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L'Algérie enregistre une récolte record de céréales

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  • L'Algérie enregistre une récolte record de céréales

    Pour la troisième année consécutive, l'Algérie devrait bénéficier d'une excellente récolte céréalière.

    La récolte de cette année est estimée à 4,5 millions de tonnes, a annoncé le directeur général de l'Office algérien interprofessionnel des céréales (OAIC), Noureddine Kehal, le 18 juillet.

    Cette récolte sera la troisième plus importante du pays depuis son indépendance, après le record absolu de 6,2 millions de tonnes en 2009 et les 4,55 millions de tonnes de l'an dernier.

    Le ministre de l'Agriculture Rachid Benaissa a qualifié la récolte escomptée d'"excellente" dans l'est de l'Algérie, de "moyenne" dans les régions centrales, et de "faible" à l'ouest par suite de la sécheresse.

    Plus de 2,7 millions de tonnes ont déjà été récoltés, selon Kehal. La récolte se poursuivra jusqu'à fin août. Les céréaliculteurs envoient leur production à des coopératives. Contrairement aux années précédentes, a expliqué Kehal, les producteurs sont payés en "un temps record", c'est-à-dire 48 heures après la livraison de leur production.

    Pour encourager les producteurs à améliorer leurs rendements, le gouvernement a adopté en 2008 un système de prix minimum d’achat garanti.

    L'Algérie a également lancé une politique de soutien pour revitaliser le secteur. Ces mesures prévoient des prêts permettant aux céréaliculteurs d'acheter des semences, des engrais et des produits phytosanitaires, ainsi que des crédits de campagne sans intérêt, le soutien des prix des engrais et des produits phytosanitaires, le leasing pour l'acquisition de tracteurs et de moissonneuses, ainsi qu'un accompagnement technique.

    Malgré cette croissance de la production, l'Algérie reste l'un des plus importants importateurs de blé au monde. Il y a deux ans, le pays avait importé près de 6 millions de tonnes, mais avait réduit ses importations d'un demi-million l'année dernière.

    Depuis le début de cette année, les importations de blé ont repris à la hausse. L'Algérie a importé près de 4 millions de tonnes de blé au cours du premier semestre 2011, en hausse d'un million par rapport à la même période de l'an dernier, selon le CNIS. Ses plus gros fournisseurs sont la France, le Canada, l'Allemagne et les Etats-Unis.

    "L'Algérie a récemment fait une bonne affaire en important une grande quantité de blé dur", a expliqué Benaissa lors d'une conférence de presse organisée le 9 juillet. "La consommation nationale pour le reste de 2011 est virtuellement assurée."

    Selon le bureau des douanes, le coût des importations de blé l'an dernier a baissé d'environ un tiers par rapport à 2009.

    L'Algérie dépend fortement des importations alimentaires. Durant les six premiers mois de 2011, le gouvernement a dépensé près de 5 milliards de dollars en importations, contre 3 milliards sur la même période de 2010, selon le Centre national de l'informatique et de la statistique (CNIS).

    Le gouvernement a cherché à tirer profit de la baisse des cours du blé et de l'euro, pour réaliser ainsi des économies substantielles, mais également pour prévenir toute perturbation dans l’approvisionnement du marché national, surtout à l’approche du mois de ramadan qui voit la consommation exploser.

    "Je demande à tous les professionnels de faire en sorte que l’approvisionnement du marché soit le plus rationnel possible pendant le mois du Ramadan pour éviter toute spéculation sur les produits à base de blé dur et de blé tendre", a déclaré Benaissa le 11 juillet.

    Le ministre a donné des instructions pour augmenter les quotas de blés dur et tendre attribués aux industriels de la filière céréales (semouleries et minoteries) à hauteur de 10 pour cent à partir du 15 juillet.

    Source: Magharebia

  • #2
    Espérant que le ministére ne serai pas contraint cette fois á l'exportation faute de moyens de stockage et conservation!

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    • #3
      MAROC: Au titre de la campagne 2010-2011, la récolte céréalière avoisine les 88 millions de quintaux, en hausse de 10% par rapport à la récolte de 2009/2010

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      • #4
        Entre la tonne et le quintal, il y a un zéro de plus au bon endroit!!!

