Le Hoggar n’est pas uniquement une destination touristique prisée par des milliers d’étrangers en quête d’exotisme. C’est aussi une région qui regorge d’or.
Les résultats des travaux d’exploration menés par l’entreprise minière canadienne Cancor attestent que les réserves en or de cette partie de l’extrême Sud sont « beaucoup plus importantes » qu’on ne l’imaginait.
« Les résultats obtenus jusqu’à présent sont très encourageants avec d’excellentes teneurs aurifères dans de nombreux échantillons. De plus, plusieurs grains d’or visible ont été observés entre les zones filoniennes, sur de petits affleurements. La présence d’or visible dans ces secteurs suggère que les minéralisations aurifères pourraient être beaucoup plus importantes que détectées jusqu'à présent », a souligné la firme canadienne dans un communiqué publié sur son site le 18 juillet.
L’opération d’exploration, qui a pris plusieurs mois, a permis de découvrir la présence de filons et de zones minéralisées enfouies sous la mince couverture de reg. Le programme de forage dans les secteurs à fort volume de minéralisation va commencer cet automne, a assuré l’entreprise pour laquelle les résultats obtenus sont « excellents » et surtout « déterminants puisqu’ils indiquent que les minéralisations aurifères s’étendent au‑delà des filons connus ».
Pour Cancor, il y aurait « une abondance de filons minéralisés qui ne soient pas visibles en surface et que ces minéralisations se retrouvent aussi dans des granites altérés, des syénites et des microdiorites offrant ainsi un vaste potentiel de découverte ». La partie centrale du champ aurifère de Kiouene se dessine déjà comme le secteur à cibler en priorité pour des travaux de forage.
Afin de définir le potentiel pour supporter une opération à ciel ouvert, Cancor a vérifié des secteurs encore inexplorés entres les faisceaux de filons affleurant. Les filons aurifères sont regroupés dans huit champs filoniens à l’intérieur des limites du permis de Nord Tirek. L’entreprise Cancor, présente en Algérie depuis une vingtaine d’années, dispose de plusieurs permis d’exploration aurifère au sud du pays. Le permis de Nord Tirek, qui semble des plus importants, couvre une superficie de 98 990 hectares, soit 989 km².
TSA
Les résultats des travaux d’exploration menés par l’entreprise minière canadienne Cancor attestent que les réserves en or de cette partie de l’extrême Sud sont « beaucoup plus importantes » qu’on ne l’imaginait.
« Les résultats obtenus jusqu’à présent sont très encourageants avec d’excellentes teneurs aurifères dans de nombreux échantillons. De plus, plusieurs grains d’or visible ont été observés entre les zones filoniennes, sur de petits affleurements. La présence d’or visible dans ces secteurs suggère que les minéralisations aurifères pourraient être beaucoup plus importantes que détectées jusqu'à présent », a souligné la firme canadienne dans un communiqué publié sur son site le 18 juillet.
L’opération d’exploration, qui a pris plusieurs mois, a permis de découvrir la présence de filons et de zones minéralisées enfouies sous la mince couverture de reg. Le programme de forage dans les secteurs à fort volume de minéralisation va commencer cet automne, a assuré l’entreprise pour laquelle les résultats obtenus sont « excellents » et surtout « déterminants puisqu’ils indiquent que les minéralisations aurifères s’étendent au‑delà des filons connus ».
Pour Cancor, il y aurait « une abondance de filons minéralisés qui ne soient pas visibles en surface et que ces minéralisations se retrouvent aussi dans des granites altérés, des syénites et des microdiorites offrant ainsi un vaste potentiel de découverte ». La partie centrale du champ aurifère de Kiouene se dessine déjà comme le secteur à cibler en priorité pour des travaux de forage.
Afin de définir le potentiel pour supporter une opération à ciel ouvert, Cancor a vérifié des secteurs encore inexplorés entres les faisceaux de filons affleurant. Les filons aurifères sont regroupés dans huit champs filoniens à l’intérieur des limites du permis de Nord Tirek. L’entreprise Cancor, présente en Algérie depuis une vingtaine d’années, dispose de plusieurs permis d’exploration aurifère au sud du pays. Le permis de Nord Tirek, qui semble des plus importants, couvre une superficie de 98 990 hectares, soit 989 km².
TSA
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