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Touristes jusqu’à la folie

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  • Touristes jusqu’à la folie

    Touristes jusqu’à la folie
    Certains lieux peuvent rendre fous les touristes qui s’y aventurent. A Paris, ce phénomène touche des Japonais, tétanisés par le décalage entre la ville romantique qu’ils ont fantasmée, et la réalité. A Jérusalem, c’est la crise mystique qui guette les voyageurs. Quant à l’Inde, on ne compte plus ceux qui n’en sont jamais revenus.

    tsr

  • #2
    Je n'ai jamais compris ce que trouvent tout le monde à Paris?

    Une ville sale, moche, je ne vois pas....La première fois que je l'ai visitée, quelle déception!!!

    Et surtout quand j'entends les journaleux qui nous disent: " La plus belle avenue du monde...."

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    • #3
      Syndrome de Paris[modifier]Le syndrome de Paris (パリ症候群, Pari shōkōgun?) toucherait plus particulièrement les touristes japonais qui, ayant une vision idéalisée de la ville — le Montparnasse des Années folles ou le Paris d’Amélie Poulain — sont très déçus par la réalité et déstabilisés par le fossé culturel existant entre la France et le Japon[3],[4].

      Le terme « syndrome de Paris » se trouve dans un ouvrage paru en 1991 et écrit par le Docteur Hiroaki Ōta (太田 博昭, Hiroaki Ōta?), psychiatre du centre hospitalier Sainte-Anne à Paris[5]. Il y analysait le trop fort décalage entre l’image que se font les Japonais de la France et la réalité[6]. Les magazines japonais consacrés à Paris idéaliseraient la capitale[7]. Le docteur Ōta est le premier à avoir ouvert une consultation spécialisée pour les Japonais, et cela depuis 1989[4].
      Le comportement et le langage démonstratifs des Français sont parmi les éléments les plus insupportables aux yeux des Japonais[3]. Exprimer ouvertement son point de vue, interrompre son interlocuteur, être en désaccord et le faire savoir sont des attitudes contraires à l’éthique japonaise[3]. Les femmes sont les plus touchées et supportent mal l’attitude trop latine de certains Français[6]. Le syndrome peut aller dans de rares cas jusqu’à l’hospitalisation et le rapatriement[6].

      De 1988 à 2004, 63 patients ont été hospitalisés dans le service du docteur Ōta : 29 hommes et 34 femmes, la moitié entre 20 et 30 ans[3]. Après un traitement d'une durée moyenne de deux semaines, tous ont été rapatriés, de préférence avec un membre de leur famille[3]. Sur ces 63 patients, 48 présentaient des troubles schizophréniques ou psychotiques, 15 présentaient des troubles de l'humeur[3].

      http://fr.wikipedia.org/wiki/Syndrom...drome_de_Paris

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