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        • #5
          le céréal c'est notre vrai ressource.........sa fesai la richesse de l’Algérie avant la colonisation

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          • #6
            L'Algérie produit, actuellement, plus qu'elle en porduisait avant et après la colonisation française.
            La seule différence est qu'aujourd'hui, elle produit pour nourir presque 40 millions de bouches dont la ration a été multiplié par 20.
            Donc réveiller-vous de vos rêves destillés dans les discours de sa majesté. El djallalla lil allah wahdou la chharika lah.

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            • #7
              préparez vous a la fuite de l'eau...a 40 com sous terre les cereales ne peuvent rien faire...seul le fihiuer et l'olivier peuvent resister....


              a l'avenir une figue trompée dans l'huile s'echangera contre renault clio ou wv golf...alors faites vos calcul

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              • #8
                Entre la tonne et le quintal, il y a un zéro de plus au bon endroit!!!
                10 Qx = 1 T.
                88 millions de quintaux soit le double ce que produit l'algérie

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                • #9
                  88 millions de quintaux soit le double ce que produit l'algérie
                  allah yzidkoum ... mais majebtech lejdid

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                  • #10
                    il faut investir d'avantage dans cette production pour au moins garder un niveai autosuffisant!!

                    Je dis Lhamdoulah pour les pluies et bravo á nos braves fellaha!

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                    • #11
                      Au titre de la campagne 2010-2011, la récolte céréalière avoisine les 88 millions de quintaux, en hausse de 10% par rapport à la récolte de 2009/2010
                      je suis asses septique par rapport a ce chiffres ,mais bon
                      tu tombe je tombe car mane e mane
                      après avoir rien fait ...on a souvent le sentiment d'avoir faillie faire ....un sentiment consolateur

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                      • #12
                        La production céréalière du Maroc est plutôt de l'ordre de 7,8 millions de tonnes (Maroc news du 06/04/2011).



