dans les cortèges le slogan : "Les alaouites dans la tombe, les chrétiens à Beyrouth."
                L'autre possibilité, c'est un scénario à l'algérienne, avec une répression circonscrite aux foyers de contestation. C'est envisageable tant que les villes pivots, Damas et Alep, restent stables.
                Le régime de Bachar Al-Assad peut-il stopper la répression ?
                Bachar Al-Assad n'est pas contraint de poursuivre la répression. Le problème c'est qu'il a été très long à répondre à l'exigence de liberté. Surtout qu'il n'est pas seul à avoir le pouvoir. Il est en fait le porte-voix d'une confrontation entre anciens et modernes dans le gouvernement.
                Dans les autorités syriennes, on trouve des hommes comme le général Nassif, ou des anciens conseillers de son père, qui restent très conservateurs. D'un autre côté, on trouve Ali Mamlouk, directeur des renseignements généraux, ou encore sa conseillère spéciale, qui avait annoncé très vite la levée de l'état d'urgence. Ceux-là représentent le renouveau syrien, et faisaient pression par exemple pour mettre en place des forums civiques de discussion comme lors du printemps de Damas en juillet 2000. Dans cette courte période, il y a eu de vrais débats politiques et sociaux qui ont marqué les Syriens. La gestion de la révolte dépend de cet équilibre et de leur influence.


                Propos recueillis par Charlotte Chabas
                Le Monde.fr

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                • #9
                  Parole aux syriens de Suisse...

                  Les syriens de Suisse affirment quant à eux que la majorité du peuple soutien Assad, y compris eux bien sur....

                  Ils affirment que 500 policiers ont été assassinés par des bandes armées!!!
                  Vidéo à voir en dehors des propagandes habituelles!

                  http://www.tsr.ch/video/info/journal...00-civils.html

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                  • #10
                    Le dessous es cartes!

                    Complot contre la Syrie, Navires de guerres américain en mer Noire
                    Il est rare que le ministre russe des affaires étrangères choisisse un dimanche pour faire une déclaration officielle. A l’évidence, quelque chose d’extrêmement grave pousse Moscou avec urgence. Ce qui en est à l’origine est l’apparition d’un croiseur lance-missiles américain dans la mer Noire pour des exercices navals avec l’Ukraine. Le croiseur USS Monterrey équipé du système de défense anti-aérien AEGIS prend part à des exercices conjoint Ukraine-USA : Sea Breeze 2011 (Brise de mer 2011). Il n’y a rien d’extraordinaire à un exercice naval américano-ukrainien.
                    L’année dernière, également, un exercice avait eu lieu. Mais comme le déclare Moscou : «Alors qu’est laissée de côté la question non réglée de l’éventuelle architecture du bouclier anti-missiles européen, la Russie voudrait savoir, conformément aux décisions Russie-OTAN du sommet de Lisbonne, quelle « aggravation » le commandement américain veut signifier en déplaçant l’appareil de frappes de base du groupement régional de défense anti-missiles, formé par l’OTAN dans la région, de la Méditerranée vers l’Est ? ».
                    La déclaration du ministre des affaires étrangères se poursuit en donnant sa propre explication, selon laquelle le Monterrey a été envoyé dans les eaux européennes comme un élément de l’approche adaptative progressive de l’administration américaine dans la construction du segment européen d’un bouclier anti-missiles global. La première étape du programme prévoit le déploiement d’un groupe de navires de guerre américains dans l’Adriatique, la mer Egée et la Méditerranée pour protéger le sud de l’Europe d’une éventuelle frappe de missiles.
                    Selon cette déclaration, le rôle des missiles des navires de guerre américains dans le cadre des exercices anti-piraterie « Sea Breeze 2011 » reste trouble. « Nous devons dire que nos préoccupations continuent d’être ignorées et que, sous le couvert de négociations, des tentatives sont en cours pour établir la configuration du bouclier anti-missiles, dont les conséquences sont dangereuses, ce dont nous avons avisé de nombreuses fois nos partenaires américain et de l’OTAN», ajoute la déclaration russe.

