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Industrie automobile au maroc: Une croissance à deux chiffres en 2011

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  • Industrie automobile au maroc: Une croissance à deux chiffres en 2011

    - 10 MILLIARDS DE DH D’INVESTISSEMENT DOPÉS PAR RENAULT-TANGER
    - DACIA-EGYPTE: LE MARCHÉ DOMESTIQUE COMPENSE LA BAISSE DES EXPORTATIONS

    Une vingtaine d’équipementiers sont déjà présents à Tanger. Ils ont commencé à effectuer leurs premiers tests pour livrer l’usine Renault dès le 4e trimestre. D’autres tâtent et évaluent le potentiel du marché.

    Tanger et Atlantic Free Zone, TAC, usine Renault-Nissan… les sites de production s’intensifient et enregistrent un engouement sans précédent des industriels. En tout cas, le premier semestre a enregistré l’implantation de nombreux équipementiers. Une croissance boostée par l’effet Renault à Tanger-Mellousa. «Malgré la faiblesse du marché européen, la fin de la prime à la casse… nous assistons à une croissance des équipementiers qui exportent», annonce Larbi Belarbi, président de l’Association marocaine pour l’industrie et le commerce de l’automobile (Amica). En effet, le site de production Maroc est résolument majoritairement orienté marché international.
    Pour sa part, l’Etat ne lésine pas sur ses arguments en avantages fiscaux pour attirer le maximum d’opérateurs. «Le secteur connaîtra une croissance à deux chiffres d’ici la fin de l’année», annonce Belarbi. Il est de même pour le premier semestre, en l’absence de statistiques officielles (prévues pour août prochain).
    En tout cas, le secteur réalisera cette année des investissements de plus de 10 milliards de DH. Un chiffre dopé par la réalisation de l’usine Renault-Tanger. Si l’unité sera livrée début 2012, les tests eux devront commencer incessamment. Généralement, toute usine a besoin de 6 mois de tests avant d’être entièrement opérationnelle.
    La finalisation de cette unité constitue un tournant dans l’histoire récente de l’industrie automobile nationale. Si certains équipementiers sont dans les starting-blocks, une vingtaine est déjà présente. «Ils ont déjà commencé à effectuer leurs premiers tests pour livrer l’usine dès le 4e trimestre», souligne le président de l’Amica. D’autres tâtent et évaluent le potentiel du marché. A priori, le japonais Yazaki compte réorienter ses investissements en Tunisie vers le Maroc. Pour rappel, ce spécialiste du câblage automobile est déjà présent à Tanger et Kénitra. Une situation qui certifie l’optimisme des professionnels du secteur.
    En tête de classement des zones industrielles, terres d’accueil des industriels automobiles, se positionne Tanger, suivie de Kénitra et Casablanca. Pour la capitale économique, «c’est le début du développement des équipementiers qui exportent et qui fournissent Somaca», soutient Belarbi.
    Pour le constructeur automobile Somaca, la production est bien au rendez-vous. Les ventes de Dacia durant ce premier semestre en témoignent (+20%). «Ces véhicules sont produits au niveau de Somaca. Ce qui est intéressant c’est que les pertes des volumes en Egypte durant ces six premiers mois sont en partie compensées par le marché domestique», commente Belarbi. Révolution oblige! Les exportations vers le pays des Pharaons ont considérablement régressé durant le premier semestre. Pour la corporation des industriels, «la reprise est pressentie dès septembre prochain».
    _____________
    L'ECo DU JOUR

  • #2
    salam alino01
    barak'Allah fik
    sa fait plaisir d'entendre de bonne nouvelle comme sa

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    • #3
      Ces derniers temps l'industrie automobile marocaine à connu beaucoup d'investissement c'est pas mal.

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