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La chasse est un métier Préhistorique, il faisait grande partie de vie de nos lointains ancêtres. Les sites préhistoriques, les dessins trouvés, les restes d’animaux trouvéset … en émoignent
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La chasse, un plaisir réglementé
Avant l’invention de l’agriculture, la chasse et la cueillette ont été les principaux moyens de subsistance de l’homme.
Les restes d’animaux, retrouvés par centaines sur les sites préhistoriques témoignent, en Algérie, de l’ancienneté de la chasse.
Et quand l’agriculture s’est répandue, la chasse a continué à être pratiquée et, progressivement, elle s’est transformée en divertissement : on ne chasse plus par besoin mais pour le plaisir.
Les forêts, autrefois très denses, abritaient une faune pratiquement inépuisable. Ce n’est plus le cas aujourd’hui où la déforestation et la chasse intensive ont provoqué la raréfaction du gibier, voire la disparition de certaines espèces, comme l’antilope, au Sahara, le mouflon et le cerf de Berbérie au nord. D’autres espèces, bien que protégées, risquent de connaître le même sort, par la faute de chasseurs inconscients.
La nouvelle loi sur la chasse, dont les décrets exécutifs ont été entérinés dernièrement lors du conseil du gouvernement, assujettit désormais la délivrance du permis de chasse à des conditions draconiennes. Le chasseur devra obligatoirement faire parti d’une association de chasseurs (une façons de le soumettre à un règlement), il devra également suivre un stage de formation au cours duquel il sera informé sur les espèces protégées et le respect de l’environnement.
La chasse demeure un plaisir, mais un plaisir qui ne portera pas atteinte à la nature !
- La depeche de Kabylie
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La chasse, un plaisir réglementé
Avant l’invention de l’agriculture, la chasse et la cueillette ont été les principaux moyens de subsistance de l’homme.
Les restes d’animaux, retrouvés par centaines sur les sites préhistoriques témoignent, en Algérie, de l’ancienneté de la chasse.
Et quand l’agriculture s’est répandue, la chasse a continué à être pratiquée et, progressivement, elle s’est transformée en divertissement : on ne chasse plus par besoin mais pour le plaisir.
Les forêts, autrefois très denses, abritaient une faune pratiquement inépuisable. Ce n’est plus le cas aujourd’hui où la déforestation et la chasse intensive ont provoqué la raréfaction du gibier, voire la disparition de certaines espèces, comme l’antilope, au Sahara, le mouflon et le cerf de Berbérie au nord. D’autres espèces, bien que protégées, risquent de connaître le même sort, par la faute de chasseurs inconscients.
La nouvelle loi sur la chasse, dont les décrets exécutifs ont été entérinés dernièrement lors du conseil du gouvernement, assujettit désormais la délivrance du permis de chasse à des conditions draconiennes. Le chasseur devra obligatoirement faire parti d’une association de chasseurs (une façons de le soumettre à un règlement), il devra également suivre un stage de formation au cours duquel il sera informé sur les espèces protégées et le respect de l’environnement.
La chasse demeure un plaisir, mais un plaisir qui ne portera pas atteinte à la nature !
- La depeche de Kabylie