                    Les Etats-Unis déclarent qu’il s’agit d’exercices navals de routine. De son côté, Moscou demande : « S’il s’agit d’un déplacement ordinaire, alors pourquoi un navire de guerre avec ce type d’armement a été choisi pour un mouvement vers cette région si sensible ? » Sans aucun doute, les Etats-Unis intensifient la pression sur la flotte russe de la mer Noire. La provocation américaine se déroule dans le contexte des troubles en Syrie. La Russie bloque opiniâtrement les tentatives américaines de susciter l’occasion d’une intervention en Syrie, du type de celle en Libye. Moscou a compris qu’une des raisons majeures des Etats-Unis de pousser à un changement de régime en Syrie est d’obtenir la liquidation de la base navale russe dans ce pays [NdT : base navale de Tartous]. La base syrienne est la seule implantation que possède la Russie en Méditerranée.

                    La flotte de la mer noire repose sur la base syrienne pour assurer une présence effective de la marine russe en Méditerranée. Avec l’établissement de bases navales en Roumanie et l’apparition de navires de guerre américains en mer Noire, l’arc de l’encerclement se resserre. C’est un jeu du chat et de la souris, où les Etats-Unis ont le dessus. Officiellement, le régime dirigé par Bachar al-Assad est répressif, puisque presque chaque jour nous parviennent des informations selon lesquelles toujours plus de massacres ont lieu. Mais les informations occidentales restent complètement silencieuses sur l’aide obtenue de l’extérieur par l’opposition syrienne.
                    Personne n’est intéressé à envisager ou à questionner, par exemple, sur les circonstances de « l’incident » dans lequel 120 membres des forces de sécurité syrienne ont été tués par balles. L’implication occidentale, saoudienne, israélienne et turque dans les troubles en Syrie est presque claire comme du cristal, mais ceci est au-delà de la zone de discussion quand on parle des « troubles » en Syrie. En bref, la Russie a perdu la guerre de l’information sur la Syrie. Désormais, son dilemme consistera à être perçue comme illogique et faisant obstacle au louable processus de démocratisation en cours en Syrie et à l’éclosion du « Printemps arabe ».

                    Moscou a été claire sur le fait qu’elle ne tolèrera pas une résolution sur la Syrie au Conseil de sécurité des Nations Unies, peu importe sa formulation ou son contenu. Elle a aussi voté contre la tentative à l’Agence Internationale de l’Energie Atomique (A.I.E.A.), la semaine dernière, d’ouvrir un dossier nucléaire sur la Syrie - semblable au dossier iranien – au Conseil de sécurité de l’ONU. Le dilemme de Moscou est qu’elle ne peut pas expliquer ouvertement son point de vue sur l’agenda géopolitique américain à l’égard de la Syrie. Une telle explication révèlerait le vide du renouvellement des relations américano-russes, pour laquelle le Kremlin, sous le président Dimitri Medvedev, a pourtant assidument travaillé. Mais Washington ne va pas laisser filer non plus la Russie.
                    Washington est persuadé qu’elle va resserrer le nœud autour du cou d’Assad. Pour le dire simplement, les USA veulent que la Russie lâche la Syrie pour que l’Ouest puisse l’attaquer. Mais la Russie sait que la suite sera la fermeture de sa base navale par un régime pro-occidental qui aura succédé à Assad. Les enjeux sont très importants. L’année dernière, le second du renseignement militaire russe a été tué dans des circonstances mystérieuses alors qu’il inspectait la base navale de Syrie. Son corps a été retrouvé en train de flotter dans la Méditerranée, au large des côtes turques. Cela pour dire que de nombreuses agences de renseignement sont impliquées dans la tourmente syrienne. D’abord et avant tout, un changement de régime en Syrie est devenu absolument crucial pour rompre l’isolement régional d’Israël.