                        Production céréalière en demi-teinte




                        L'actuelle campagne agricole bénéficie de conditions climatiques globalement favorables. La production céréalière s'établirait à près de 78 millions de quintaux. Il faut dire que la campagne agricole 2010-2011 s'est caractérisée par un démarrage précoce des précipitations, ce qui a favorisé les travaux d'installation des céréales d'automne.Ainsi, la superficie semée a atteint, au 15 janvier, 4,8 millions d'hectares en augmentation de 9% par rapport à la campagne précédente. En dépit d'un déficit pluviométrique de 39% et de 9% par rapport, respectivement, à la campagne précédente et à la moyenne des cinq dernières années, la campagne actuelle aura toutefois bénéficié d'une répartition temporelle plus favorable des précipitations. D'après les observations établies à fin février par le Centre Royal de télédétection spatiale, à l'exception des régions du Haouz, de l'Oriental et du Pré-saharien, ces conditions se sont traduites par une situation du couvert végétal qualifiée de «b! onne» dans l'ensemble du pays.Dans son rapport de mars dernier, la Banque centrale note que «dans certaines régions, l'indice de végétation avoisine même la valeur maximale annuelle atteinte habituellement vers les mois de mars et avril». Sur la base des données climatiques arrêtées au 10 mars 2011, le modèle économétrique (de Bank Al-Maghrib Ndlr) prévoit une production céréalière de 79 millions de quintaux. Une production qui engloberait, observe-t-on, 39 millions de quintaux de blé tendre, 17 millions de quintaux de blé dur et 22 millions de quintaux d'orge, en hausse respectivement de 27%, de 16% et de 2% en comparaison avec les moyennes quinquennales. S'agissant du recours aux intrants agricoles, cette campagne a connu la mobilisation de près de 1,06 million de quintaux de semences céréalières ayant bénéficié du soutien de l'Etat.En outre, les ventes d'engrais ont enregistré une croissance de 4,4% pour s'établir à 470.000 tonnes. D'un autre côté, le HCP estime que «rét! rospectivement, la campagne précédente a commencé sous des con! ditions pluviométriques proches de celles de 2007-2008».Conjugués à une hausse plus importante des températures par rapport à la saison, les faibles niveaux pluviométriques reçus au cours du mois de mars avaient quelque peu bridé le développement des cultures pendant la phase de remplissage des grains.C'est ainsi que les rendements des céréales et des légumineuses n'avaient pas guère dépassé leurs niveaux moyens quinquennaux (10qx/ha et 6qx/ha respectivement). Il reste que l'actuelle campagne met à profit l'amélioration des réserves hydriques relatives aux deux dernières années, marquées par des excédents pluviométriques considérables. Une éclaircie qui s'est opérée sur fond de la mise en ?uvre de nouveaux projets instaurés dans le cadre du Plan Maroc Vert, alors que la seconde a succédé à une campagne agricole très sèche. Pour le HCP, il est tout à fait loisible de présager que dans ce cas les perspectives de croissance de la producti! on agricole sont plus propices, en 2011, qu'elles ne l'étaient en 2008. Grosso modo, en 2011, les activités agricoles évolueraient dans un contexte marqué par la persistance des aléas climatiques, le renchérissement de certains intrants. S'agissant des échanges extérieurs du secteur, malgré les perturbations ayant marqué l'offre sur le marché européen, les expéditions nationales des primeurs n'ont pas tiré profit de la situation. Les écoulements au reste du monde avaient affiché une quasi-stagnation, à la mi-janvier, en comparaison avec la campagne précédente. La facture alimentaire a augmenté de 65,1% en glissement annuel après une baisse de 10,3% un an auparavant, soit une contribution de 39,8% à la progression de la valeur des importations hors énergie et lubrifiants.Cette tendance s'explique à hauteur de 81,5% par la hausse de la valeur des importations de blé, de sucre et de maïs de 265,2%, de 124,7% et de 60,9%.Le cadre de prévision de la production céréalière dévelop! pé par Bank Al-Maghrib permet d'actualiser de façon régulière la prévis! ion de la production céréalière selon trois outils : le modèle économétrique, la méthode de la campagne similaire et la méthode basée sur l'indicateur pluviométrique. La méthode de la campagne similaire, basée sur la comparaison des conditions climatiques historiques, donne une estimation de 72 millions de quintaux, répartie en 31 millions de quintaux de blé tendre, 17 millions de quintaux de blé dur et 24 millions de quintaux d'orge. L'application de la méthode basée sur l'indicateur pluviométrique conduit à une prévision de la production céréalière au niveau national de l'ordre de 82 millions de quintaux. Aussi, la prévision moyenne des trois méthodes s'établit-elle à environ 78 millions de quintaux en hausse de 16% par rapport à la moyenne des cinq dernières campagnes et de 6% par rapport à la campagne précédente.

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                        • #13
                          pourquoi spetique tracks? ce ne sont de quelques ridicules millions de quintaux, ns sommes encore en retrad!

                          L’Algérie affiche une production record de céréales

                          Par RFI
                          L'Algérie a réussi à atteindre l’autosuffisance en céréales. Avec plus de 6 millions de tonnes produites cette année et autant l’année dernière, plus besoin de recourir à l’importation de cette matière première de large consommation. C’est l’évènement économique de l’année.


                          Il y a de quoi répondre aux besoins intérieurs pendant deux ans, a indiqué le patron de l’Office public interprofessionnel des céréales. Durant deux saisons consécutives (2009 et 2010), la récolte annuelle a dépassé les 6 millions de tonnes. Du jamais vu depuis des décennies, pour ne pas dire depuis l’indépendance.
                          C’est principalement le résultat de la politique gouvernementale de promotion de la céréaliculture, caractérisée par l’achat de la production locale au prix du cours mondial par l’Office public des céréales. Maintenant, ce dernier a prévu de taxer les blés dur et tendre d’importation, pour les aligner sur les prix des blés locaux. Une façon de pousser les industriels à acheter algérien.
                          Jusque-là, l’Algérie était dans le « top 5 » des importateurs de blé dur et tendre et grand client de la France. Alger déboursait chaque année environ 500 millions de dollars en achat de céréales.
                          C’est désormais autant d’économies réalisées. Mieux, des surplus de production d’orge ont été exportés dernièrement, et sur les nouveaux stocks, d’autres opérations d’exportation sont envisagées.

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                          • #14
                            c'est une sorte de reprise sa devrai progresser dans les années a venir et tant mieux pour le pays

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                            • #15
                              Si la récolte est satisfaisante alors pourquoi on est premier importateur en 2011??
                              « N'ai-je donc tant vécu que pour cette infamie " Le Cid

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