Abdallah Djaballah a annoncé ce samedi 30 juillet la création de son nouveau parti, le Front pour la justice et le développement (FJD), lors d’un congrès constitutif à Zéralda, à l’ouest d’Alger.
Devant ses militants venus de différentes régions du pays, l'ancien chef d'Ennahda puis d'El Islah a lancé un appel à tous les courants islamistes pour constituer un front commun.
Dans son discours devant le congrès, M. Djaballah est revenu sur la nécessité d'avoir une opposition forte et constructive et non une opposition contre des personnes ou des institutions. Il a assuré que son parti n'a aucune prétention de gouverner seul, même au cas où il remporterait la majorité des voix lors des élections locales ou législatives.
Il a aussi affirmé qu'il était « hors de question d'utiliser la violence » pour arriver au pouvoir.
Des anciens cadres d'El Islah, dont Mohamed Boulahia et Abdelrafour Sadi font partie des membres fondateurs du nouveau parti de Djaballah. « Le parti sera ouvert à tous ceux qui rempliront les conditions d'adhésion, abstraction faite de leurs tendances. On ne peut exclure personne sauf ceux déjà exclus par la loi », a indiqué Abdelrafour Sadi dans une déclaration à TSA.
Par Hadjer Guenanfa et Mohamed Belalia
Devant ses militants venus de différentes régions du pays, l'ancien chef d'Ennahda puis d'El Islah a lancé un appel à tous les courants islamistes pour constituer un front commun.
Dans son discours devant le congrès, M. Djaballah est revenu sur la nécessité d'avoir une opposition forte et constructive et non une opposition contre des personnes ou des institutions. Il a assuré que son parti n'a aucune prétention de gouverner seul, même au cas où il remporterait la majorité des voix lors des élections locales ou législatives.
Il a aussi affirmé qu'il était « hors de question d'utiliser la violence » pour arriver au pouvoir.
Des anciens cadres d'El Islah, dont Mohamed Boulahia et Abdelrafour Sadi font partie des membres fondateurs du nouveau parti de Djaballah. « Le parti sera ouvert à tous ceux qui rempliront les conditions d'adhésion, abstraction faite de leurs tendances. On ne peut exclure personne sauf ceux déjà exclus par la loi », a indiqué Abdelrafour Sadi dans une déclaration à TSA.
Par Hadjer Guenanfa et Mohamed Belalia
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