                    L’espoir américano-israélien est de casser le soutien au Hezbollah, ce qui ne se fera qu’à la condition de renverser le régime d’Assad à Damas et de mettre fin à l’alliance syro-iranienne. De plus, un changement de régime à Damas forcerait le leadership du Hamas à évacuer Damas. Le chef du Hamas [NdT : de la branche militaire], Khaled Mechaal, vit à Damas sous la protection de Assad depuis plusieurs années. L’un dans l’autre, par conséquent, n’importe quel mouvement sur le processus de paix israélo-palestinien en faveur des positions israéliennes ne sera possible que si les USA et Israël cassent le noyau dur syrien.
                    Washington et Tel Aviv ont essayé de persuader la Russie de s’aligner et d’accepter la défaite sur la Syrie. Mais Moscou est resté collée à ses revolvers. Et maintenant en envoyant un navire de guerre dans la mer Noire, les USA ont signalé qu’il ferait payer à la Russie le prix de son obstination et de ses prétentions comme puissance méditerranéenne et moyen-orientale. Le résultat des élections législatives en Turquie, qui assure un nouveau mandat au parti « islamiste » dirigeant AKP (Parti de la Justice et du Développement) a renforcé significativement les positions américaines sur la Syrie. Ankara a durci le ton sur Assad et a commencé à le critiquer ouvertement.
                    On peut s’attendre dans les semaines qui viennent à un jeu turc plus intrusif dans la déstabilisation d’Assad et le changement de régime à Damas.Ironiquement, la Turquie est aussi le pays qui contrôle le détroit du Bosphore. En intensifiant ses relations avec la Turquie dans la décennie passée, Moscou a espéré qu’Ankara irait progressivement vers une politique étrangère indépendante. Les attentes du Kremlin étaient que les deux pays s’entendraient pour régenter ensemble la mer Noire. Mais avec le déroulement des évènements, il est devenu clair qu’Ankara revient à ses anciennes priorités comme pays de l’OTAN et comme partenaire prééminent des USA dans la région. Ankara ne peut-être blâmée, elle a fait une évaluation fine et en a tiré la conclusion que ses intérêts seraient mieux servis en s’identifiant au jeu occidental de réaliser un changement de régime en Syrie. De plus, Ankara trouve rentable de rejoindre l’approche des Saoudiens quant au bouleversement du Moyen-Orient.
                    Les riches arabes des pays pétroliers du golfe persique sont prêts à envoyer leur « argent vert » vers la Turquie. Ankara partage également les craintes saoudiennes à propos de l’émergence de l’Iran comme puissance régionale. En somme, les USA obtiennent doucement mais régulièrement le dessus concernant leur projet d’un renversement de régime à Damas. Est-ce que Moscou s’inclinera sous l’immense pression et acceptera un refoulement de son influence en Syrie, est la grande question. Moscou a menacé de s’associer avec Pékin et d’adopter une position commune sur la Syrie. Mais la capacité de Moscou à contrer le bulldozer américain sur la Syrie s’affaiblit de jour en jour. La trajectoire des évènements en Syrie aura certainement un impact profondément négatif sur le renouvellement des relations amérciano-russes.
                    L’administration Obama semble avoir fait ses calculs et a conclu que le prix valait d’être payé dans le souci d’assurer la sécurité d’Israël. Le navire de guerre qui naviguait dans la mer Noire apportait un message clair à la Russie : elle doit accepter de n’être plus que l’ombre pâle de l’ancienne Union soviétique.
                    L’ambassadeur M. K. Bhadrakumar a été un diplomate de carrière aux services dilomatiques indiens. Parmi ses affectations : l’Union Soviétique, la Corée du sud, le Sri Lanka, l’Allemagne, l’Afghanistan, le Pakistan, l’Ouzbékistan, le Koweït et la Turquie.
                    Traduit par Kinan Alkurdi pour Algerie Network
                    Par M. K. Bhadrakumar Source Asia times
                    Dernière modification par mehdi-amazigh, 18 juillet 2011, 01h52.

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                    • #11
                      Tiens personne pour commenter........

                      Ca vous gène la vérité................

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                      • #12
                        c'est cà le probléme quand on postent des insanités , il n'y a personne pour les commenter.

                        tien par exemple , celle là:


                        L’administration Obama semble avoir fait ses calculs et a conclu que le prix valait d’être payé dans le souci d’assurer la sécurité d’Israël
                        donc les etats unis veulent assurer la sécurité d'israel en attaquant un pays dont israel occupe déja un territoire stratégique , un pays dont ce meme israel arrive à violer l'espace aérien , un pays ou ce meme israel se permet d'envoyer un commando pour aller faire péter une centrale nucléaire , un pays qui ne peut meme pas lever le petit doigt lorsque les F-15 israéliens survolent le palais présidentiel ......... :22:


                        Le navire de guerre qui naviguait dans la mer Noire apportait un message clair à la Russie : elle doit accepter de n’être plus que l’ombre pâle de l’ancienne Union soviétique.
                        donc pour s'assurer que de la bienveillance de la russie , qui n'a dailleurs pipé aucun mot pour l'irak , l'afghanistan et la lybie , les états unis la menacent avec un bateau ........
                        " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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                        • #13
                          c'est cà le probléme quand on postent des insanités , il n'y a personne pour les commenter.

