Antigone. Une tragédie grecque de Sophocle qui met en scène l'histoire de cette jeune fille qui a tenu tête au roi de Thèbes, Créon, en décidant d'ensevelir son frère Polynice. Ce même frère que la cité a décrété traitre et qui n'avait droit ni à une tombe ni aux hommages.
Contre vents et marrées, Antigone décide de jeter une poignée de terre sur le corps de Polynice, un geste symbole d'enterrement qui transgresse la décret du roi. "Si j'avais dû laisser sans sépulture un corps que ma mère a mis au monde, je ne m'en serais jamais consolée", crie-t-elle à la face de Créon. Et d'ajouter juste avant son exécution : "Je suis faite pour partager l'amour, non la haine."
La pièce est mise en scène ici par Jean Anouilh.
Contre vents et marrées, Antigone décide de jeter une poignée de terre sur le corps de Polynice, un geste symbole d'enterrement qui transgresse la décret du roi. "Si j'avais dû laisser sans sépulture un corps que ma mère a mis au monde, je ne m'en serais jamais consolée", crie-t-elle à la face de Créon. Et d'ajouter juste avant son exécution : "Je suis faite pour partager l'amour, non la haine."
La pièce est mise en scène ici par Jean Anouilh.
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