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La contrebande du fuel dans la région frontalière de l’ouest est devenue ces derniers temps une forme de criminalité indissociable des autres composantes de la criminalité transnationale.
Elle a pris par le temps des proportions alarmantes devant toute une armada de trafiquants qui ont tout puisé depuis les stations d’essence implantées à Tlemcen.
Un véritable préjudice est causé. Toutes les stations sont à sec, et des chaînes interminables sont enregistrées partout à Tlemcen.
Selon des pompistes, le quota est réduit ces derniers temps. C’est une forme de lutte contre la contrebande, ont-ils estimé.
Du côté de la direction de Naftal, des sources précisent que la wilaya est doté de plus de 2400 mètres cubes de carburant par jour (essence, gas-oil, super). Cette crise qui sévit depuis quelques semaines dans la wilaya de Tlemcen a poussé de nombreux automobilistes et transporteurs à faire des chaînes interminables devant les stations-service, dans une désorganisation totale. Plusieurs stations Naftal, a-t-on constaté, souffrent de rupture de stock de carburant, et aucune précision n’a été donnée au sujet de cette crise qui bat son plein, mis à part, cet index désignant le trafic au niveau des zones frontalières, qui demeure à l’origine de cette crise.
En effet, à travers la frontière ouest, des réseaux bien structurés, utilisant des milliers de véhicules et autres baudets acheminent ce précieux liquide vers le pays voisin. Les saisies opérées quotidiennement par les services de sécurité, montrent à quel point les contrebandiers minent l’économie nationale.
Il est à noter qu’à travers cette frontière qui s’étend sur plus de 170 km, des véhicules, entre autres des R20, Mercedes, R21, tracteurs de camion, etc., disposent de réservoirs modifiés pouvant contenir jusqu’à 1000 litres et plus. Connus sous le nom de «mokatillat», ces engins sont une source de drame sur les routes, et la mafia entraîne, faut-il le souligner, des pertes lourdes à l’économie nationale.
S
source horizons
Elle a pris par le temps des proportions alarmantes devant toute une armada de trafiquants qui ont tout puisé depuis les stations d’essence implantées à Tlemcen.
Un véritable préjudice est causé. Toutes les stations sont à sec, et des chaînes interminables sont enregistrées partout à Tlemcen.
Selon des pompistes, le quota est réduit ces derniers temps. C’est une forme de lutte contre la contrebande, ont-ils estimé.
Du côté de la direction de Naftal, des sources précisent que la wilaya est doté de plus de 2400 mètres cubes de carburant par jour (essence, gas-oil, super). Cette crise qui sévit depuis quelques semaines dans la wilaya de Tlemcen a poussé de nombreux automobilistes et transporteurs à faire des chaînes interminables devant les stations-service, dans une désorganisation totale. Plusieurs stations Naftal, a-t-on constaté, souffrent de rupture de stock de carburant, et aucune précision n’a été donnée au sujet de cette crise qui bat son plein, mis à part, cet index désignant le trafic au niveau des zones frontalières, qui demeure à l’origine de cette crise.
En effet, à travers la frontière ouest, des réseaux bien structurés, utilisant des milliers de véhicules et autres baudets acheminent ce précieux liquide vers le pays voisin. Les saisies opérées quotidiennement par les services de sécurité, montrent à quel point les contrebandiers minent l’économie nationale.
Il est à noter qu’à travers cette frontière qui s’étend sur plus de 170 km, des véhicules, entre autres des R20, Mercedes, R21, tracteurs de camion, etc., disposent de réservoirs modifiés pouvant contenir jusqu’à 1000 litres et plus. Connus sous le nom de «mokatillat», ces engins sont une source de drame sur les routes, et la mafia entraîne, faut-il le souligner, des pertes lourdes à l’économie nationale.
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