                          tien par exemple , celle là:
                          Des insanités comme tu dis qui ne viennent pas d'Al jazeera....:22:

                          Par ailleurs, ton analyse est ridicule, si tu ne le sais pas!

                          Ca c'est concrêt plutôt!!!!!

                          L’espoir américano-israélien est de casser le soutien au Hezbollah, ce qui ne se fera qu’à la condition de renverser le régime d’Assad à Damas et de mettre fin à l’alliance syro-iranienne. De plus, un changement de régime à Damas forcerait le leadership du Hamas à évacuer Damas. Le chef du Hamas [NdT : de la branche militaire], Khaled Mechaal, vit à Damas sous la protection de Assad depuis plusieurs années. L’un dans l’autre, par conséquent, n’importe quel mouvement sur le processus de paix israélo-palestinien en faveur des positions israéliennes ne sera possible que si les USA et Israël cassent le noyau dur syrien.

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                          • #14
                            mais oui , c'est ca , donc en fait , les manifestants qui meurent par dizaine ces jours-c- dans Hama , Homs , Jisr Al Choughour , c'est des juifs déguisés en syriens ......

                            pas possible ce mec .......
                            " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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                            • #15
                              mais oui , c'est ca , donc en fait , les manifestants qui meurent par dizaine ces jours-c- dans Hama , Homs , Jisr Al Choughour , c'est des juifs déguisés en syriens ......
                              C'est comme disent les syriens qui vivent en Suisse dont j'ai posté les témoignages, des policiers et des civils qui meurent sous les balles assassines des bandes armées!


                              Mais le second niveau, c'est le rôle joué par les Frères musulmans et les groupes salafistes. Deraa, l'épicentre de la contestation, n'est qu'à quelques kilomètres de la frontière jordanienne. Il y a toujours eu là-bas des tribus transfrontalières qui se sont opposées au régime baasiste central. Depuis le début, les Frères musulmans sont aux manettes dans ce mouvement. Il est certain aujourd'hui qu'ils ont infiltré les manifestations, et qu'ils provoquent des incidents, par exemple en tirant sur les forces de l'ordre.


                              On parle également d'hommes venus de l'étranger qui interviennent dans les manifestations. Quelles informations a-t-on à ce sujet ?
                              La Syrie est un pays à majorité sunnite, mais le pouvoir est alaouite, une branche du chiisme. Or, il ne faut pas oublier que la contestation en Syrie s'inscrit dans le cadre d'autres mouvements dans les pays voisins. Au niveau régional, la situation est complexe. Le Bahreïn a été agité par une forte révolte chiite. Et les autorités ont accusé l'Iran, principal pays chiite, d'être derrière ce mouvement. Je pense que, en réaction, les Saoudiens, sunnites, ont décidé d'affaiblir le maillon faible, la Syrie. Ils ont donc infiltré des groupes sunnites armés pour déstabiliser le pays.
                              Quelles sont les suites envisageables si le mouvement de contestation se poursuit ?
                              Le grand risque, c'est de basculer dans la guerre civile. Et en cas de confrontation entre sunnites et chiites, ce sera à coup sûr très sanglant. Les minorités sont également effrayées par ce risque. Mes amis chrétiens me disent clairement : "Si le régime tombe, on est morts." Pour l'instant, les différents groupes ont réussi à cohabiter à peu près pacifiquement, malgré le mouvement de 1982 et le massacre de Hama. Mais il ne faut pas oublier que le risque de guerre civile est réel. On a entendu dans les cortèges le slogan : "Les alaouites dans la tombe, les chrétiens à Beyrouth."
                              L'autre possibilité, c'est un scénario à l'algérienne, avec une répression circonscrite aux foyers de contestation. C'est envisageable tant que les villes pivots, Damas et Alep, restent stables.
                              Le Monde.fr

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