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Parmi les richesses de l'Algérie, je pense que ce parc a un bel avenir si toutefois sa prise en charge devient effective; ce que nous espérons.
D'une altitude de 2.236 m et avec une superficie de 24.400 ha, ce site est un pan entier de biodiversité autant florale que faunique où cohabitent au milieu d'un paysage grandeur nature, le chêne vert, le pistachier de l'Atlas, le genévrier phénicien et l'oxysèdre. Du côté faune, on cite la présence d'espèces comme le mouflon, le chacal, le renard, l'aigle, le faucon et les reptiles. S'agissant du domaine touristique, djebel Aïssa offre aux chercheurs et autres archéologues des centres d'intérêt aussi intéressants les uns que les autres avec notamment la présence d'un ancien cimetière datant de la préhistoire ainsi que les gravures rupestres qui ornent le djebel en plusieurs endroits. De par sa situation dans une zone steppique, djebel Aïssa est considéré comme une richesse unique en matière d'éco-tourisme, ce qui, a priori, lui a valu en 2003 une classification en tant que parc national. «Les services des forêts de la wilaya accordent un intérêt particulier à ce site en matière de préservation de la faune et la flore locales grâce aux actions inscrites au titre des programmes de développement du secteur », souligne M. Remassi, directeur du secteur, assurant que les autorités compétentes sont sensibilisées à l'importance que représente ce parc pour la région, en ce sens que des programmes de développement intéressants, inscrits au titre du PPDRI, ont été initiés en faveur de ce parc et de la communauté rurale riveraine pour l'impliquer progressivement dans la gestion et la protection de son espace naturel. «Aussi, renchérit le premier responsable du secteur, et dans le cadre du même programme, les communautés riveraines ont pu avoir accès à la pratique de certaines activités liées à leur mode de vie.» «On estime, affirme M. Remassi, que la prise en charge des préoccupations de la communauté riveraine aide beaucoup à la concrétisation des résultats.»"
(Le Quotidien du 10.08.2011)
"Nâama: Djebel Aïssa, une richesse unique
par M. S. Laradji
S'il y a un endroit qui peut rallier à la fois l'écologie et le tourisme dans la wilaya de Nâama, c'est sans conteste le site de djebel Aïssa, dans la daïra d'Aïn Séfra. D'une altitude de 2.236 m et avec une superficie de 24.400 ha, ce site est un pan entier de biodiversité autant florale que faunique où cohabitent au milieu d'un paysage grandeur nature, le chêne vert, le pistachier de l'Atlas, le genévrier phénicien et l'oxysèdre. Du côté faune, on cite la présence d'espèces comme le mouflon, le chacal, le renard, l'aigle, le faucon et les reptiles. S'agissant du domaine touristique, djebel Aïssa offre aux chercheurs et autres archéologues des centres d'intérêt aussi intéressants les uns que les autres avec notamment la présence d'un ancien cimetière datant de la préhistoire ainsi que les gravures rupestres qui ornent le djebel en plusieurs endroits. De par sa situation dans une zone steppique, djebel Aïssa est considéré comme une richesse unique en matière d'éco-tourisme, ce qui, a priori, lui a valu en 2003 une classification en tant que parc national. «Les services des forêts de la wilaya accordent un intérêt particulier à ce site en matière de préservation de la faune et la flore locales grâce aux actions inscrites au titre des programmes de développement du secteur », souligne M. Remassi, directeur du secteur, assurant que les autorités compétentes sont sensibilisées à l'importance que représente ce parc pour la région, en ce sens que des programmes de développement intéressants, inscrits au titre du PPDRI, ont été initiés en faveur de ce parc et de la communauté rurale riveraine pour l'impliquer progressivement dans la gestion et la protection de son espace naturel. «Aussi, renchérit le premier responsable du secteur, et dans le cadre du même programme, les communautés riveraines ont pu avoir accès à la pratique de certaines activités liées à leur mode de vie.» «On estime, affirme M. Remassi, que la prise en charge des préoccupations de la communauté riveraine aide beaucoup à la concrétisation des résultats.»"
(Le Quotidien du 10.08.2011)